Jean Pierre Hippolyte Blandan était un militaire français, né le 9 février 1819 à Lyon et mort 23 ans plus tard à Boufarik lors de la conquête française de l’Algérie. Sa mort fut considérée comme héroïque au sein de l’armée française, car il aurait refusé de baisser les armes alors qu’il était à la tête d’une vingtaine d’hommes dans une bataille face à 300 adversaires arabes.
En raison de la participation du sergent Blandan à la conquête française de l’Algérie, bien que cette conquête fût lancée avec le principal but de mettre fin à l’esclavage des Français et autre Européens (esclavage majoritairement sexuel) par les barbaresques musulmans d’Alger1, les hommages qui lui sont rendus sont considérés comme des symboles du colonialisme par l’extrême-gauche. Wikipedia
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Jeudi dernier, lorsque Yasmine Bouagga a demandé à Grégory Doucet ce qu’il comptait faire de la statue du Sergent Blandan qui trône sur la place Sathonay, à deux pas de sa mairie du 1er arrondissement. L’élue écologiste soumettait l’idée d’ajouter une plaque explicative sur l’histoire de ce jeune militaire tué en Algérie lors de la conquête coloniale française en 1842.
Yasmine Bouagga estimait que cela permettrait de « lever le voile » et « remédier à un effacement regrettable » sans « porter atteinte au roman national ». « Notre cité a tout intérêt à cultiver la compréhension mutuelle », poursuivait la maire du 1er.
Il revenait à Sylvie Tomic, l’adjointe à la Mémoire de lui répondre. Elle dit soutenir la proposition d’installer une plaque explicative sur des monuments ou des rues mettant à l’honneur des personnalités qui étaient « en contradiction avec l’idéal de société que nous défendons ».
Pour l’élue Génération.s, « ça permet de laisser une oeuvre qui est un témoin d’un passé qui comporte une part sombre, tout en apportant un éclairage. Ceci permettra d’informer le passant et peut-être de susciter en lui des questionnements sur notre passé, notre manière d’en parler et de le représenter ».
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Rire, pleurer, tout casser ? En tout cas je suis dans une colère noire, une fois de plus.
Non pas parce que le dégénéré Doucet veut réécrire l’histoire du héros Blandan.
Non pas parce qu’il veut réécrire l’histoire de la conquête de l’Algérie.
Non pas parce que je suis consternée de voir tant d’édiles à la tête de grandes villes détester notre pays et ne penser qu’à casser son histoire, son image, nos valeurs…
Mais parce qu’il y a de plus en plus d’ennemis de notre pays parmi les électeurs. Ce sont bien eux les responsables, qui ont porté au pouvoir les plus ignobles des êtres. Des Doucet, des Piolle, des Humic, des Hidalgo, des Rolland, des Appéré… il y en a un paquet, des milliers, des millions et je n’oublie ni Macron ni Darmanin et toute la clique. Et ils votent comme les ordures énumérées ci-dessus, pour ces ordures. Ils sont plus nombreux que nous… ce sont donc eux les responsables. Il y a 70 ans, on les aurait renvoyés à leur emploi de casseur de pierres (qu’auraient-ils pu faire d’autre à une époque où le moindre ouvrier avait à coeur de bien faire son travail, quand bien même celui-ci était ingrat ?) A présent, ces haineux, des enfumeurs, ces militants politiques qui, ignorantus, ignoranta, ignorantum… prétendent carrément imposer aux mânes de nos morts la vision de leur histoire, falsifiée par des barbares ou leurs complices. |
Oui, des barbares. Ceux du XVIIIème ou XIXème siècle qui enlevaient nos femmes sur nos rives et nos bateaux pour les vendre sur les marchés aux esclaves à Alger mais aussi ceux de 2024 qui, immigrés légaux ou illégaux veulent faire de notre pays un pays de l’horreur, un pays musulman qui voile les femmes, endoctrine les enfants et pousse les dégénérés au djihad. Et, pour cela, avec la violence préhistorique de Mahomet, ils exigent que l’on réécrive l’histoire, que l’on écrive noir sur blanc leurs mensonges, que l’on cache leur violence et leurs moeurs de machos coranisés haïssant et méprisant les femmes, les juifs, les chrétiens, les homos, la musique, la nudité, la beauté et la liberté.
Le sergent Blandan est bien un héros, il a défendu son pays, il est tombé au champ d’honneur, pour la France, pour la liberté, pour les femmes françaises captives, passées, présentes et futures, enfermées dans les harems, devenues des esclaves sexuelles.
Le , alors qu’il conduit un détachement d’une vingtaine d’hommes pour porter le courrier du camp d’Erlon à Boufarik, à la redoute de Beni Mered (camp de Blida), sa troupe est attaquée par un groupe de trois cents cavaliers arabes. Refusant de déposer les armes devant cet ennemi supérieur en nombre et bien que grièvement blessé, il exhorte héroïquement ses soldats à résister, s’écriant : « Courage, mes amis ! Défendez-vous jusqu’à la mort ! ». Les secours, alertés par le bruit de la bataille entendu depuis Boufarik, n’y trouveront que cinq fusiliers survivants. Le sergent Blandan meurt de ses blessures à l’hôpital de Boufarik le , à l’âge de 23 an
Eh bien à Lyon, les anti-France, majoritaires au Conseil municipal, ne se sentent plus de joie, ils vont dans tous les cas porter un coup mortel aux mânes du sergent Blandan. Très vite, dans un premier temps sa statue va être ignomineusement salie par une pancarte relativiste affichée sur son socle. Il ferait beau voir qu’en la ville de l’anti-France Doucet on ne fît pas la rééducation du passant afin de transformer le Français moyen en haineux de son pays et en défenseur acharné des musulmans et de l’islam. Et cela c’est en attendant le résultat de la commission qui va se réunir pour savoir si on laisse ou pas la statue du sergent Blandan, cette trace d’une France civilisatrice et vainqueur… Qui chantait du passé faisons table rase ?
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Ces gauchistes bolchéviques ignares commencent à nous les brouter menu !
Il y a des rues François Mitterrand. Peut-être apposer sous les plaques une notice rappelant son passage à Vichy. Idem pour les rues Lénine et autres. L’Histoire ne doit pas être à sens unique.
Bonjour, en fait, l’histoire étant oubliée depuis longtemps, en fait, ce triste sire l’a remis en lumière. Merci, perso, je ne lis plus un livre d’histoire de france contemporain, je lis ceux du 19ème ou du début du 20ème, après c’est le délire. Sergent Brandan, merci pour ta bravoure et on t’oubliera plus. MERCI. Ton exil sera de courte durée. Etant donné le vent qui souffle venu de loin, ces tristes sires seront balayés de l’histoire et mis au ban de l’infamie ou autre chose, là j’en rêve.