Donald Trump a quatre ans pour impulser une nouvelle révolution américaine

La squaw joviale y a laissé des plumes. Elle était le maillon faible. Mais l’État profond, vorace et coriace, n’a pas été éradiqué. Ses juges et ses procureurs seront d’autant plus hargneux que tu as réussi à échapper à leur vindicte. Et ses médias-menteurs qui n’ont rien perdu de leur superbe, vont se cramponner comme des tiques. Te glisser des peaux des bananes sous chaque pas. Et encourager ceux qui n’ont pas renoncé à t’assassiner.
Tu as quatre ans pour changer le cours de l’Histoire. Pour être l’homme de la deuxième révolution américaine
La première, concrétisée par la Déclaration d’Indépendance du 4 juillet 1776, a fait son temps. Ses découpages géographiques sont obsolètes. Ses articulations administratives et territoriales encore empreintes des comtés de l’Angleterre du XVIIIe siècle sentent le moisi. Tout comme leur système électoral indirect était adapté au temps des diligences.
Auras-tu la volonté de donner un grand coup de balai ? Et te laisseront-ils faire ? Tu disposes d’une large majorité au Sénat, la chambre des représentants ne t’est pas hostile a priori, et les trois juges inamovibles que tu as déjà nommés à la Cour Suprême pourront t’être d’un grand secours. Mais quatre ans, c’est court. Il va falloir faire vite pour terrasser tes ennemis. Et laisser au jeune Vance, en 2029, un pays propre, bien nettoyé et récuré à fond. Libéré de sa guerre contre la Russie par nabot interposé.
La multiplication des fraudes, des coups bas, les achats de juges et de procureurs, l’utilisation des médias comme des armes mortelles, ont été une forme de crime organisé. « White collar crimes », comme on dit dans ton pays. Des crimes en col blanc. Avec la touche de bonnes manières hypocrites de la bourgeoisie progressiste et un zeste de crapulerie distinguée. On tue mais avec le petit doigt en l’air.
Le système électoral aurait dû être réformé depuis longtemps
Quelle démocratie peut accepter qu’on organise des élections sans demander aux électeurs de justifier de leur citoyenneté et de leur identité ? Quelle démocratie peut tolérer que le dépouillement des bulletins soit abandonné ici et là, à des mafias locales, juges et parties ? Menteurs, voleurs, tricheurs et truqueurs. Tout le système est à revoir. Selon le principe : un homme ou une femme, une voix. Le même contrôle pour tous. Les grands électeurs ont leur place au musée.
Disposant d’une majorité absolue dans les urnes malgré les fraudes des démocrates, avec 5 millions de voix d’avance, en plus du collège électoral, tu serais le mieux placé pour proposer des réformes sans qu’on te soupçonne d’arrière pensées. Au boulot, Donald !
Le système judiciaire aussi doit être repensé
La pratique du « précédent » qui date de la vieille Angleterre avec sa « common law », pouvait se justifier quand les juges étaient des gentlemen appelés à décider en équité, dans l’intérêt général, et dont les raisonnements devaient s’appliquer à des cas similaires. Dans un souci d’unification de la jurisprudence du royaume.
Mais aujourd’hui, beaucoup de juges sont des militants politiques extrémistes qui usent et abusent de leurs fonctions pour fracasser leurs adversaires. Ce serait une folie de ne pas les contraindre à respecter uniquement des textes stricts. La « civil law » (droit écrit) existe aussi aux USA. D’accessoire, elle pourrait devenir prioritaire. Lorsque les lois fédérales n’ont rien prévu.
L’arbitrage et le pragmatisme, naguère garants de souplesse, ont conduit au pire arbitraire. Et il n’y a même plus la soupape se sécurité de l’élection. Puisque trop de juges sont des politicards gauchistes sans scrupules qui trichent et truandent comme les autres.
Toutes choses égales par ailleurs, Donald est dans la situation de Vlad quand il est arrivé au pouvoir
Il a trouvé un pays ravagé, déglingué, aux mains des mafias qui s’empiffraient sur la bête. Un pays du chacun pour soi où le mot patriotisme avait disparu. Comme est l’Amérique aujourd’hui. Qui n’est plus la terre des libertés. Ce titre honorifique revient à la Russie.
En trois décennies l’ex URSS, gérontocratie totalitaire, a laissé la place à un État neuf, moderne, en plein développement économique qui rassemble autour de lui, avec les BRICS, la moitié de la planète. Bénéficiant d’une aura que les USA ont perdue depuis longtemps. Et tu n’as que quatre ans pour te mettre à niveau !
