Il n’a pas été sélectionné ce mardi parmi les quatre finalistes du Goncourt 2024 ! « Il », c’est le livre au contenu pornographique à savoir “Le Club des enfants perdus” de Rebecca Lighieri, livre que -pour quelle raison ? Erreur ou provocation ?- les organisateurs du Goncourt des Lycéens ont choisi de mettre également entre les mains de milliers d’adolescents et d’adolescentes pour la sélection du Goncourt des Lycéens ! Et, à ce jour, on ne sait encore si ce roman décrivant de la façon la plus crue qui soit des scènes de relations sexuelles entre deux personnes, fera partie de la finale.
D’ailleurs les réactions de la presse avaient, en fonction des lignes politiques des uns et des autres, traduit une approbation ou une désapprobation…
Télérama : “Le Club des enfants perdus”, de Rebecca Lighieri : le roman de la génération Z qui fait enrager les réacs… »
L’Humanité : « Le Club des enfants perdus » de Rebecca Lighieri : au delà des polémiques, un roman brillant et sensible »
La Croix : « Pornographie, n’ayons pas peur des mots. »
Le site
actualité.com : (1)« Le Prix Goncourt des Lycéens accusé d’“incitation à la débauche”
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« Rappelons que les livres étudiés sont ceux de la sélection de l’Académie Goncourt, et se trouvent donc en compétition pour le Prix Goncourt et le Prix Goncourt des lycéens. »
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L’association SOS Éducation a mené une campagne vigoureuse contre la présence d’un tel livre dans la sélection à l’adresse des lycéens -bien évidemment tant filles que garçons !-, campagne qui s’est concrétisée par l’envoi d’une lettre adressée le 4 octobre à Michel Barnier, le Premier Ministre, ainsi qu’aux ministres de l’Intérieur, de l’Éducation Nationale et de la Culture.
Une lettre d’une vingtaine de pages dans laquelle Sophie Audugé, Déléguée générale de SOS Éducation, détaille tous les passages du livre où apparaissent des mots d’une vulgarité telle que les organisateurs de ce Goncourt des Lycéens auraient dû éviter de le donner à lire à 2000 mineur(e)s d’une cinquantaine de lycées !
Je vais vous en donner quelques extraits mais comme cet article peut tomber sous les yeux de mineurs, personnellement, je censurerai certains mots -qu’un adulte devinera- :
« Mon pantalon est désormais baissé jusqu’aux chevilles et ma femme m’enfourche sans attendre que je sois complètement en ér..tion, s’enfilant b..e, index et majeur dans la ch..te. De toute façon, ça y est, je b..de à fond et elle retire ses doigts. »
« …à la façon dont elle frétille contre ma qu..e, je devine qu’elle a envie d’une pénétration an.le. À condition que je la prépare, bien sûr, et ma main tâtonne (…) à la recherche d’un tube de crème que nous réservons à cet usage. Je devrais être heureux qu’elle aime la sod..ie. C’est loin d’être le cas de toutes les femmes(…) :
–Ah non, pas question, c’est trop crade.
-Lave-toi le c.l avant, si tu ne veux pas que ce soit crade. »
«… je m’introduis dans son c.l préalablement lubrifié et travaillé par des rotations vigoureuses de l’index. »
« Déf..ce-moi, suce tes doigts, caresse-toi, viens t’asseoir sur ma bouche, serre fort, sens-moi, tu vas me faire cracher, lèche-moi les tétons, gicle en moi, prends, regarde comme je suis ta chienne, tire-moi les cheveux… C’est drôle, la façon dont le dialogue érotique se met en place au sein d’un couple. »
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Voilà -du moins pour les passages les moins hards- ce que des milliers de filles et de garçons -mineurs !- ont pu lire grâce au Goncourt !!!
Et ce livre incite même les lycéens à prendre de la drogue !!!
«C’est quoi la 3M ?
-Un ersatz de cocaïne, je crois. Les jeunes adorent.
-Et la D ?
