Champagne ! l’ordure du 7 octobre, le chef du Hamas Yahya Sinwar éliminé à Gaza !

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Ah !  que j’aime Netanyahu !!!  Et en plus ce n’est pas un coup double, mais un coup triple ! 3 ordures de moins, il y a parfois une justice en ce bas monde !

«Une déclaration commune de Tsahal et du Shin Bet [le service de renseignement intérieur israélien, ndlr] indique que les soldats de Tsahal ont tué trois terroristes à Gaza et que les forces de sécurité enquêtent sur la possibilité que Yahya Sinwar fasse partie des trois, détaille le quotidien israélien Hareetz. Elles estiment qu’il y a de fortes chances que Sinwar ait été tué.»

https://www.liberation.fr/international/moyen-orient/proche-orient-larmee-israelienne-pourrait-avoir-tue-yahya-sinwar-chef-du-hamas-dans-une-frappe-a-gaza-20241017_GA2H6MG76VFQ7OZUXXSCESSADU/

J’invite les salopards qui brandissent le drapeau palestinien à l’Assemblée à relire les hauts faits de leur héros, qui a sur les mains le sang d’innombrables juifs, à présent mis hors d’état de nuire par les valeureux Israéliens. Qui plus est il n’a même pas la reconnaissance du ventre pour Israël qui l’a fait soigner, opérer, et lui a sauvé la vie ! Cela ne l’a jamais empêché d’encourager les Palestiniens à tour de bras femmes, enfants et soldats juifs. Une bête immonde abattue. Une de moins.

Yahya Sinwar dirige à partir de la fin des années 1980 le service de renseignement du Hamas et organise l’enlèvement et l’assassinat de plusieurs Israéliens et de Palestiniens considérés comme collaborateurs. Il est arrêté en 1989 et condamné par la justice israélienne pour l’assassinat d’une douzaine de personnes et est victime, en prison, d’importants problèmes de santé. Libéré en 2011 dans le cadre d’un échange de prisonniers, il réintègre le mouvement islamiste et en est promu chef de la bande de Gaza en 2017, qu’il dirige de facto, la direction politique vivant au Qatar1.

En août 2024, après l’assassinat d’Ismaël Haniyeh, il devient le chef du Hamas. Il est considéré comme faisant partie de l’aile la plus dure du Hamas, par opposition à Ismaël Haniyeh, représentant d’une ligne plus modérée.

En 1988, il est arrêté par le Shin Bet, soupçonné de l’exécution de douze « collaborateurs palestiniens ». Lors d’un interrogatoire en 1989, il reconnaît être l’auteur de plusieurs meurtres, mais ne regrette pas ses actes. Il considère que faire avouer et punir les collaborateurs est un « devoir »

Yahya Sinwar est emprisonné à Beer-Sheva, dans un complexe situé dans le Néguev . Il est reconnu coupable de quatre meurtres et condamné à trente ans de réclusion.

En 2004, lors d’un entretien avec le dentiste et médecin de la prison — qui deviendra plus tard officier du renseignement israélien dans les prisons — Yuval Bitton, il a des difficultés de mémoire, perd régulièrement connaissance et se plaint de douleurs dans la nuque. Le médecin soupçonne un accident vasculaire cérébral et Sinwar est envoyé à l’hôpital. Les médecins l’opèrent et lui extraient une tumeur au cerveau, qui aurait pu lui être fatale. Yahya Sinwar remercie le dentiste, expliquant qu’il « lui doit la vie » et ils nouent « une sorte de relation, des ennemis jurés qui faisaient néanmoins preuve d’un respect mutuel prudent », selon le New York Times. Ils passent beaucoup de temps ensemble, prennent le thé, discutent et s’analysent mutuellement. Cependant, contrairement aux autres prisonniers, Sinwar ne parle que du Hamas et du Coran lors de leurs entretiens, récitant la doctrine du mouvement. Yahya Sinwar passe sa période de convalescence à apprendre l’hébreu et lit l’actualité israélienne, cherchant à « mieux comprendre son ennemi ». Le prisonnier traduit des autobiographies de responsables des services secrets israéliens en arabe pour les transmettre au Hamas afin d’analyser leur stratégie de défense2. Il obtient aussi un diplôme en histoire.

En raison de sa longue détention, il gagne le surnom de « général » parmi ses pairs ; il est désigné « émir », responsable de la prison et dirigeant du Hamas à l’intérieur de celle-ci, poste qu’il occupe en alternance avec son ancien frère d’armes Rawhi Mushtaha, inculpé en même temps que lui. Selon des rapports rédigés par les autorités israéliennes, Sinwar a la « capacité de transporter des foules » mais « garde des secrets même à l’intérieur de la prison » Pendant sa captivité, l’Autorité nationale palestinienne verse à sa famille une pension mensuelle de douze mille shekels (à peu près 3000 euros)

Durant ses années de prison, il tente de s’évader à plusieurs reprises, notamment en creusant le sol de sa cellule. Il parvient aussi à rester en contact depuis sa cellule via l’usage de téléphones dissimulés ou par le biais de son avocat et des visites qu’il reçoit. Il est soupçonné d’avoir commandité des exécutions de prisonniers depuis la prison de Beer-Sheva2.


Lors de sa détention, Sinwar encourage aussi ses hommes à tenter de capturer des Israéliens, sachant qu’ils pourraient les échanger contre des prisonniers palestiniens. En 2011, après vingt-deux années de détention, Sinwar fait partie des mille prisonniers relâchés par Israël en échange du caporal franco-israélien Gilad Shalit, capturé par le Hamas. Il est cependant mis à l’écart lors des négociations, les Israéliens craignant qu’il ne les fasse échouer. Le docteur Bitton tente de convaincre les autorités de ne pas le libérer, le considérant comme dangereux, mais il est finalement inclus dans l’accord, « n’ayant pas autant de sang juif sur les mains » que les autres détenus de haute valeur. Il s’agit d’une erreur pour Yuval Bitton, qui estime qu’il faut « examiner les capacités du prisonnier à utiliser ses compétences contre Israël et pas seulement ce qu’il a fait – son potentiel. »2. Il est alors accueilli en héros à Gaza, défilant aux côtés d’Ismaël Haniyeh, et appelle aussitôt les brigades Izz al-Din al-Qassam à commettre d’autres enlèvements d’Israéliens pour obtenir d’autres libérations de prisonniers2,5.s.

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5 Commentaires

  1. Et une belle saloperie de moins. Bravo les gars, continuez. Tous ces serpents doivent être éliminés jusqu’au dernier.

  2. Champagne ! Nous n’avons qu’une divergence : je ne déteste pas le champagne mais j’ai tendance à préférer le Clairette de Die tradition. Ma culture oenologique est sommaire mais je sais ce que j’aime… Et je sais ce que je hais.