Les langues finiront bien par se délier et faisons confiance à Trump pour nous offrir le grand déballage. Dans une arène politique truffée de truands, cela fera du bien.
2020 restera la plus grande arnaque électorale de tous les temps, largement cautionnée par les valets européens de l’Amérique et surtout par les médias sans honneur ni éthique.
Quand Biden lui-même, dans un moment d’égarement, a avoué que la plus diabolique machination avait été mise en place par les démocrates pour remporter l’élection de 2020, la presse occidentale unanime nous a expliqué que nous n’avions rien compris.
Bref, nous avions compris tout le contraire de ce que nous avions entendu !
La classe politique européenne n’a rien à envier à la Corée du Nord. La seule différence est que le camp du Bien cache son jeu en se drapant dans le manteau de la vertu, alors que Kim Jong-un assume son autocratie sans états d’âme.
Les démocrates ont toujours triché, mais 2020 dépasse l’entendement. Les évènements du Capitole ne sont que la manifestation brutale de la révolte d’un peuple trompé par ses élites, auquel on a volé une victoire sans appel.
Et en 2024, les Etats que Kamala Harris a remportés sont ceux où les règles de vote sont les plus laxistes, notamment sur l’identité des électeurs. On peut y présenter un document d’identité sans photo.
Mais après le climat quasi-insurrectionnel provoqué en 2020 par la triche monumentale orchestrée par Biden, il était difficile de rejouer le même scénario quatre ans plus tard.
La fraude massive étant écartée, la persécution judicaire ayant échoué et la diabolisation du candidat républicain, comparé à Hitler, ayant eu un effet contre-productif, il ne restait plus que le fusil à lunette pour régler le problème. Mauvaise pioche, les deux tentatives ont échoué.
Et c’est ainsi que Trump, vénéré par le peuple de l’Amérique profonde, a balayé quatre années de persécutions et d’humiliations.
226 grands électeurs pour Kamala Harris, 312 pour Trump.
Mais revenons à 2020
https://www.medias-presse.info/fraude-elections-presidentielles-2020-etats-unis/197384/
On constate que sur les derniers scrutins, le candidat démocrate totalise en moyenne 65 000 suffrages. C’est assez constant, compte tenu d’un électorat américain peu fluctuant et fidèle à son camp. Seules les minorités, noire et hispanique, ont un vote incertain.
Mais en 2020, on voit que Biden a fait exploser les compteurs, avec 81 000 votes en sa faveur. Du jamais vu.
Pour ceux qui se souviennent des valises de bulletins Biden, du dépouillement brutalement stoppé à trois heures du matin dans les Etats clés, des dizaines de milliers de plaintes et de témoignages classés sans suite, des machines à voter truquées, des listes électorales bidouillées en faisant voter les morts et les fantômes, il est clair que seule la fraude massive a pu permettre à Biden de faire 15 millions de voix de plus que ses prédécesseurs.
Et quand on regarde le bilan 2024, on voit que ces électeurs sortis de nulle part, ont tout simplement disparu.
Pourquoi ? Parce qu’il n’ont tout simplement jamais existé !
Trump avait raison. On lui a volé sa victoire et il le clame depuis quatre ans, seul contre tous.
On comprend qu’il puisse ruminer sa vengeance. Il est comme le comte de Monte-Cristo revenu régler ses comptes, après avoir été trahi et injustement condamné.
La grotesque propagande des médias en faveur de Harris, le déchaînement des saltimbanques d’Hollywood contre Trump, les tombereaux de milliards pour barrer le milliardaire, tout cela n’a servi à rien car le peuple a toujours le dernier mot.
Regardez bien ces deux tableaux ci-dessus. Ils sont la preuve que le Système nous a odieusement menti, comme il nous a menti avec les armes de destruction massive en Irak, comme il nous a menti sur le soi-disant génocide perpétré par les Serbes contre les Albanais du Kosovo, comme il continue de nous mentir sur la guerre en Ukraine en diabolisant Poutine, qui ne réclamait que le respect des accords de Minsk. Mais le camp du Bien, les éternels va-t-en-guerre anglo-saxons, l’ont méprisé, sans même soupçonner que leur nouvelle croisade allait tourner au fiasco.
Si le Tsar ne disposait pas de 6 200 têtes nucléaires comme assurance vie, il n’y aurait plus de Russie depuis longtemps.
J’espère sincèrement que Trump ne va pas se comporter comme tous ces crétins et suivra la voie de Viktor Orban, seul leader européen ayant un minimum de sagesse et de bon sens pour stopper le carnage.
Jacques Guillemain
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