Merci Big Sister !

En ces temps difficiles où les drames se multiplient selon, toujours, le même scénario :

Un « gentil déséquilibré », le plus souvent sous « OQTF », viole puis tue une innocente qui a eu le tort de croiser son chemin.

Ce « gentil déséquilibré » prendra quelques années de prison après avoir infligé la peine de mort à sa victime et le désespoir perpétuel à ses proches (lesquels prennent perpétuité).

La France est bien devenue un « asile », à ciel ouvert, celui de tous les déséquilibrés de la terre qui viennent lui sucer la moelle et lui chier dessus.

 Mais n’oubliez surtout pas que la priorité des priorités c’est de combattre : « l’extrême droite » c’est-à-dire tous ceux qui pensent que les frontières sont utiles et que la première des mesures « écologiques » est de préserver le territoire de l’invasion migratoire. 

Quant à l’identité d’un peuple séculaire n’en parlez surtout pas dans certains « milieux », ceux de la gauche éthérée, celle des bien-pensants éternels donneurs de leçon de morale, aussitôt vous seriez étiqueté d’abominable sujet d’extrême droite…

Donc, en ces temps dramatiques, je vais tout de même me permettre de vous parler de faits plus légers mais emblématiques de l’état de délabrement du monde actuel.

Le lieu : salle des professeurs d’un établissement catholique (quelque part en France, tout est vrai)

Le personnage principal : dans la salle se trouve une certaine Babette* au demeurant pas désagréable et pouvant faire preuve d’humour.

Je l’entends dire à un moment, à la responsable des cours de réflexion religieuse, qu’il est scandaleux de parler de « fraternité » car ça exclut la gent féminine… une autre personne lui dit alors qu’il faudrait revoir notre devise : « liberté, égalité, fraternité » “oui”, dit-elle sans se démonter… Je sens la colère bouillir en moi et je me rappelle la fameuse phrase du père d’Albert Camus : « un homme ça s’empêche ».

L’évènement perturbateur : à un moment cette fameuse Babette m’explique qu’elle doit partager un repas en soirée avec l’un des encadrants des équipes de France de rugby. Sachant mon intérêt pour ce sport, elle me propose de demander au responsable précité une invitation à assister à des entraînements (à Marcoussis), invitation qui me serait destinée, bien sûr.

Ma faute : je la remercie chaleureusement et « ô inconscient que je suis » je lui dis spontanément :

• Eh bien si tu m’obtenais cette invitation je te ferais volontiers la bise

 La condamnation : que n’avais-je pas dit là ! Elle m’explique alors que c’est inapproprié, voire machiste, d’embrasser une femme sur les joues sachant que je ne ferais pas la même chose à un homme.

Je lui rétorque que j’embrasse les hommes de ma famille !

• Oui, mais ce n’est pas la même chose !

Avec ce genre de bonne femme fanatique de l’égalitarisme on est vraiment mal parti…

Pendant ce temps-là les agressions commises, notamment par certains mahométans, se multiplient dans notre beau pays en plein naufrage…

En outre les femmes iraniennes sont obligées de porter le voile dans leur splendide pays, subissant la tutelle d’une magnifique idéologie/religion, sous peine de bastonnade et d’emprisonnement.

Quant aux femmes afghanes considérées comme des potiches, par les abrutis de talibans, elles ont juste le droit de respirer emprisonnées sous leur burka (pas d’enseignement pour elles, ni d’activité culturelle).

Mais notre Babette « égalitariste », adepte de la connerie sans nom qu’est l’écriture inclusive (sur laquelle je vomis), ne parle pas de tout ça.

Son obsession, son unique sujet de conversation, lors des repas à la cantine, est exclusivement le « mâle blanc » et ses supposées outrances ou débordements.

Et elle n’hésite pas à endoctriner ses élèves à coups de : « trop bien, c’est trop bien de bien se comporter … » (eh oui braves gens on confie ses gamins à n’importe qui de très légèrement… lettré…)

.

Je pense sincèrement qu’avec ce genre de bonne femme on pourrait bientôt avoir ceci : rapport sexuel consenti objet d’un contrat devant notaire (chaque page étant dûment paraphée) avec possibilité de rétractation dans un délai de 14 jours (comme dans tout contrat commercial). C’est-à-dire que, malgré son consentement, la femme pourrait finalement décider qu’elle n’était pas vraiment d’accord et donc pourrait porter plainte contre son « agresseur » (bien sûr il faut que ce soit un mâle blanc descendant des affreux colonisateurs…).

On se dirige de toute façon vers des armées d’impuissants tétanisés de se voir poursuivre en justice pour « harcèlement » en cas d’intérêt prononcé, même avec courtoisie, pour de jeunes et moins jeunes femmes (il fut une époque où on appelait ça : draguer).

Avec ce genre de bonne femme on pourrait avoir, aussi, bientôt ceci :

« Tout rapport sexuel même consenti avec un mâle blanc est strictement interdit sachant que pénétrer une femme, même avec son consentement, est un acte violent, agressif, machiste, etc… »

La reproduction ne se ferait plus que par don du sperme uniquement. Seuls les « bébés éprouvettes » seraient permis…

Chaque homme, même en couple, étant vivement incité à pratiquer l’onanisme au besoin en visionnant de vieux films pornographiques (tolérance temporaire susceptible d’être supprimée).

L’idéal, la solution ultime, étant de couper les couilles à tous les mâles blancs.

Ce n’est plus « Big brother » (1984) qui veille mais « Big sister » 2024.

Dites merci les gars, à qui ? A  « Big sister » !

 Et répétez après moi : vive Big sister !!!

*Le prénom de cette lumière a été changé.                              

     Diogène 26/09/2024

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