-C’est la drogue de l’amour, mon amour : la MDMA.
-Tu en as déjà pris ?
-Tout le monde en prend. »
Si l’intégralité de cette lettre de SOS Éducation au Premier Ministre vous intéresse :
https://soseducation.org/docs/mobilisations/contenus-pornographiques-lycee-lettre-institutionnelle.pdf
Sur le site actualité.com, les réactions hostiles se poursuivent :
Chimel : « …avec le livre Rebecca Lighieri, Le Club des enfants perdus (P.O.L). Je ne suis pas spécialement craintif, mais les extraits lus, à 14 ans, dans le cadre de l’Éducation nationale, n’importe quoi. Peut-être des familles pourraient-elles porter plainte. Même en terminale, ça va poser des problèmes à certain(e)s. Je n’ai pas lu le livre, n’ai pas l’intention de le lire, ne soutiens aucune censure, mais sa place n’est pas dans ce concourt destiné aux lycéens. »
Alex : « On dit vouloir protéger les enfants !… Vous continuez à détruire cette jeunesse avec ce livre le Club des enfants perdus. A retirer de la liste de toutes urgences . Honte aux sélectionneurs. »
Pascale : « Je me pose la question de savoir comment deux romans incluant du « trash » porno et des détails sur des pratiques sadomasochiste (le club des enfants perdus et aucun respect ) ont pu être sélectionnés et donnés en lecture à des jeunes lycéens. Qu’est-il attendu ? Du mimétisme ? Des passages à l’acte ? Comment l’éducation nationale qui se dit vouloir lutter contre la pornographie a pu valider ce choix ? Cela laisse songeur sur l’orientation prise par nos dirigeants. Et il ne s’agit pas là de pudibonderie décalée mais juste de savoir dans quelles mains ont laisse ces ouvrages et l’impact que cela peut laisser ! »
Ilya : « C’est bien de faire lire de la pornographie à des lycéens. Merci à l’éducation nationale pour ce choix. »
Vivy : « humour noir ou parole franche??? »
Ilya : « Humour noir bien évidemment. Cela fait près de deux semaines que l’alerte a été lancée sur YT et autres réseaux sociaux et AUCUNE réaction de la part des autorités et encore moins des grands média (qui sont aux ordres donc … silence). On aura donc compris qu’il y a volonté de corrompre nos jeunes esprits. »
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Pour le Goncourt lui-même, France Info a précisé que « Les quatre finalistes du Goncourt, le plus prestigieux des prix littéraires français, ont été révélés, mardi 22 octobre 2024, à Bucarest. L’Académie Goncourt a choisi entre huit titres, qu’elle a désignés trois semaines auparavant. Sandrine Collette (Madelaine avant l’aube, JC Lattès), Kamel Daoud (Houris, Gallimard), Gaël Faye (Jacaranda, Grasset) et Hélène Gaudy (Archipels, Éditions de l’Olivier) sont les derniers en lice. Parmi ces quatre finalistes, il faudra désigner un seul roman lauréat, le 4 novembre, au restaurant Drouant, à Paris, comme le veut la tradition. Les finalistes du Goncourt sont désormais annoncés dans des grandes villes de pays avec lesquels la France cultive des liens culturels anciens. En 2022, c’était à Beyrouth (Liban) et, en 2023, à Cracovie (Pologne). Et cette année, la capitale de la Roumanie. »
Donc pour le Prix Goncourt, le si contesté « Club des enfants perdus » de Rebecca Lighieri n’est pas dans le sélection finale…
Ce ne serait pas une bonne chose pour l’organisation du Goncourt que les ados laissant leur libido s’exprimer, placent ce « Club » parmi leurs quatre finalistes !
