Le singe et le pangolin

On ne peut guère s’empêcher de penser à un montage du même acabit que le Covid, avec cette variole du singe. Médiatiquement, cela s’emmanche de la même manière.

Des pseudo-spécialistes qui expliquent que la maladie va arriver en Europe, mais que nous réussirons à la contenir. Un ton docte, des conseils et des perspectives quasiment identiques à ceux qui ont précédé l’arrivée du Covid en Europe. Ce n’est plus le pangolin, c’est un singe. Curieusement, Karine Lacombe est déjà ressortie de son oubli et se remet à pérorer sur la maladie, en préconisant la vaccination. Pas de ce vaccin que les générations les plus âgées connaissent, pour avoir été vaccinées et qui est tombé dans le domaine public et donc ne rapporterait rien, mais un vaccin nouveau, commercialisé par la boîte danoise Bavarian-Nordic, qui indique déjà qu’elle est prête à fabriquer des millions de doses… la boîte possède des intérêts en Suisse, aux Etats-Unis, au Danemark et en Allemagne, ainsi qu’un actionnariat complètement international, dont la France.

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Revoilà aussi Raoult et pour lui, tout comme l’Ivermectine soignait très bien le Covid, mais qui a été bannie par les médecins de plateaux, le Tranilast usité au Japon et en Asie soigne très bien la variole du singe, mais comme il ne coûte pas cher, assure l’éminent médecin, il sera bien sûr caché. Ne manque que Véran pour signer, déjà, quelques ordonnances. On pourra par avance traiter de complotistes, comme avant le Covid, tous ceux qui trouvent que l’arrivée de cette maladie tombe relativement à pic. Le problème est que plus de deux ans après l’épisode Covid, on sait que les fameux « complotistes » ont eu raison sur toute la ligne, depuis les « passes », jusqu’aux confinements, en passant par les privations de libertés et les effets secondaires.

On peut, sans jouer les complotistes, trouver qu’une pandémie mondiale, déclarée à la hâte par l’OMS, arrive à point nommé. Les subsides de l’OMS, sous forme de contributions fixes en provenance des États, représentent désormais moins que les contributions volontaires d’argent privé.

En conclusion, l’OMS est devenue une organisation privée dont les intérêts ne sont pas forcément ceux des Etats. On peut même dire que ses intérêts sont forcément contraires à ceux des Etats. Elle arrive à point pour plusieurs raisons.

-La situation internationale est explosive, entre l’Ukraine et Gaza et l’élection américaine.

-Mais également, les promoteurs de la précédente pandémie sont en difficulté dans de nombreux pays, avec une action en justice contre Von-der-Leyen, pour ses négociations d’achats de vaccins, des montées en puissance des scandales liés aux effets secondaires, en Allemagne ou au Japon.

-En Allemagne encore, un mandat d’arrêt contre un Ukrainien a été émis sur la question du sabotage de Nordstream et le pays « s’interroge sur le rôle de la Pologne », qui fait tout pour « ralentir » l’enquête depuis le départ. En arrière plan évidemment les États-Unis et l’OTAN, ce que le journaliste d’investigation américain Seymour Hersh avait révélé depuis le départ. Encore un « complotiste » qui a eu raison, quand tout le monde évoquait la piste russe.

« Quand on est emmerdé par une affaire, il faut susciter une affaire dans l’affaire, et si nécessaire une autre affaire dans l’affaire de l’affaire, jusqu’à ce que personne n’y comprenne plus rien », aurait dit Pasqua et la maxime pourrait très bien s’appliquer à cette période assez délicate pour les promoteurs d’une gouvernance mondiale, qui ne se cachent même plus de vouloir tout faire pour que la population mondiale diminue. Et accessoirement, museler les paroles contraires et se donner les moyens d’un contrôle total des déplacements et des dépenses des populations. Comme cela s’est exactement passé pendant le Covid. Peut-être que cette variole du singe arrive de manière fortuite, mais peut être aussi que, comme le disait un autre illustre politicien, Franklin Delano-Roosevelt : « En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un événement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi « .

Ayons confiance, l’inénarrable Salomon est désormais à l’OMS, il va pouvoir s’occuper de nous. Lacombe a été réactivée et les pseudo-journalistes, en fait influenceurs, ont repris la tonalité, le faciès et les paroles utilisés en boucle pendant le Covid. En résumé, le singe qui remplace le pangolin en a, à peu près la même consistance, c’est à dire, une future gigantesque arnaque sanitaire destinée à sauver les meubles d’une espèce de caste désormais aux abois.

Reste à savoir quelle tournure cela va prendre et surtout combien de gens vont se ruer dans les centres d’une vaccination déjà « conseillée » alors que le barnum n’a encore pas commencé, on rêve.

 

Si une majorité de gens a peur et se soumet aux injonctions, l’affaire pourra peut-être marcher, mais si une majorité échaudée refuse de croire aux bobards présentés sous un habillage scientifique, la partie va être serrée. Au RPF, sans emboîter, ni le pas du gouvernement, ni celui de ses opposants, nous avions préconisé, pendant le Covid, la liberté de vaccination, la paix aux enfants qui ne risquaient rien puisque la moyenne d’âge des décès du Covid se situait au-delà de 80 ans. Également l’utilisation des médicaments répertoriés comme de possibles alternatives, soit la liberté de prescription. Au bilan, on sait maintenant que l’épisode Covid n’a représenté que 2 à 5% de l’activité hospitalière. Il s’agissait donc bien d’une bulle essentiellement médiatique. Il importe donc, face au singe de bien garder la tête froide.

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https://t.me/R_P_France

Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

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4 Comments

  1. Si le mpox était vraiment dangereux, ne croyez-vous pas qu’il faudrait mettre l’Afrique en quarantaine, interdire l’accès en Europe aux Africains, et au minimum, tester les personnes en provenance de ce continent ?
    Si cela n’est pas fait, on peut en déduire qu’il s’agit là aussi , d’une affaire de gros sous, et non d’un problème sanitaire.

  2. Le plus inquiétant, c’est qu’on n’a pas encore de vaccin contre la colique de l’araignée qui va arriver après… (On me glisse dans l’oreillette que les communicants – pas les chercheurs – des labo planchent déjà dessus, je suis rassuré).

  3. « Quand on est emmerdé par une affaire, il faut susciter une affaire dans l’affaire, et si nécessaire une autre affaire dans l’affaire de l’affaire, jusqu’à ce que personne n’y comprenne plus rien », aurait dit Pasqua. ». En somme une histoire mise en abyme de plusieurs épisodes s’enchaînant, mais contrairement aux contes de Schéhérazade, beaucoup moins attrayante et risquant d’être fascinante pour les décérébrés trouillards.

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