Les Républicains viennent de remporter la Chambre des représentants. Avec 218 élus, le parti Républicain a désormais la majorité absolue au sein de la Chambre basse du Congrès. La Chambre reste donc aux mains des Républicains. Sur les 9 sièges encore en jeu, au moins 5 pourraient revenir aux Républicains. Cinq cerises sur le gâteau.
C’est la cata pour les Démocrates.
La Kamala Ha-risk a tout foutu en l’air. Les Démocrates n’existent pratiquement plus. Ils ont tout perdu. Ils ont perdu la présidence avec un écart dans les voix aussi grand que la largeur du Mississipi, ils ont perdu le Sénat et la Chambre des représentants.
On disait que la Kamala était dos à dos avec Trump dans les sondages. À la fin du scrutin, elle s’est retrouvée à ses pieds. Alors que Trump recueillait 312 voix (grands électeurs), la Kamala n’avait que 226, dont 82, soit le tiers, provenaient des deux seuls États de New York et de la Californie, deux bastions du déclin politique et social des États-Unis.
Avec autant de grands électeurs, la Californie et New-York fournissent presque autant de voix au Parti Démocrate que l’ensemble des électeurs disputés dans les 7 États dits « pivots » (Arizona, Géorgie, Pennsylvanie, etc.) avec un total de 93 électeurs.
C’est une hérésie de faire croire au monde que ce sont ces sept petits États qui décident du sort de l’élection présidentielle.
Le candidat Républicain part toujours avec un handicap de 82 voix attribuées de façon scandaleuse au rival Démocrate. Il n’empêche, le candidat Républicain arrive souvent à remonter la pente, comme l’a fait brillamment Trump le 5 novembre.
En tout cas, il est certain que l’on ne reverra plus jamais la Kamala sur une scène politique. Ni l’Obama.
Quelle néfaste année pour l’ancien président américain, dit Hussein, comme le petit-fils du prophète tué dans une bataille en 680 (par des coreligionnaires musulmans de Damas) et que les chiites pleurent jusqu’à présent et combattent en son nom.
Trump l’accuse d’avoir fondé l’État islamique. Il ne peut y avoir aucun doute là-dessus.
La Kamala, qui était censée barrer la route de la Maison-Blanche à Donald Trump, a fait sombrer le parti Démocrate.
Elle a fait, en deux ou trois mois, mieux que le Hollande, le Valls, le Cazeneuve et autres vermines réunies qui ont démoli le parti socialiste français en 5 ans. On ne leur en veut pas. Au contraire, on ne peut que les en remercier. Le PS est une saloperie qui devait disparaître.
Le parti Démocrate américain aussi.
Allez, soyons juste : avec le Biden, ç’aurait été pire. Les Démocrates auraient perdu même leur âme et leur dignité.
Du tandem Biden-Harisk, l’Amérique s’en souviendra.
Et le monde entier aussi…
Messin’Issa
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Elle ne rit plus bêtement maintenant ?
Je la remercie d’avoir oeuvré pour la victoire de Trump ! 😋
En France on démolit le seul parti d’opposition par l’intermédiaire des tribunaux. C’est plus rapide. Merci Messin.