Enfin ! L’UNRWA est persona non grata en Israël. Il a fallu plus de 70 ans pour que cette décision indispensable soit adoptée par la Knesset, 70 années de pudibonderies et de lâcheté, largement imputable aux partis de gauche, pour que cette page de veulerie soit enfin tournée.
Évidemment, levée de boucliers par l’ensemble des chefs d’État, essentiellement occidentaux, toujours aussi pleutres, les autres défendent leur chapelle ce qui, en soi, est moins condamnable. Tous levés contre ce seul petit État démocratique, suivant comme un seul homme l’ONU dont la discrimination négative envers Israël n’est plus à démontrer.
Cette décision est la suite d’une décision quasi unanime de la Knesset qui a comptabilisé 92 voix pour cette décision sur un ensemble de 120 députés dont une vingtaine de députés arabes israéliens !
Conséquences de cette décision, l’UNRWA est interdite de présence sur l’ensemble du territoire israélien. Cette institution, sorte de cheval de Troie des Frères musulmans en Israël, ne pourra plus désormais exercer son influence néfaste sur les populations des prétendus Palestiniens exilés depuis plus de 70 ans, et dont l’incapacité à s’assumer était la seule cause de la présence de cette institution qui enfermait ces populations dans la pauvreté et la haine d’Israël.
Israël commence à remettre le bon sens au pouvoir et à abandonner cette bonne conscience qu’elle se donnait en tolérant cette présence nuisible, bonne conscience qui selon Charles de Gaulle voit « de la lâcheté dans la modestie ».
Au demeurant, c’est peut-être l’aberration que constitue l’UNRWA (United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees in the Near East) qui manifeste le mieux la lente pénétration du palestinisme dans l’ONU. Créée en 1949 pour venir en aide aux près de 700.000 Arabes de Palestine déplacés durant la lutte d’indépendance menée par les Juifs de Palestine mandataire, l’UNRWA est aujourd’hui la plus grande agence des Nations unies. Tandis qu’elle devait être dissoute en 1953 (toute mission de l’ONU concernant des réfugiés étant conçue pour un temps limité de un à trois ans), l’agence a poursuivi son activité jusqu’à ce jour. Considérant comme des réfugiés au même titre que leurs ascendants de 1949 lesdits Palestiniens des générations suivantes, l’UNRWA contribue à perpétuer l’exigence d’un « droit au retour » de plus en plus illusoire le temps passant et la population concernée atteignant désormais environ 5 millions de personnes (on fait mieux comme génocide !).
L’UNRWA cautionne un enseignement foncièrement antijuif dans ses écoles, la dissimulation dans ses hôpitaux et bâtiments administratifs d’une partie de l’arsenal du Hamas et d’autres groupes terroristes palestiniens, la construction des centaines de kilomètres de tunnels à usage militaire contre Israël sous la Bande de Gaza, le détournement par les djihadistes de sommes importantes, de l’aide alimentaire et en médicaments destinée à la population et la transformation des Gazaouis en boucliers humains. Ce scandale atteignant son summum avec la découverte de l’implication dans les massacres du 7 octobre 2023 de plusieurs employés de l’agence onusienne dans la Bande de Gaza.
Il a fallu du temps à Israël pour extirper ce poison né de la volonté de l’ONU au sortir de la guerre initiée par les pays arabes contre le jeune État d’Israël, cause de l’apparition de ces exilés, devenus par la magie de la propagande peuple palestinien qui n’existait pas avant cette date, les Palestiniens étant les juifs présents sur cette terre depuis le 19e siècle à la suite des pogroms de Kichinev qui s’ajoutèrent au juifs qui depuis la nuit des temps étaient présents sur cette terre.
La responsabilité des Occidentaux
Comment s’étonner alors qu’Israël souhaite voir dissoute cette officine pro-palestinienne qu’est l’UNRWA et que Tsahal n’hésite plus à bousculer la FINUL qui fait le jeu du Hezbollah au sud Liban ? Mais une fois encore, les rôles sont inversés. On s’offusque de la riposte israélienne pour protéger sa frontière nord. Ce sont pourtant toutes les démocraties occidentales qui devraient réclamer cette dissolution. Plutôt que de conspuer Israël, l’Union européenne, principal contributeur au financement de cette institution, devrait prendre la mesure du danger d’une ONU qui orchestre son concert des nations contre Israël. Cette institution qui avait une vocation humanitaire est devenue, au fil du temps, une institution de propagande au service de l’ONU qui en dehors du secours alimentaire d’un peuple qui depuis plus de 70 ans est incapable d’assumer sa propre survie sans le cordon ombilical que lui apporte les Occidentaux à travers cette institution, a le rôle néfaste d’assurer l’éducation des jeunes populations dans le récit d’une histoire fabriquée de toutes pièces pour dénigrer Israël et le peuple juif, et de permettre que perdure cette guerre à la base d’un fondamentalisme religieux qui n’a rien de territorial et qui ne trouvera pas sa solution dans la création un énième État arabe, ennemi par définition aux frontières d’Israël.
Guy Sebag
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Il serait temps que la »presse « ,les média ,en général , arrêtent de mettre la tête sous l’aile en galinacés soumis aux subventions étatiques .
Faites savoir CONCRETEMENT à la Représentation permanente de la France auprès de l’ONU que vous souhaitez vous aussit la dissolution de l’UNRWA :
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