L’Angleterre laboratoire de la non intégration

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L’Angleterre est en train de devenir le laboratoire de la souffrance des populations européennes, confrontées à la progression des populations de confession musulmanes en leur sein. L’étincelle aura été le meurtre de trois fillettes en début de semaine, par, très probablement, un jeune issu de l’immigration. Ce pays, on se souvient, a déjà fait face à de très nombreux actes sordides perpétrés par des hommes issus de l’immigration et de confession musulmane, comme, il y a quelques années, le gang des Pakistanais qui avait réduit en esclavage sexuel des dizaines de jeunes femmes.

Egalement, de très nombreuses grandes villes sont dirigées par des maires musulmans et statistiquement, la population d’origine est en minorité numérique dans plusieurs endroits du territoire désormais et, au niveau global, la religion musulmane est devenue la première en nombre de fidèles, devant la religion chrétienne de la population d’origine. Le tout sur fond de délinquance galopante : coups de couteaux, attaques à l’acide, violences sur la voie publique, cambriolages, qui rendent la vie des Anglais insupportable. S’en est suivi un phénomène de migration interne appelé White-Flight, qui a consisté en une fuite de la population blanche depuis certains quartiers de Londres devenus investis majoritairement par des populations rapportées. Ces phénomènes devancent en intensité, en Angleterre, des phénomènes de moindre ampleur, mais tout aussi comparables en France, Allemagne, Belgique, Pays-Bas et plus globalement dans l’ensemble des pays européens.

C’est dans ce contexte et suite au meurtre des fillettes, que des émeutes ont éclaté, vendredi 2 août en fin de journée, à Sunderland, dans le nord-est de l’Angleterre, la propagande gouvernementale refusant comme toujours d’entendre la détresse de sa population d’origine, dont on pense sans doute qu’elle devrait accepter sans broncher de sacrifier ses enfants sur l’autel d’un « vivre ensemble » devenu la plus grande arnaque sociale de ces dernières décennies.

La technique de communication est toujours la même et dénonce une orchestration par l’extrême droite. La manipulation est la même en France et l’on se souvient de ce père, dont le fils a été tué dans l’attentat du Bataclan, qui publiquement avait refusé de se plier à la doxa du « Vous n’aurez pas ma haine », vilipendé par la presse comme étant d’extrême droite. Pareil pour les soutiens à Thomas, de Crépol, ou à Lola, tués par des personnes issues de l’immigration arabo-afro-musulmane, tous taxés d’appartenance à l’extrême droite. La doxa en vigueur intimant implicitement aux personnes de la population locale, l’ordre d’accepter de perdre les siens sans broncher.

Ainsi naît en Angleterre, où le phénomène est plus avancé que dans le reste de l’Europe, un mouvement de contre-Djihad, signifiant un ras le bol de l’immigration arabo-afro-musulmane, laquelle n’est pas en Angleterre, configurée exactement comme en France par exemple. Si en France la part de la délinquance issue des cités et une bonne partie des violences sur la voie publique sont le fait de populations d’origine nord-africaine, comme en témoigne la nature de la population carcérale, en Angleterre, du fait du passé historique, l’apport de population extérieure provient plutôt de la zone arabo-indienne, en particulier le Pakistan.

Comme dans les autres pays d’Europe, la caractéristique de cette population est de très peu se mêler à la population locale. Si statistiquement, les autres sources d’immigration, comme en France, se sont mélangées à la population locale, en moins de deux générations, comme par exemple, les Portugais, Espagnols, Italiens, la population de confession musulmane se mélange très peu, fonctionne encore avec des « certificats de coutume », pour les mariages, qui impliquent la conversion à l’islam quasiment obligatoire pour le futur conjoint non musulman.

En réalité, si l’intégration de ces populations musulmanes avait été possible, elle serait déjà faite, comme s’est faite celle des Portugais, Espagnols, Italiens, Polonais et autres, qui statistiquement se marient aujourd’hui indifféremment avec la population d’origine ou entre elles. A contrario des populations arabo-afro-musulmanes dont le mélange se fait à la marge, le tout depuis quasiment soixante ans. En résumé, si une assimilation classique, au sens où l’entendait le Général De-Gaulle, avait dû se faire, elle serait déjà faite.

Cette expression d’un ras-le-bol doit avoir lieu ce week-end même, à Londres, où vont se croiser une marche pro-palestinienne et un rassemblement anti-immigration. Le mouvement qualifié d’extrême droite anti-islam English Defence League (EDL), est sous haute surveillance, tandis qu’un suspect de 17 ans, auteur présumé des meurtres des trois fillettes est sous les verrous.

Les forces de police anticipent des manifestations dans plusieurs villes, notamment Nottingham (centre de l’Angleterre), Rotherham (nord), Cardiff (Pays de Galles), ou encore à Belfast (Irlande du Nord). En marge des heurts à Southport, une mosquée a été prise pour cible et les responsables de lieux de culte musulmans ont renforcé leur sécurité. Si le mot d’ordre là-bas comme ici est le « pas d’amalgame », cette incantation ne change rien aux profils issus d’une certaine immigration devenus très largement majoritaires dans la délinquance européenne. Les capitales, autant que les population européennes devraient surveiller avec attention ce qui se passe en Angleterre et qui préfigure ni plus ni moins qu’un futur face à face communautaire que même le socialiste Gérard Collomb avait évoqué, voici déjà quelques années.

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Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

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