Aux sources de l’antisémitisme des Mélenchonistes …

Il est particulièrement révoltant de  voir les Gauchos et les islamos s’exonérer joyeusement de tout antisémitisme  et de pointer un antisémitisme persistant à l' »extrême-droite »…

Dans cette vidéo, animée par une petite tête à claques,  l’infâme Bouteldja explique, sans rire,  devant un dhimmi gaucho  de compétition, Benatouil,  que, non seulement, les musulmans n’ont jamais été antisémites mais que l’antisémitisme qu’ils manifestent est dû à l’imprégnation  par l’antisémitisme des  « Blancs » !!

Plus c’est gros, plus ça passe !!

Sans doute que , lorsque  l’ignoble crapule Mahomet a massacré les Juifs de l’oasis de Khaybar, ce sont les horribles Blancs suprémacistes qui tiraient les ficelles ???

Dans cette vidéo, une autre  tête  à claques de la LFI explique, en substance, que, « nous, la Gauche n’avons jamais été antisémites »  contrairement à l’extrême-droite, bien sûr, avec le même dhimmi Benatouil

Toujours ce parallèle à faire entre  fonctionnement intellectuel des Gauchos et des islamos.

Je ne  traiterai que le cas de la Gauche française, tant  est grande l’évidence d’un antisémitisme coranique, impuni depuis 1400 ans.

Je passe sur l’antisémitisme de beaucoup des penseurs de Gauche du XIXème siècle.

Je passe aussi sur l’attitude du PCF,  le 20 juin 1940, allant négocier avec l’autorité nazie d’Occupation, pour la reparution légale de l’Humanité, sur des bases violemment antisémites.

Le seul parti français  de masse, authentiquement fasciste, était celui de Doriot  (lui même ex-communiste) structuré par des cadres ex-communistes : ce n’est pas un hasard.

Je voudrais me consacrer  à l’antisémitisme de Gauche de l’époque de la création de l’Etat d’Israël (1947) jusqu’à nos jours.

Dans les faits : comment dans   la Gauche totalitaire (léniniste) l’antisémitisme  s’est-il   totalement reconfiguré  au début des années 50 ?

Car  la Gauche léniniste de 2024  replonge à fond dans cette névrose …

C’est le temps où l’antisémitisme a pris, à Gauche, pour la première fois,  le masque de l’antisionisme

C’est dans l’URSS stalinienne qu’il faut en rechercher les origines

Certes dès l’après-guerre, (1945), les officiers juifs ont été écartés de l’Armée Rouge, mais c’est en 1953, lors de l’affaire dite des « blouses blanches » que va prendre forme l’antisémitisme que nous connaissons  aujourd’hui à l’extrême-gauche, antisémitisme qui se dissimule sous un nouveau  vocable  : l’antisionisme.

Un ballon d’essai avait déjà été lancé lors du procès Slansky (novembre 1952) en Tchécoslovaquie, les accusés, majoritairement juifs, étant condamnés et pendus sur l’accusation de « complot sioniste ».

L’origine de la vague antisémite  début de  1952-53, en URSS, a pour source un insignifiant  différend entre Staline et son médecin juif, Vinogradov.

Aussitôt la paranoïa stalinienne se met en branle.

Des médecins, majoritairement non-Juifs, sont arrêtés, mais une vague antisémite commence à se déchaîner .

D’ailleurs le masque commode de  l’antisionisme, qui veut que le mot « Juif » ne soit jamais employé,  est encore mal rodé, car aux accusations bien commodes de « sionisme » se superposent celles d’ « agents de la bourgeoisie juive internationale ».

Le régime stalinien ressort même  les accusations  de l’époque tsariste, de sacrifices humains, de crimes rituels.

L’URSS de Staline va-t-elle répéter les crimes de l’Allemagne d’Hitler ?

Non, car, au moment même  où la vague haineuse prend de l’ampleur, Staline meurt (5 mars 1953).

La Gauche léniniste a pris l’habitude, dès lors,   de rejeter  les crimes de son camp à l’extrême-droite, au nazisme.

Ainsi lors de la chute du régime Khmer Rouge (1979)  a-t-elle, par un tribunal ad hoc,  imputé à Hitler (!!)  les crimes  qui étaient ceux de Pol Pot …

Pas à Staline-Mao !!

C’est ce qu’elle fait, encore,  en accusant Marine ou Zemmour d’antisémitisme.

C’est bien commode comme est bien commode d’utiliser le  mot « sioniste » à la place de « juif » : ça permet d’énoncer toutes  les horreurs  antisémites possibles,  en se parant du manteau de l’humaniste moderne, si cher à un Aymeric Caron.

Les prosélytes de l’islam ont bien assimilé l’astuce, ils se sont bien mis au parfum de l’extrême-gauche  et leur antisémitisme, je le répète massivement coranique et totalement impuni, peut se donner libre cours.

Il faudra bien, en France, poser franchement, un jour, le grave problème de l’antisémitisme musulman.

Dans le monde catholique, après la Shoah, l’Eglise a lancé un processus d’examen de conscience avec la déclaration de Vatican II « Nostra aetate » (1965).

(Je pense, par ailleurs, qu’elle aurait dû se limiter strictement  au Judaïsme, religion sœur, et certainement pas, en tous les cas,  inclure l’islam).

Rien de tel dans la  Oumma : elle a toujours eu les fesses propres, n’est-ce pas ?

Et ce n’est, certes,  pas la Gauche qui va aider à cet examen de conscience : mais la conscience de faire le mal existe-t-elle en Islam ?

Sans Décalogue, cela ne semble guère possible …

Oui, l’antisémitisme  coranique  persistant  ne doit tromper personne.

J’écoutais, il y a trente ans, une radio islamiste « française », lors de la ligne ouverte, les auditeurs maghrébins appelaient et vomissaient:

« Les Juifs ceci, les Juifs cela. ».

L’animateur, un profond pervers musulman (est ce un pléonasme ?), les interrompait  « Dites « les sionistes » ! Dites  « les sionistes  » ! « .

Oui, ça ne trompe personne chez les Patriotes.

Il fallait la répugnante Gauche mélenchoniste pour feindre de ne s’apercevoir de rien, pire de renchérir dans le profond antisémitisme coranique en y plaquant, en  plus,   celui des temps staliniens …

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