Ô bonheur, Ô joie, le chef des terroristes anti-Israël a été éliminé

Derrière apparition de Hassan Nasrallah

L’heureuse nouvelle est tombée ce samedi dans la matinée. Elle a été confirmée à CNews quelques minutes plus tard par le porte-parole de l’armée israélienne, le colonel Olivier Rafowicz.

« Je vous confirme officiellement que Hassan Nasrallah est mort », a-t-il déclaré. « Nous avons tous les éléments qui permettent d’annoncer au monde que Nasrallah a été éliminé », a-t-il ajouté.

Ce jour de grâce du 28 septembre 2024 (ou de disgrâce pour les musulmans) restera une date mémorable dans l’histoire du conflit du Moyen-Orient.

Après la frappe israélienne vendredi sur le QG du Hizbollah dans la banlieue chiite de Beyrouth, le mouvement terroriste (ou ce qu’il en reste) insistait pour affirmer que le Nasrallah était vivant. Il l’était peut-être bien. Il n’est donc pas mort tout de suite.

C’est réjouissant de savoir qu’il a eu le temps de réaliser qu’Israël venait de le pulvériser. Dans un dernier souffle, il a certainement prononcé ces quelques mots de la profession de foi islamique : « Ils sont plus forts que nous ».

Il aurait pu avoir le temps d’apparaître à la télé pour parler de ce qu’il lui arrivait et promettre un « châtiment suprême » à Israël.

Plus que les Israéliens, ce sont les Libanais qui vont apprécier la disparition du terroriste en chef islamiste qui tient le Liban en otage depuis des décennies. Espérons qu’ils auront le courage de se dresser pour recouvrer leur souveraineté.

À défaut de sabler le champagne ou l’Arak, ils pourront au moins respirer. Le Hizbollah a rendu l’air irrespirable au Liban. Je l’ai connu. J’y ai vécu pendant 8 ans, de 1993 à 2000.

Le Nasrallah, un médiocre stratège d’une intelligence moyenne, n’a été, de tout le temps, qu’une machine à menaces. Il avait fait de son combat contre Israël son fonds de commerce. Il a été traqué depuis 1992 par Israël. C’était certainement la personne la plus protégée dans le monde. Il se sentait intouchable.

Mais, comment pouvait-il réunir tout son état-major, alors que ses cadres tombaient comme des mouches ?

La disparition de Nasrallah est une épine de moins dans le cul des Iraniens. Ils peuvent maintenant se désengager du conflit Hizbollah-Israël. Ils n’avaient d’engagement qu’envers leur Nasrallah.

Si cet imbécile s’est laissé tuer, il ne peut en vouloir qu’à lui-même, doivent-ils penser.

Et puis, ils en ont assez, il n’y a pas longtemps, c’était Ismail Hanyieh. Un sunnite, que Dieu le maudisse. Ils ont dû quand même s’occuper de ses funérailles. Depuis, leur mot d’ordre est : « Sunnites, faites-vous trucider chez vous avant de venir chez nous. L’Iran n’est pas une agence de pompes funèbres ».

Les musulmans ont une façon d’adresser leurs condoléances lors d’un décès. On dit : « C’est à Dieu que nous appartenons et c’est à Lui que nous retournons. »

C’est en ces mots que nous présentons nos condoléances au Nasrallah.

Retourne chez ton Allah, si tu veux, et surtout ne la ramène pas.

Nos pensées attristées et nos sincères condoléances vont à La France Insoumise et au Mélenchon, le frère du défunt.

Nasrallah-Melenchon

En avant, glorieux peuple du roi David. Il n’y a plus que le macaque Sinwar qui demeure sur le tableau de chasse.

Mais ne le tuez pas, celui-là. Vous l’avez un jour sauvé en l’opérant d’une tumeur du cerveau.

Hamas-Hizbollah
El pueblo unido, Hamas sera vencido

Opérez-le de nouveau. Enlevez son cerveau et mettez une bouse de vache à la place.

Et laissez-le meugler.

Messin’Issa

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