Article du journal allemand « Die Welt »
SECONDE FONCTION
PAR ORDRE D’IMPORTANCES DANS L’ÉTAT
Le Conseil National d’Autriche élit pour la première fois un membre du parti FPÖ au poste de Président du Parlement
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Le membre du parti FPÖ, Walter Rosenkranz, est le nouveau président du Conseil national à Vienne. Les Verts autrichiens avaient tenté au préalable d’empêcher son élection – en vain. Sur les 183 députés, 100 ont voté pour cet homme de 62 ans.
En Autriche, un membre du parti politique nationaliste de droite Freiheitliche Partei (FPÖ) – Parti Libéral – a été élu pour la première fois au poste de Président du Conseil national. Après que le FPÖ est sorti vainqueur aux élections parlementaires il y a au moins trois semaines, les députés ont voté majoritairement pour Walter Rosenkranz, l’actuel Volksanwalt – Membre du Collège des Médiateurs -.
Sur les 183 députés, 100 ont voté pour Rosenkranz dans un vote au scrutin secret à l’occasion de la séance constitutive. Le groupe parlementaire des Verts a refusé unanimement Rosenkranz. Beaucoup de parlementaires d’autres partis ne le soutiennent pas non plus.
Traditionnellement, le président a toujours appartenu au parti le plus fort au Parlement. Jusqu’à présent, les fonctions ont toujours été exercées par des candidats du parti conservateur ÖVP (Österreichische Volkspartei – Parti populaire autrichien) ou du part socialdémocrate SPÖ. L’élection était considérée jusqu’à présent comme simple formalité, mais après que le FPÖ est devenu pour la première fois la force principale aux élections parlementaires fin septembre, des critiques ont vu le jour. Jusqu’au vote, il était resté incertain si le candidat du FPÖ atteindrait la majorité nécessaire.
Les Verts : « Pas d’extrémistes de droite en tête du Conseil National ».
Rosenkranz n’exerce pas seulement les secondes fonctions de l’État après le Président fédéral. Lors de la formation du gouvernement, le FPÖ n’a joué dans un premier temps aucun rôle, étant donné qu’aucun autre parti n’est disposé à se coaliser avec lui. Le Président fédéral, Alexander Van der Bellen a chargé l’ÖVP sous la direction du chancelier en exercice Karl Nehammer de la formation du gouvernement. Vendredi commenceront des entretiens de sondage avec le SPÖ, auxquels doit participer un troisième partenaire de coalition. Sont possibles à cet égard les membres du parti Neos libéral ou bien les Verts, ce qui pourrait mener pour la première fois à une « coalition à trois » en Autriche.
Les Verts ont tenté d’empêcher la nomination de Rosenkranz aux fonctions de Président du Parlement et ont lancé une pétition sous le slogan : « Pas d’extrémistes de droite à la tête du Conseil national ». La communauté cultuelle israélite de Vienne a mis en garde contre le fait de laisser ces fonctions à Rosenkranz. Elle a critiqué sa proximité avec les associations nationales allemandes et lui a reproché de minimiser les crimes des nazis.
Le Président du Parlement est élu pour cinq ans et ne peut pas être déchu de ses fonctions. Il dirige les affaires du Conseil National et fixe les dates des sessions. Il pourrait ainsi théoriquement différer la législation en ne convoquant pas de session. Il est habilité à priver les députés de leur voix ou à prononcer des remises en ordre. Il représente de plus le Parlement vers l’extérieur, entretient des contacts avec les collègues fonctionnaires internationaux et peut inviter des hôtes étrangers. Il prend également en charge la représentation du Président fédéral, si celui-là en est empêché pour plus de 20 jours, est déchu de ses fonctions ou bien décède.
Rosenkranz dispose d’une expérience de longues années en tant que député. Depuis 2008, il était membre du Parlement et a été nommé directeur du FPÖ avant d’être élu en 2019 membre du Comité des médiateurs. Cet homme de 62 est entre autres critiqué pour être membre de la Bürchenschaft Libertas -Fraternité Libertas -. En 2022, il a présenté sa candidature aux fonctions de Président fédéral, mais a été devancé cependant par Van der Bellen.
Traduction de Jean Schoving pour Résistance républicaine
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Les Verts qui représentent l’extrême gauche, ne veulent pas de l’extrême droite.
Il faudra bien vous y faire….car vous avez assez grugé vos électeurs, ils ont fini par comprendre.
Les Verts allemands vont péricliter qu’ils le veuillent ou non.
Bonjour,
Passant 40% de l’année en Autriche depuis plus de 15 ans, je peux vous affirmer que, après m’étre aperçu ou après avoir été informé par eux mémes, que j’avais pas mal d’amis juifs ( centres d’interéts (non religieux) travail, santé etc, en commun et que plus de 2/3 des 17000/18000 juifs autrichiens votent depuis très longtemps pour Ôvp et de plus en plus Fpö dés sa création…
L’association cultuelle mentionnée dans l’article ne représentant que quelques orthodoxes et gauchistes. Beaucoup moins de de juifs » degauche » qu’en France…
Le demenagement de la » Machine Soros » de Budapest à Wien n’est pas trés apprecié.
Merci à M Schoving de faire partager ces articles en allemand car , sans lui, peu de vrai infos, nos merdias gauchistes deformant à leur maniére tout ce qui touche à la Bavière et à L’autriche..
Vielen Dank für die Übersetzung, herr Schoving.
J’espère que le FPÖ arrivera à faire quelque chose d’extrêmement positif pour le peuple autrichien.
On voit bien que tous ces systèmes et ces organismes de « coalition » sont faits pour étouffer
les voies dissidentes du peuple et les amener de façon irréversible ce sur quoi tous les autres faux-adversaire sont d’accord : européisme carcéral, immigration mortelle, escrologie punitive et paupérisante, mondialisme en général.
Chez nous, impossible, il y a un cordon sanitaire, ou Front dit républicain synonyme de magouilles…