Que va-t-il encore inventer ?

Le président français Emmanuel Macron et son homologue américain Donald Trump à la table du G7, le 25 août.

Les jeux olympiques ne sont pas terminés que les choses recommencent à se tendre.

Toujours pas de premier ministre et une Lucie Castets qui s’y voit déjà, d’une manière de plus en plus indécente. Le drapeau français, brandi partout et un patriotisme autorisé qui fait enrager les gauchistes dont le drapeau palestinien n’a plus la moindre visibilité.

Le pays retrouve une forme d’unité qui dérange et Macron, dans ce contexte, tente, depuis Brégançon, de dégager une forme de paix relative avec ce qui est censé être l’opposition, pour ne pas que ses premiers ministres à venir soient dégagés par des motions de censure à répétition. Il a, ce que nous avions anticipé au RPF, cette tentation de vouloir continuer à gouverner tout seul et avec sa méthode, malgré un désaveu du peuple à trois reprises en trois tours de scrutin. Et en échange de quoi ? On espère que les députés ne tomberont pas dans le panneau, particulièrement ceux du RN, déjà floués par le mode de scrutin qui les relègue à la troisième place en termes de représentation, alors qu’ils sont les premiers en nombre de voix. Leurs électeurs ne comprendraient pas une quelconque manœuvre consensuelle avec le président honni. Nous l’avons dit au RPF : ce président est l’obstacle unique à toute forme de reprise d’une vie démocratique en France et l’objectif de l’opposition doit consister en une procédure républicaine de destitution, les motifs ne manquent pas.

A l’international, même si on n’en parle plus, les guerres ne retombent pas. En Israël, pas vraiment d’accalmie, même si on évoque des discussions de paix, mais à des conditions dont personne ne veut de part et d’autre. Il va être difficile, pour un pays, dont la doctrine est de protéger ses enfants, de discuter avec une organisation terroriste dont la méthode est d’utiliser les siens comme boucliers humains. Le Hamas ira jusqu’au bout quel qu’en soit le prix humain. En Ukraine, même chose. Malgré une récente petite percée en territoire russe, à dimension plus psychologique que stratégique, l’Ukraine perd gros et ne semble pas en mesure d’inverser la tendance.

En réalité, tout le monde a l’air suspendu à une éventuelle réélection de Donald Trump avec qui on se doute bien que les choses prendront une tournure très différente. Il clame d’ailleurs, dans ses discours de campagne, qu’avec lui aux commandes, ces guerres ne seraient pas arrivées. On pourrait avoir tendance à le croire. Durant son mandat, il n’avait engagé aucune guerre, avait réussi à établir des relations avec la Corée du Nord, à normaliser son dialogue avec la Chine et la Russie, il a bien été, n’en déplaise aux gauchistes, un faiseur de paix. Il y aurait une dynamique autour de la candidature de Harris, on a le droit de ne pas y croire. On a aussi les rumeurs habituelles d’événements susceptibles de perturber le processus électoral. A voir.

Gageons que la France va se décerner un satisfecit pour l’organisation de ces jeux. La délinquance attendue n’a pas eu lieu plus que ça, Paris a été propre, malgré quelques vomis dans la Seine, les transports ont fonctionné correctement, moyennant le déploiement tout de même de plusieurs dizaines de milliers de policiers. Cela dit, l’État a montré que sécuriser la capitale, c’est possible et les Parisiens comprennent difficilement que leur ville ne soit propre et sécurisée que pendant des jeux. Pour ce qui est des médailles, malgré quelques grands moments, la France va boire le bouillon et les résultats espérés ne sont pas au rendez-vous, la liesse sera donc modérée, mais les commentateurs vont bien trouver les mots. Après le 15 août, tout le monde va commencer à reprendre plus ou moins le travail, les universités d’été politiques vont avoir lieu, il va falloir enfin trouver un Premier Ministre et on a clairement l’impression que l’homosexualité est devenue une qualité, ce qu’a l’air de revendiquer la déjà inénarrable Castets, dévoilant sa vie de couple avec une autre femme, ce dont nous n’avions rien à faire. Dernière composante, nous sommes en faillite et sous surveillance du FMI, après des années de folle politique d’achat de paix sociale et de largesses déplacées. Il n’y a plus de marge de manoeuvre financière. Bref, nous allons entrer dans le vif des sujets, nationaux et internationaux et nous attendons une nouvelle entourloupe du président…

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Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

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1 Commentaire

  1. Lucie Castets est un casse-tête pour Macron… (Oui, je sais c’est facile…) Alors elle est une casse-cou.. le! qui insiste effrontément pour être nommée au-dessus de son Q. I. et de ses prétendues capacités énarchiques !