« On va à Quick wesh, j’ai envie d’un burger ! » : la phrase martelée dans le crâne de nos jeunes

En 1841, les monstres de Barnum étaient  des « squelettes vivants », des albinos, des jumeaux siamois, des personnes de petite taille, des géants, « le lien entre l’homme et le singe », des hommes et des femmes sans tête, bras ou abdomen, le vrai Kaspar Hauser et d’autres bizarreries.

Chaque nouvel élément du programme faisait l’objet d’une publicité intensive par le biais d’affiches et dans les journaux comme une « sensation ».

Et en 2024, comment  « faire sensation » ? 

En avalant du fast-food halal qui baigne dans le gras, à s’en faire éclater la panse, à s’en boucher les artères et  en le criant sur les toits, ou plutôt sur les réseaux sociaux dans une vulgarité dégoulinante.  

La phrase est devenue virale chez les jeunes  : « On va à Quick wesh, j’ai envie d’un burger ! »

Les témoignages sont innombrables : ils n’arrivent plus à se sortir cette phrase du crâne.

On est peinés pour cette jeune femme qui met ainsi sa santé et son avenir en péril en péril pour une chaîne de malbouffe. 

La vidéo qui a fait des millions de vues (on entend la phrase dans les premières secondes) :

 

Cette inconsciente attaque sa propre santé.

Devant le succès spectaculaire, l’idée  est déclinée en multiples scénettes :

La demoiselle fait aussi désormais la publicité pour les frites à la graisse de bœuf : 

Cette délicate nourriture  est bien entendu halal. 

Compris « wesh » ?

À l’origine, “wesh” provient de l’arabe dialectal, plus précisément de l’arabe algérien, où il signifie “quoi”. Cependant, en France, ce mot a pris une dimension supplémentaire. Beaucoup de jeunes sont contaminés par les tics de langage imposés par la diversité (wesh, wallah…) et n’ont d’autre choix que de les adopter s’ils veulent éviter d’être rejetés.   

Collaboration commerciale avec la chaîne Quick

Qui aimerait que sa fille, son amie, sa cousine ou sa sœur soit exposée au public chez Barnum ? 

Ou en version 2024, soit payée à manger du gras  pour faire rire les gens sur Internet et avoir des « abonnés » ? 

Elle est devenue un « mème Internet », (c’est à dire un phénomène repris et décliné en masse), grâce à une phrase devenue virale : Apolline, la jeune femme derrière le « On va à Quick wesh, j’ai envie d’un burger », présente son menu idéal au sein de l’enseigne de fast food. Dans une nouvelle vidéo en collaboration avec la chaîne de restauration rapide, elle dévoile le contenu du menu parfait. Source

Pas grave pour les maladies liées à la malbouffe chez nos jeunes : la Sécu paiera. 

 

 33 total views,  31 views today

image_pdf

Leave a Reply

Your email address will not be published.


*


1 Comment

  1. « Pas grave….la Sécu paiera. »
    Bonjour Jules. Et pendant ce temps là on nous serine dans les médias depuis hier que nous consommons trop de médicaments et que nous devrions moins nous soigner. On nous dit même que les traitements contre les cancers coûtent cher….
    Soyons raisonnables, ne nous soignons plus et offrons nos cotisations à l’A.M.E.