Écolo-terrorisme : la Tondelière, ses histoires de vaches folles et de brebis galeuses

Toujours aussi élégante dans ses tenues vert caca d’oie et vomis de ruminants, la cheffesse des verdâtres s’indigne que les écolo-terroristes soient régulièrement pointés du doigt par Moustapha Al Darmanine.
Pour elle, les vrais dangers sont ailleurs. Où ça ? Elle n’en a aucune idée. Ou elle ne veut pas le dire. Trop dangereux, par les temps qui courent, de fustiger les islamistes. Sous ses airs de pasionaria, la tondelière est une petite bourge provinciale du Nord. Comme Brichelle. Pas une guerrière.
Pour une fois Moustapha n’est pas dans son tort !
Cette femme inculte au QI de chamelle accuse le sinistre de l’inférieur d’avoir inventé le mot éco-terroriste pour fustiger les activistes qui nous bassinent à Sainte Soline depuis 2022.
Or ce terme est apparu aux USA en 1983 sous la plume acérée de l’écrivain Ron Arnold (1937-2022). Aussitôt adopté par Reagan et le FBI… Pour cet auteur éclectique qui écrivait aussi bien dans « Play Boy » que pour la bibliothèque du Congrès, «L’environnementalisme est la troisième grande vague de messianisme qui frappe la planète, après le Christianisme et le Marxisme-Léninisme. »
On lui pardonne d’avoir oublié l’islam qui n’était pas un problème aux États-Unis il y a 40 ans… Ron Arnold dénonçait ceux qui deviennent des criminels pour, croient-ils, sauver la planète. Et entraînent dans leur sillage une ribambelle de petites têtes oisives que les exactions et les transgressions excitent ou amusent.
On retrouve le terme éco-terroriste dans le roman « État d’urgence» (state of fear) publié en 2004 par le regretté Michael Crichton (1942-2008) plus connu du grand public pour ses dinosaures de Jurassic Park.
« State of fear » est un techno thriller inspiré de faits réels survenus aux USA à la fin du précédent millénaire. Un avocat travaillant sur des affaires d’environnement découvre que ses clients, des écologistes farfelus qu’il prend pour des hippies, constituent en réalité un réseau éco-terroriste présent dans le monde entier. Décidé à perpétrer des attentats sanglants pour diffuser leurs lubies sur le réchauffement climatique et imposer des diktats en matière de restrictions énergétiques, tout en rackettant les pouvoirs publics et les grandes entreprises. Mettre hors d’état de nuire ces furieux est risqué, mais indispensable. Suspense haute tension garanti.
Crichton est aussi un scientifique qui illustre son roman de statistiques et des graphes puisés aux meilleures sources universitaires. La lecture de cet ouvrage est indispensable pour mieux connaître les ressorts des supercheries réchauffistes et clouer le bec de leurs prosélytes.
La tondelière nie avec véhémence les exactions des écolos
Oubliés les saccages des champs, les violations de domiciles et les intrusions dans des coopératives pour saboter les matériels et détruire les récoltes. Oubliés les labos de recherche agronomique incendiés, et les barrages routiers avec destruction à la masse des pare-brises des automobilistes qui manifestaient leur mécontentement.
Avec les encouragements du Conseil d’État qui a systématiquement débouté les incriminations en écolo-terrorisme portant sur des groupes activistes radicaux, tels que « Les Soulèvements de la Terre » que Macronescu avait invités à une petite bouffe sympa. Il paraît que jeter un cocktail molotov sur un gendarme pour le faire brûler vif, ce n’est pas un acte de terrorisme mais une petite incivilité.
Oubliées aussi les campagnes de presse pour faire libérer les tueurs d’Action Directe, ou le djihadiste George Ibrahim Adballah. Tout comme la participation des écolos aux émeutes et agressions indépendantistes en Nouvelle-Calédonie depuis plus de trois décennies, par « solidarité et convergence des luttes ».
Oubliés également les assassins des « brigades rouges » italiennes, protégés et planqués par des écolos « incontrôlés ». Bénéficiant de la cécité de l’administration et de la justice française qui ont préféré passer l’éponge sur les crimes commis par ces fugitifs pour avoir la paix.
