Méga-Bassines, méga-Bazar, 
méga-Bassesses de l’État !!!


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Comment l’État français peut-il laisser se concentrer sur une infime partie du territoire français des troupes composées en majorité d’étrangers parmi les plus violents !!!

Ne suffirait-il pas, dans le plein respect du droit, de les interpeller quand ils arrivent dans la région d’une manifestation, d’organiser -plutôt qu’un « cordon indignement sanitaire » contre 11 millions de Français !- mais, plus judicieusement, un cordon de sécurité empêchant le passage d’un maximum de ces étrangers destructeurs ? 
Lors d’un tel contrôle, s’il s’agit de personnes connues, même simplement pour un soupçon de petite, disons, « incivilité » ou pour port, dans ses « bagages », d’un banal tournevis ou de simples lunettes pour bain dans une piscine familiale ou encore d’un simple foulard pouvant servir à garder la gorge au chaud quand la température extérieur, jour de la manif, est de 35 à 40° à l’ombre ou encore un vulgaire briquet pour allumer une ordinaire cigarette…
Donc trouver le moindre détail, quitte à ce que l’interpellé crie au « scandale d’une interpellation abusive » jusqu’à porter plainte après sa remise en liberté ! Mais entreprendra-t-il, une fois rentré en Allemagne, en Italie ou en Belgique, une telle démarche avec le coût que cela sera entre avocats et transports pour retourner en France pour le procès ?
En attendant, au moment de la manif, le (plus que) suspect est embarqué et s’il se rebelle physiquement, ce sera parfait pour la suite de l’affaire,   vite mis au trou sous le régime du placement en garde-à-vue !

Le temps qu’il trouve un avocat, le temps qu’il réponde au fait qu’il était porteur ne serait-ce que d’un briquet ou d’un tournevis, le temps qu’il rejoigne le lieu de la manif’ car c’est bête mais faute de place libre dans les commissariats proches de la manif, il a fallu le mettre en garde-à-vue à quelques dizaines voire centaines de kilomètres de là… Le temps qu’il sache où il est en ressortant du commissariat et comment rejoindre le lieu de la manif, celle-ci -comme c’est injuste !- sera terminée… sans qu’il ait pu y participer en s’amusant -ah, ces gamins !- à casser, sans aucune conséquence pour lui, commerces et biens publics que financeront à nouveau les contribuables français, mais pas lui puisque ne payant aucun impôt en France en tant que banal et mignon « touriste » étranger venu d’Allemagne, de Belgique ou encore d’Italie, passer un moment de défoulement sur notre sol en toute tranquillité, sans danger de la part des autorités judiciaires !

En effet, il n’y a eu que quelques casseurs interpellés : 7 ! Oui, 7 à 20 heures samedi !!! Cela sur des centaines de casseurs ! De qui se moquent l’État et ses responsables de la sécurité ! Mais, que voulez-vous, l’État ne va pas embêter des touristes qui font de la France -quoique, maintenant, peut-être 2e derrière l’Espagne ?- le pays le plus touristique du Monde !

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J’espère que les habitants et clients de cette supérette vont soutenir ce jeune couple !- non, tout le monde ne condamne pas ces casseurs d’une part, puisque des Français se comptent par centaines parmi ces abrutis mais aussi les membres du mouvement ATTAC qui les soutiennent, mouvement qui se définit comme étant… 
« Après 25 ans d’existence, l’identité d’Attac demeure altermondialiste et s’efforce de défendre une société plus juste, et donc féministe. »

Et l’une de « celles Z’et ceux » qui soutiennent ces casseurs, c’est la porte-parole d’ATTAC elle-même, Alice Picard : sur BFMTV, elle a expliqué -sans rire, ni même esquisser un sourire-, lors de la manifestation contre les méga-bassines, que les casseurs ne provoquaient aucune… violence ! Oui puisque, je la cite, « des dégradations de biens, ce n’est pas de la violence. La violence vient de la police qui blesse des manifestants » ! Qu’elle aille donc rendre visite au jeune couple ayant vu sa supérette détruite et qu’elle lui dise, les yeux dans les yeux :
« Mes amours, chers amis, ce n’est pas de la violence… Ce n’est qu’une preuve d’amour de ces jeunes à la nature ! »
Avec des raisonnements « made in ATTAC par derrière ! » plaçant la violence du côté de ceux qui veulent la stopper…-mais qui manquent d’ordres venant d’en haut, de tout en haut de l’État !.