On peut se demander qui, de Soros ou de Davos est le plus craignos, pour corrompre médias, politichiens et juges ?
On savait depuis belle lurette quels penchants « progressistes », mondialistes et islamolâtres affichaient les gangs de faiseurs d’opinion des mainstream, tous plus pourris les uns que les autres. Grenouillant afin d’entretenir un chaos prélude à l’effondrement de notre civilisation.
Ils sont dépités ? Il faut les décapiter avant qu’ils relèvent la tête ! Ils ont seriné depuis des mois que la squaw allait gagner, histoire de préparer les esprits à une nouvelle fraude. Avortée jusqu’à la prochaine. Tricher est dans la nature de la gauche. Ils ne vont pas s’arrêter là. Tu dois neutraliser ces nuisibles. De suite. En révoquant les juges et procureurs partiaux. Et en frappant à la caisse. En faisant racheter leurs médias putrides pour les saborder ou les recycler comme Elon a fait avec Twitter.
En 10 ans d’activités politiques, tu as chambardé l’Amérique en dézinguant les mensonges et les manigances de l’État profond. C’est bien, mais il faut aller plus loin !
Le pouvoir n’était plus au peuple dans les urnes, mais entre les mains d’une oligarchie mafieuse, une caste de banksters et de journaleux faussaires à leur service, qui noyautaient la société, décidant de ce qu’il était permis de dire, de lire, de faire et même de penser.
Orientant les loisirs, décidant du bon goût, répartissant les rôles entre gentils et méchants, et accaparant l’infotainment (info-divertissement) ce gloubiboulga destiné à formater et manipuler les petites têtes. En leur racontant qu’ils deviennent des êtres supérieurs s’ils votent comme telle chanteuse à la mode, ou tel acteur de blockbusters.
L’effondrement de la confiance des électeurs est le point de départ. Tu peux leur proposer autre chose. Un nouveau paradigme pour une nouvelle révolution américaine
L’avantage des technologies modernes est de montrer la réalité brute, en temps réel. Avant que des politiciens véreux, des juges vicieux et des journaleux glaireux aient eu le temps de débiter leurs discours mensongers. Les citoyens lambda ont vu il y a quatre ans, ces urnes qu’on trimbalait d’un bureau à l’autre, ces nervis qui interdisaient de filmer les décomptes, et leurs complices qui signaient des procès verbaux rédigés d’avance.
Ils ont vu aussi ces juges marrons, ces procureurs vendus et ces gouverneurs corrompus rejeter sans les examiner les preuves de la fraude massive de 2020 (documents, vidéos, témoignages). Même quand certains sacs de bulletins arrivés en même temps étaient 100% pro Biden, dépassant par leur nombre celui des électeurs inscrits !
Entre ta communication au vitriol et ton dynamitage des tièdes du parti républicain, tu es parvenu, en quelques années, à incarner les victimes du système. À être le porte-parole de ceux qui croyaient à la démocratie et ont été dupés par l’État profond. Une comédie du pouvoir alignant des clowns de pacotille, des pantins déglingués, des rombières au QI à deux chiffres, et des minus habens en costard prétendant incarner la Nation. Tous ceux qui en ont eu assez te soutiendraient encore si tu leur proposais une nouvelle révolution américaine.
« Trump dicte les règles du jeu », déplorent tes ennemis incapables de l’emporter autrement que par des fraudes, des mensonges, des procès bidon et des coups bas.
Comme tu n’est pas une mauviette qu’on intimide facilement, même en essayant de t’assassiner, et que tu ripostes à coups de diatribes impitoyables, ceux qui t’ont provoqué t’accusent d’avoir dynamité la communication politique. Pour ces crapules « progressistes », les coups les plus tordus sont devenus des moyens d’expression « normaux ». Débats truqués, informations biaisées, plaintes extravagantes, faux témoins, procès à rallonge, juges achetés, mises en scène médiatisées de faits inventés…
Comme tous les personnages qui font l’Histoire, par tes initiatives et ta liberté de ton, tu donnes le la. Tu changes les règles du jeu. Tu n’es pas sanctionné par ton électorat pour tes propos parfois excessifs contrairement aux autres politiciens auxquels le moindre dérapage verbal peut coûter très cher, parce qu’on croit à ta sincérité et à ta volonté de sauver l’Amérique. Au boulot !
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/

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