Jacques MARTINEZ, journaliste,
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
(1) « Créé en 1988, le Prix Goncourt des Lycéens est décerné chaque année par les lycéens eux-mêmes : 2000 d’entre eux y participent, soit une cinquantaine de classes : les établissements candidatent, et ceux qui sont retenus reçoivent les ouvrages. Ensuite, les lycéens ont deux mois pour lire les romans, avec l’aide des enseignants. Pendant cette intense période de lecture, sept rencontres régionales sont organisées entre auteurs et lycéens. »
https://actualitte.com/article/119017/prix-litteraires/les-14-romans-en-lice-du-prix-goncourt-des-lyceens-2024
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Je soupçonne de pervers pédophiles à l’origine de ce choix.
Des gauchiasses bien sûr, c’est le vivier le plus fécond en déséquilibrés sexuels.
Et personne pour superviser le choix ?
Cela m’étonne, vu que la censure s’abat partout et pour tout.
En effet, ça change du Grand Meaulnes !
Encore une pseudo-« élection » soigneusement filtrée et truquée par les adultes organisateurs.
Du vent puant déguisé en démocratie, comme d’habitude quand ils s’attaquent aux jeunes…
pire que les films les plus pornos de la planète ! cette bonne femme doit être sacrément frigide, droguée, pour se complaire dans la description de ce « rut animal » qui est le propre des « peines à jouir » des pauvres paumées
Cette éducation est une honte, nos enfants savent à peine lire et compté et déjà ont leur apprend à baiser et à s’exprimer dans les termes les plus cru. Tiens je suis surpris que nono la rondelle n’ait pas proposé sont torchon. Cette france me fait de plus en plus peur. Franchement je plein nos gosses.
Il semblerait qu’une maman, une seule, s’est insurgée et a appelé S Audigé ! bon ! peut être ne sommes -nous pas obligé de la connaitre, aussi il faut lui faire de la pub, elle agit avec grande intelligence et elle est le contrepoids, la seule, de ceux qui font les programmes ! Si une seule maman a réagit c’est que les autres mamans et pères ne savent pas, ou ne savent pas qu’elles peuvent réagir, à nous de les aider à se positionner ! On veut vraiment faire de nos jeunes des lapins qui inévitablement passeront à l’action sans garde fous ! C’est tout de même incroyable, cette tendance, au plus haut , de vouloir faire de nos jeunes, des personnes qui ne savent ni lire ni écrire, – voir dans les écoles d’ingénieurs, le retrait de l’épreuve de français – , mais savent » band… »
SOS EDUCATION à qui je demandais plus d’actions, me répond qu’ils sont une petite équipe et sans beaucoup de moyens, aussi si des personnes veulent aider cette association, elles peuvent peut être se signaler ..je dis ça … la seule aide que j’ offre c’est d’envoyer tous les articles que je vois et qui sont susceptibles de les intéresser
Dans la droite ligne des pédo style Libération, quoi. J’apprends qu’on a fait lire un truc comme ça à mes gosses, le professeur a intérêt à quitter le pays. D’ailleurs, il y a vraiment des professeurs qui ont trouvé ça normal de faire lire ça aux gosses ? Ils se disent qu’à 14 ans, les mecs regardent déjà des magazines porno, alors ça passe ? C’est pas plutôt de se dire qu’à 14 ans, un petit ne DEVRAIT PAS avoir déjà vu un magazine porno ?
on s’étonnera de leurs manques de repères envers les femmes!!!!
« « Rappelons que les livres étudiés sont ceux de la sélection de l’Académie Goncourt, et se trouvent donc en compétition pour le Prix Goncourt et le Prix Goncourt des lycéens» ». Cela ne signifie pas ni que certains soient du meilleur gôût ni qu’ils soient – et c’est bien plus grave – à mettre entre les mains de jeunes adolescents en pleine construction affective, bande de nazes dépravés !
La pornographie était jadis l’apanage des vieux libidineux, ou des vicelards en mal de priapisme. Des gens qui se cachaient honteusement pour se rendre au sex-shop voisin. Désormais, elle est partout. Quand votre concierge met le panneau indiquant que la gardienne est occupée, mieux vaut ne pas chercher à savoir pourquoi et à quoi…
Je complète ma dernière phrase et à quoi et avec qui…