Ils ont jeté en prison le professeur Fullmich, qui a dénoncé l’imposture Covid !

Début février de cette année, le fondateur du Comité Corona, Reiner Fuellmich, arrêté en octobre 2023, était toujours confiant lorsqu’il déclarait : « L’obtention des preuves se poursuit ou ne fait que commencer maintenant. Et je suis absolument sûr que les témoins. qui seront entendus ici confirmeront notre version de l’histoire.

Cette déclaration date du deuxième jour de son audience au tribunal, au cours de laquelle il a déclaré que son ancien collègue de la commission Corona, Justus Hoffmann, était le « cerveau » derrière tout. Et son histoire selon laquelle Fuellmich aurait retiré des millions du comité, soit 85 pour cent de l’argent total des dons, “afin de se faire une belle vie, est un mensonge”.

En effet, Viviane Fischer, cofondatrice du Comité Corona, et lui-même ont prélevé des dons sur le compte de dons, mais uniquement dans le but d’éviter que le compte ne soit saisi. Et cela a également été rapporté.

Six mois se sont écoulés et Fuellmich est toujours en détention. Dans ce contexte, Katja Wörmer, l’avocate de l’éminent critique des mesures Corona, s’exprime maintenant avec une sorte d’appel à l’aide (voir aussi la vidéo ci-dessus) :

« Cette affaire nécessite de toute urgence une attention internationale. L’avocat emprisonné Dr. Reiner Füllmich demande un soutien international. Il n’y a aucune raison de continuer à le maintenir en détention.

Selon Wörmer, son emprisonnement est politiquement motivé. Elle se plaint également qu’il n’a pas été entendu depuis son emprisonnement et qu’aucun élément de preuve n’a été admis au cours des 24 jours du procès. Wörmer en est convaincu :

“Il s’agit d’un pur procès-spectacle qui ne vise qu’à une condamnation.”

Au cours de l’audience, le tribunal a uniquement discuté des conditions juridiques et factuelles de la responsabilité pénale, sans donner à la défense ni à l’accusé la possibilité d’être à nouveau entendus. Elle se plaint également :

« Il est pieds et poings liés (!) et conduit au tribunal sous la garde de policiers armés de mitraillettes. Lors des audiences principales, il y a toujours plusieurs véhicules de police devant le tribunal régional de Göttingen.

Les mesures de sécurité ordonnées pendant le procès et pendant la garde du client rappellent davantage les procès criminels contre les chefs de la RAF ou des calibres similaires.