Oubliés encore la complaisance envers les terroristes islamistes au Proche Orient et le soutien à leurs succursales en France. Ainsi que les appels récents à s’en prendre non seulement aux entreprises de Bolloré, mais aussi à sa famille. Des juristes frelatés affirment que ce n’est pas du terrorisme ! Mais de la résistance. Comme les crimes du Hamas et du Hezbollah.
Il ne faut plus embêter les écolos qui n’ont rien à se reprocher
Les sabotages de trains en France n’ont rien de nouveau. Dès les années 1970, des écolo-trotskistes frustrés de la révolution manquée de 1968 déposaient nuitamment des troncs d’arbres sur les rails, trafiquaient les signaux ferroviaires, sabotaient les lignes téléphoniques de la SNCF et détraquaient des pièces d’aiguillage.
Puis avec leurs alliés djihadistes depuis 40 ans, on a subi des incendies dans les wagons, et des agressions, des bombes et des meurtres dans les trains et dans les gares. Mais les coupables désignés d’office étaient presque toujours une extrême drouâte fantasmée… Si par extraordinaire des flics honnêtes, désavoués par leur hiérarchie, coinçaient des saboteurs écolo ou islamo-gauchistes, les crapules médiatiques et la gauche dégénérée hurlaient à la persécution d’innocents.
Le 29 juillet 2024, Moustapha a confirmé sur le plateau de Télématin l’interpellation d’une petite cinquantaine de personnes qui, manifestement, voulaient mener des actions de sabotage ou de contestation radicale des Jeux olympiques.
Quand on se balade dans une zone considérée comme sensible avec des instruments contondants, tranchants ou perforants dissimulés, qu’aucune nécessité professionnelle ne justifie, il est permis de se demander quel usage en était prévu… Même si la tondelière herbivore rumine qu’il s’agit d’une répression aveugle avec interpellations préventives. Sans un mot des intentions inavouables de ces pèlerins.
Sabotages ? Qui a prononcé ce vilain mot ? C’était de la désobéissance civile. Légitime quand on est écolo-gauchiste. En cédant à Notre-Dame-des-Landes, après 10 ans de reculades, le pouvoir a donné un permis de casse aux activistes.
Banditisme et vandalisme se sont banalisés du fait du laxisme de l’État et de sa justice
On peut citer les parpaings jetés du haut d’un pont sur le poste de conduite d’un TGV en 2010 bousillant la motrice. Un crime renouvelé en 2013. Mais aussi les parpaings posés sur la voie en 2016 pour faire dérailler un train, par des djeunes qui voulaient s’amuser un peu. Sans oublier des jets de projectiles contre des trains, des plaques de béton sur les rails et des pièce métalliques démontées en 2023.
Liste non exhaustive car les préfets et les médias rampants ont ordre d’étouffer ces événements. Et si l’information filtre quand même, d’en minimiser la portée. Ne pas décliner les noms des suspects ou des coupables. Surtout s’ils sont à consonance orientale. Et ne jamais prononcer le mot terroriste. Sauf si on soupçonne des Bulgares manipulés par Moscou avec l’aide de la Corée du Nord.
Aujourd’hui quand Moustapha évoque une action possible de l’ultragauche, la tondelière verdit de rage. Y trouvant prétexte à défendre les maniaques de la cause climatique. Trop souvent dans le collimateur de la police, elle se demande bien pourquoi. Naturellement, les médias ont repris servilement sa déclaration selon laquelle « Par son obsession contre quelques militants écolos inoffensifs (sic) Darmanin a raté sa cible. »
C’était qui la cible alors ? Ne comptez pas sur elle pour dénoncer ses petits camarades. On a l’embarras du choix. Islamistes, voyous de droit commun, maîtres chanteurs, vandales désœuvrés, artistes à la ramasse, employés virés revenus se venger, trotskistes, cathos en soutane, provocateurs du gouvernement (si, si, ça existe aussi). Mais pas les gentils écolos !
Quand Moustapha avait annoncé la veille sur France 2 l’identification d’un certain nombre de profils (sans dire lesquels) qui pourraient être impliqués dans les sabotages du réseau SNCF, il avait pointé le mode d’action habituel de l’ultragauche. Sans évoquer un lien possible avec les écologistes. C’est la tondelière qui l’a fait à sa place ! Cette gourdasse doit s’en mordre les doigts et les orteils.
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/

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1 Comment

  1. Elle est aussi con qu’elle est moche avec son gros pif et son gros cul !

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