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Il n’y a plus rien à dire ! 
Si certains jeunes casseurs anti-ATTAC (que je ne cautionnerai pas) allaient au siège d’ATTAC, dans le bureau d’Alice Picard, et ravageaient tout son mobilier et ses dossiers, sans toucher à un cheveu de Mme Picard, pour celle-ci, « ce ne serait pas de la violence » ! Et si elle faisait appel, à ce moment-là, aux forces de l’ordre, elle prendrait le risque de… « violences policières » donc elle n’appellerait pas la police et n’irait pas porter plainte dans un commissariat lieu occupé par des « violents » en outre « machos anti-féministes » !

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Pour ma part, en tant que contribuable qui vais régler la facture des casseurs surtout étrangers amis de Mme Picard, je préférerais régler des frais inhérents aux hébergements « préventifs » pour 24 ou 48h de casseurs (oui, M. le magistrat, « présumés ») interpelés dans un commissariat, avec coût de sa nourriture, de ses soins éventuels et même du transport à des dizaines… voire, soyons généreux -les voyages forment la jeunesse !-, à des centaines de kilomètres du lieu de la manif « faute de place dans un commissariat proche », et même si des magistrats -idéologiquement admirateurs de ces casseurs- condamnent l’État à des amendes -que je réglerais volontiers- pour « séquestrations abusives »!

Ces frais seraient d’ailleurs au total beaucoup moins coûteux que les millions d’euros de dégâts occasionnés par ces abrutis pour lesquels -et pour ATTAC !- seul un point compte : le poing ! Leur poing qui l’emporte sur la justice !
Pour la manifestation de samedi, il n’y a eu que 7 malheureuses interpellations et, surtout, uniquement pendant les casses ! 
L’État français ne fait rien pour empêcher ces hordes étrangères de sauvages de détruire, de ravager, d’anéantir ne serait-ce qu’un quartier ! Quartier qui est le cadre de vie de centaines de villageois français, ou de milliers de citadins français, ou même de centaines de milliers d’habitants d’un département français, voire de millions de Français de toute une région !
Si j’en avais la possibilité, je créerais bien un site sur lequel je publierai les noms, photos et adresses de ces casseurs, une fois jugés… 
-même s’ils ne seront qu’une minorité des vandales à être condamnés peut-être même à un « simple rappel à la loi » comme en sont friands certains magistrats (mot qui vient de « maître ») rendant « leur » justice (mot qui vient de « jurer », prêter serment : ces « maîtres » ont donc prêté serment de rendre la « justice » c’est-à-dire avoir une « juste appréciation » des droits et non d’en avoir une appréciation idéologique.) Pour moi, la justice qu’ils pratiquent est devenue « l’ajustice », avec un « a » privatif.

Si, donc, j’en avais la possibilité, je publierais sur un site spécial leurs tronches, leurs identités et leurs palmarès de casseurs ! Et le tout sous la forme d’un merveilleux paquet cadeau que j’adresserais ou plutôt que je diffuserais sur internet à un maximum d’adresses de sa ou de leurs villes voire de leurs régions…
Et si des Français passaient par cette ou leur ville, ils pourraient toujours aller dire ce qu’ils pensent à cet ou ces individus !
Ils viennent chez nous cachés, dissimulés donc lâches, capons, couards ! Pourquoi n’irions-nous pas chez eux, nous, à visages découverts sans ni embêter les voisins, ni casser les commerces de la rue du village ou de l’avenue principale de la ville. Non, seulement pour lui ou leur rendre une petite visite de courtoisie non violente chez lui ou chez eux sans même verser -quoique, si c’est par accident…- ne serait-ce que de la bouse de vaches bien françaises sur son palier ou leur porte, juste pour lui ou leur rappeler le doux parfum des champs qu’il a ou qu’ils ont piétinés pour nous bassiner sur son ou leur voeu de détruire les méga-bassines… Et pouvoir ainsi lui ou leur souhaiter avant de rentrer en France :
« À bon entendeur, salut ! Car à bon emmerdeur, ça pue !!! »

Jacques MARTINEZ, journaliste, 
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

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