Le Président « Cool »
Barack Obama a su se forger une image de président « cool » grâce à une campagne médiatique bien orchestrée. En 2008, il a été présenté comme le candidat le plus cool que l’Amérique ait jamais porté. Sa campagne a mis en avant des caractéristiques telles que son passé de fumeur de marijuana, son amour pour le basket et son style décontracté. Cette image a contribué à sa popularité, le rendant presque intouchable dans l’imaginaire collectif.
L’Afghanistan
Cependant, dès son arrivée au pouvoir en 2009, Obama a hérité de deux conflits majeurs : la guerre en Irak et celle en Afghanistan. En Irak, il a opéré un retrait précipité des troupes américaines, laissant le pays dans le chaos et favorisant l’émergence de l’État islamique. En Afghanistan, il a fait l’inverse, envoyant 30 000 soldats supplémentaires, ce qui a déstabilisé le pays et permis aux talibans de reprendre du terrain.
L’intervention en Libye
En 2011, Obama a lancé une intervention en Libye pour renverser Mouammar Kadhafi. Cette opération, menée sous mandat de l’ONU, a été critiquée pour son manque de stratégie post-Kadhafi. La chute du dictateur a plongé le pays dans une guerre civile et a provoqué une crise migratoire en Europe. Les motivations cachées de cette intervention incluaient l’accès au pétrole libyen et l’élimination de l’influence de Kadhafi en Méditerranée.
La guerre des drones (2011-2017)
Sous la présidence d’Obama, les interventions américaines ont évolué vers une utilisation massive de drones. Au Pakistan, au Yémen et en Somalie, les frappes de drones ont causé des milliers de morts civils. Ces opérations, souvent imprécises, ont favorisé la radicalisation des populations locales. Obama a supervisé 563 frappes de drone, soit près de dix fois plus que son prédécesseur George W. Bush.
L’intervention contre l’EI
En 2014, Obama a lancé une intervention contre l’État islamique en Irak et en Syrie. Cependant, cette opération a été géopolitiquement incohérente. En armant des groupes d’opposition en Syrie, les États-Unis ont indirectement favorisé l’émergence de groupes radicaux. Les frappes américaines ont souvent causé des pertes civiles importantes, comme le bombardement de Mossoul en mars 2017, qui a tué 200 civils.
Les frappes « double-tap »
Les frappes « double-tap » sont une tactique utilisée par l’armée américaine sous Obama. Cette méthode consiste à frapper une première cible, puis à attendre que les secours arrivent pour lancer une deuxième attaque, maximisant ainsi le nombre de victimes. Ces frappes ont intentionnellement ciblé des non-combattants, violant les conventions de la guerre.
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Obama, on ne lui dit rien, car il a du sang Noir. Avec ça il est tranquille.