La presse se fait le relais des états d’âme d’Aya Nakamura.
L’Equipe « Un mois après sa prestation lors de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024, Aya Nakamura est revenue sur les polémiques autour de sa nomination, dimanche dans un live Instagram ».
Un fantastique numéro où se sont mêlées autosatisfaction (« je voyais beaucoup d’artistes qui demandaient la place pour que ce soit eux ») et victimisation (« avant d’être chanteuse, je n’ai jamais eu de remarques bizarres sur mon physique »).
L’ « information » a été relayée sur tous les médias subventionnés toute la journée de lundi.
Si l’on en parle ici, c’est pour décrypter le projet diabolique de Macron.
Mission réussie pour la propagande de Macron, à en juger par les réactions :
“L’image de Aya Nakamura va hanter les fachos à jamais” :
“Un pied de nez aux tenants de la culture figée”:
“Fuck le RN !” par Aya Nakamura en personne :
En y repensant, Macron nous a fait là une belle méchanceté.
Il voulait même au départ faire chanter du Piaf à Aya Nakamura.
Car ce saligaud rêverait de remplacer Edith Piaf.
Edith Piaf et les Compagnons de la chanson en 1946
On a évoqué l’ »Hymne à l’amour » mais Piaf, c’était aussi dans le cœur des Français la chanson « Les Trois Cloches », au texte plein de sens, qui décrit le passage du temps, rythmé par les sonneries des cloches d’un village, annonçant les grands événements de la vie : naissance, mariage et mort.
La chanson, enregistrée en juin 1946, aussitôt reprise par les radios de divers pays et vendue à plus d’un million d’exemplaires.
Dans la foulée, une tournée la fait connaître aux États-Unis, où elle devient un standard sous le titre de The Three Bells.
Selon le musicologue Jean-Claude Klein, les neuf Compagnons de la chanson, en 1946, « figurent le chœur antique, la voix de la communauté faisant cercle autour du nouveau-né et qui, demain, s’élargira pour lui faire place puis, un jour, se réunira à nouveau autour de son cercueil. Le cadre villageois et montagnard, les références religieuses (…).
Bref, tout ce monde d’hier en noir et blanc que Macron déteste et voudrait nous faire oublier.
Tout ce qu’il veut effacer et remplacer par des dégénérés colorés et des paillettes.
Quant à la Garde républicaine, parlons-en !
Quelle indignité d’utiliser cette institution pour vanter le Grand Remplacement ! Quel scandale !
A la grande époque de la télévision, on avait droit à Alain Vanzo chantant “Le Rêve passe” à la gloire de Napoléon, excusez du peu !
Edith Piaf et les Compagnons resteront dans nos cœurs
Et pour conclure, Les Chœurs de l’Armée Rouge sur le parvis de Notre Dame de Paris: cela a une autre allure que notre Garde Républicaine se trémoussant derrière Nakamura … comme l’a écrit Rochefortaise dans un commentaire. Ils ont aussi chanté Les trois cloches.
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Merci pour la video d’Alain Vanzo, un des plus grand chanteur d’opéra que la France ai connu! Qui fut si mal desservi, comme Mady Mesplé d’ailleurs, par Jaques Martin dans ses émissions du dimanche. La garde republicaine garde le pouvoir et non la république, si cela n’était pas vrai, elle aurait envoyé promener Macron et sa clique.
En faisant ça, macron a humilié devant le monde entier un des principaux symboles de la France.
Quant à l’autre, elle ne mérite même pas de défiler avec les chevaux de la Garde Républicaine.