Apathie voulait raser Versailles, Guénolé veut raser le Sacré-coeur…

Rappelez-vous Apathie qui, en 2017, disait que s’il était élu il raserait le château de Versailles au bout d’une démontration plus qu’hasardeuse où il fustigeait le succès d’écrivain de Zemmour vendant 500 000  livres quand lui, sublime Apathie devait se contenter de 5000 bouquins vendus (c’est juste que Zemmour est meilleur que toi, Ducon mais ton narcissisme t’empêche de le reconnaître).

Pour lutter contre cette discrimination, que dis-je, cette injustice abominable… rasons tout ! Faisons disparaître « l’esprit politique français » conservé par le souvenir de Louis XIV, Napoléon et le Général de Gaulle.

Le problème de « l’esprit politique français » aux yeux du malade mental ? Ce serait l’idée que le volontarisme en politique résout tous les problèmes :  « quand on fait de la politique en France c’est avec l’idée que l’on va renverser le monde ». La peur d’Aphatie ? Que les Français aillent en pélerinage cultiver l’idée de la grandeur de la France. C’est juste énorme… On comprend bien pourquoi la fascination de Mélenchon,  DES JOURNALEUX français comme Apathie et des mondialistes pour les dictateurs  soi-disant de gauche (pseudo-révolutionnaires nihilistes). 

Le nouvel Apathie est né, il s’appelle donc Guénolé -s’il est aussi médiocre et nihiliste que Apathie il ne fait par partie de la génération de ceux qui, comme Apathie ont bénéficié de l’école républicaine qui leur a permis de savoir penser et parler… c’était ça aussi le fameux esprit français !

Cet imbécile clame avec joie (on sent qu’il est très fier de lui, le pauvre type) le fameux slogan des ennemis du genre humain « du passé faisons table rase ». Quand ils ne réécrivent pas l’histoire, ils veulent détruire ce qui reste des choix de nos ancêtres, des guerres de nos ancêtres, des victoires et des défaites de nos ancêtres. Et tout cela, naturellement, à la lumière d’interprétations politiques douteuses.

On pourrait penser  que le Guénolé n’a pas fait de longues études classiques qui lui auraient appris la patience, le respect, l’admiration pour les oeuvres dites éternelles, fussent-elles voulues ou construites par nos ennemis ! Erreur, il a été formé à l’Institut catholique Stanislas de Nice… C’est peut-être la clé, la haine du père, Guénolé ? Et en plus il n’a pas de goût et pas le sens du beau. Parler de « merde architecturale » à propos du Sacré-Coeur, faut le faire.

Cerise sur le gâteau, cet ignare digne d’être caricaturé par un moderne Molière (ignorantus, ignoranta, ignorantum…) raconte n’importe quoi comme l’explique le journaliste et historien Patrick Sbalchiero :

[…]

Non, la basilique de Montmartre n’a pas été érigée en expiation des victimes de la Commune! C’est là une erreur historique répétée et diffusée par maintes personnes. Pour deux raisons au moins: le texte du Voeu national mettant en oeuvre le futur chantier a été rédigé avant la Commune. Deuxièmement, aucun des membres du Comité du Voeu national n’était revanchard mais des chrétiens fervents, très respectueux des autorités ecclésiastiques, presque tous issus du catholicisme social, féru d’actions caritatives (Société Saint-Vincent de Paul, etc.).

Non, la basilique de Montmartre n’a pas été érigée en ‘expiation des victimes’ de la Commune !

En revanche, il est exact de dire qu’une part non négligeable des membres du Comité ont échangé, de façons diverses, avec les milieux anticléricaux et antirépublicains (légitimistes, orléanistes…). La France est partagée en deux depuis le 21 janvier 1793, date de l’exécution de Louis XVI. C’est la Révolution française qui sert alors de pomme de discorde entre les deux ‘camps’ , bien davantage que la Commune de 1871.

Ne peut-on pourtant pas protéger le bâtiment par considération pour son histoire? Cette inscription n’est-elle pas un geste de réconciliation?

Si, dans une certaine mesure. Mais les gestionnaires des Monuments historiques sont des gens sérieux et très rigoureux et prennent en priorité en compte la dimension matérielle et l’intérêt du patrimoine des bâtiments qu’ils prennent en charge ; la réconciliation entre les ‘deux France’ n’entre pas forcément en compte…

L’architecture du bâtiment est controversée: pour de nombreux Parisiens, il s’agit de l’un des monuments les plus laids de la ville…

Oui, c’est le moins que l’on puisse dire, et dès le commencement. Beaucoup de critiques ont été formulées quant à son style général, son emplacement, sa décoration intérieure, son éclairage, la manière d’y accéder, etc. 

On a évoqué son aspect «meringue» ou «romano-byzantin», inspiré par la cathédrale de Périgueux par exemple que l’on avait confiée au même architecte que la basilique montmartroise. D’un autre côté, de grands artistes (écrivains, peintres) ont célébré le site. Je pense qu’aujourd’hui, imaginer la capitale sans la basilique est très difficile!

Allez, juste pour rigoler, loli coup de sang de Di Vizio (dont l’explication est vaseuse, c’est le moins que l’on puisse dire, mais c’est Di Vizio).

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6 Commentaires

  1. Et si l’on « rasait » ces deux pitres. On me dit dans l’oreillette qu’ils le sont déjà… Oui, mais moi, je me comprends…

  2. Le crâne rasé de ces deux bourrins de gooche traduit leur obsession pour tout raser …. tout et tous, par Toutatis !