TV et radios d’État nous cachent des infos :
 la PREUVE !

L’agression du policier par un hors la loi multirécidiviste en est la PREUVE FLAGRANTE ! MINIMISER comme le fait France Inter voire, pour certains, TAIRE complètement, à l’image de France 2, une telle information…
https://resistancerepublicaine.com/2024/09/20/quand-france2-oublie-lagression-dun-policier-au-chesnay/




Cela prouve ce que nous déplorons depuis longtemps : la plupart des journalistes des organes d’information de l’État sont habités par un certaine idéologie, celle qu’ils estiment être dans le domaine de la « bien pensance » et donc que les Français doivent être ignorants de certains faits mais être en revanche informés à l’excès de faits que, eux, jugent « bons » voire « parfaits » pour leur information. 
Ce choix, ce tri entre « bonnes » et « mauvaises » infos à donner à déguster aux « ignares » du peuple  
-seuls ces journalistes savent ce qui est bon pour lui, c’est-à-dire ce qui est bon en fonction de l’idéologie de ces… journalistes !
Cela a déjà été pratiqué à l’échelon mondial, en de nombreux pays tombés sous le joug d’idéologies dictatoriales et dont il reste encore quelques spécimens sur Terre ! C’était, par exemple, au siècle dernier la gangrène intellectuelle et culturelle qui a enfermé des millions d’humains sous des dictatures : que ce soit l’hitlérisme (guerres comprises, 60 à 80 millions de morts dont 6 millions de juifs) ou le communisme (pour l’URSS, 11 millions à cause des famines et 20 millions après procès pour raisons… politiques !).

Certes, nous ne connaîtrons pas un régime aussi mortifère mais, intellectuellement, c’est ce qui nous attend si les autorités ne prennent pas les mesures qu’il convient en matière d’information de la population. Il ne faut pas que nous en arrivions à un monopole de l’info par une seule ligne de pensée !
Que les organes de presse privés choisissent leur ligne politique en fonction de leurs financiers, cela les regarde ! Mais pour les organes financés par l’État et donc par chacun des contribuables, il conviendrait de trouver un statut correspondant à toutes les sensibilités composant la communauté française !

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Pourquoi ne pas créer un panel de personnes représentant, au pourcentage près, les résultats du premier tour des élections législatives. Le second tour ne représentant plus l’opinion de l’ensemble de l’électorat : l’idéal serait que l’assemblée nationale soit élue à la proportionnelle à un seul tour. Ainsi, le total national de chaque parti politique…
-reste à savoir ce que l’on pourrait faire pour les… « sans étiquette » ?-

…permettrait de répartir en, disons, un « Conseil des Organes d’Information » et, ainsi, chaque Français en resterait… COI ! Plaisanterie mise à part, un tel conseil, baptisé COI ou autrement, serait à l’image de la population française : ainsi, il pourrait, non dicter le travail des journalistes mais simplement leur rappeler leur objectivité, de temps à autre, s’ils débordaient d’un côté ou de l’autre, à l’image de ce que peut faire le patron -dans le privé- d’un organe de presse « faisant comprendre » à sa rédaction que là, cela lui a plu, mais ici, il n’a pas apprécié.

Un tel panel de personnes attentives à l’information de l’État et à l’adresse de TOUS les Français, personnes qui pourraient communiquer entre elles par le net sans qu’il leur soit nécessaire de les réunir physiquement, l’information diffusée par les rédactions d’État serait plus proche des Français que celles actuellement « censurées » par « nos » rédactions dont font parties, entre autres, France 2 et France Inter…

Cela reflèterait l’éventail politique choisi par les Français à chacune des élections législatives !

Ce qu’a fait France 2 -ignorer l’agression du policier- n’est pas digne de personnes titulaires de la carte de presse. Je me permets de le dire en raison d’une expérience dans ce métier de près de 60 années (1).

Même faute, selon moi, de la part de France Info qui a minimisé ça cas en titrant sur un « policier légèrement blessé » après avoir été percuté par un chauffard…
Ce qui apparaît sur leur site plus de deux jours après les faits ! Et en particulier dans l’intitulé du lien permettant d’ouvrir l’article : l’expression « un policier légèrement blessé » employée dans le titre original est restée dans ce lien :
https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/un-policier-legerement-blesse-apres-avoir-ete-percute-par-un-chauffard-lors-d-un-refus-d-obtemperer-dans-les-yvelines_6788629.html



Un conseil : faites-vous plaisir en lisant quelques-unes des 106 réactions à cet article envoyées par les lecteurs et auditeurs de France Info, réactions critiquant le traitement de cette information par cette radio d’État.

Ainsi, je me suis aperçu que les organes de presse de l’État continuaient à diffuser des informations « bien sélectionnées » parfois même « déformées » afin qu’elles entrent dans le « moule de la bien-pensance modèle wook », cela alors que nombre de leurs auditeurs ne les croient plus : dans cette bonne centaine de réactions, il n’y a quasiment que quelques rares réactions d’approbation. Elles sont perdues dans le flot des critiques contre France info.
Parmi les dernières, celle-ci quelque peu ironique de « Vicsyl57 »:
« Tiens, le titre de l’article a été modifié par la rédaction de France Inter ! L’indication « policier légèrement blessé » a été supprimée et remplacée par des mots plus sensés. Merci à vous de tenir compte de la réalité. »

Ou encore, la réaction de « bizai321 » :

« Comme le dirait une certaine mère : « Qui n’a jamais roulé sans permis ? » Prendre des mesures radicales, comme aux USA et plein d’autres pays. Refus d’obtempérer = danger public = risque d’homicide (in)volontaire, donc il faut donner le droit à la police de neutraliser l’individu, quitte à devoir faire usage de leur arme de service pour l’arrêter.
Exemple : il n’y a pas longtemps un gugus en moto faisait du rodéo, des wheeling et a fini par tuer une fillette de 7 ans. Un danger public qui a fait un homicide involontaire. »

Lien pour les 104 autres réactions (et les nouvelles) critiquant le traitement de l’actualité par France Info financée par nos impôts :
https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/un-policier-legerement-blesse-apres-avoir-ete-percute-par-un-chauffard-lors-d-un-refus-d-obtemperer-dans-les-yvelines_6788629.html


En continuant à faire un tri idéologique pour choisir les informations que le « bon peuple » pourra « ouïr », mes confrères journalistes ne semblent pas se rendre compte qu’ils creusent leur tombe… journalistiquement parlant !
Ils s’étonneront après que si, un jour, le Rassemblement National arrive au pouvoir, le statut de ces télés et radios soit profondément remanié : ils ont fait la preuve, selon moi, d’un choix « non professionnel » en ne diffusant pas auprès des Français certaines informations, telle l’agression violente du policier au Chesnay. Il serait normal que les statuts des organes de presse de l’État soient revus pour plus d’équité au profit des Français.

Jacques MARTINEZ, journaliste, 
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

(1) Le numéro de ma « Carte d’identité des Journalistes Professionnels » va faire sourire nombre de journalistes actuellement en poste. En effet, le numéro de ce que l’on appelle « carte de presse » -carte qui m’a été accordée par les instances de notre profession en… 1967 ! J’avais 21 ans…- Ce numéro est le 27472 ! En 2024, les numéros les plus récents doivent dépasser les… 35 000 !

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