A La Rochelle, les électeurs-saccageurs du NFP ont détruit le rêve de Cathy, gérante d’une supérette

Une supérette a été vandalisée à La Rochelle. AFP – ROMAIN PERROCHEAU

Rochelais d’origine, je me doutais que ce qu’on a nommé par euphémisme “manifestations anti-bassines” serait d’une grande violence.

J’ai aimé la Rochelle pendant mon adolescence, mes premières années d’adulte où j’y vivais, étudiais et travaillais entre la fac de droit face à la mer aux Minimes et le quai Duperré…

Mais la Rochelle n’a plus rien à voir avec ma Rochelle de coeur, celle où vivait ma famille dans un bidonville après la guerre…

Ville bourgeoise et féroce à la fois, qui se revendique “belle et rebelle” (cette formule que nous, Rochelais d’origine, n’avions jamais entendue avant que les bobos débarquent…), ville qui exclut les gueux de souche pas assez riches, tout en se proclamant ouverte à la citoyenneté du monde entier… ville devenue braillarde et mal élevée…

Les Rochelais d’origine aimaient leur ville pour ce qu’elle était, une cité charmante au bord de l’Océan ; maintenant les Rochelais bobo-friqués (la ville est devenue aussi chère qu’Antibes en quelques années) aiment qu’on parle d’eux comme des rebelles, convaincus de s’inscrire ainsi dans la grande Histoire où la Rochelle fut assiégée pour avoir voulu être un Etat dans l’Etat…

Sur ce terreau les électeurs-saccageurs du NFP ne pouvaient que prospérer pour s’offrir une petite fête dont ils ont le secret.

Et c’est un avant-goût de la législature à venir, de l’avenir de la France, ces gens se trouvant légitimités par l’arrivée au pouvoir du NFP…

Tous ces enfants de bourgeois qui n’ont aucun sens du vrai travail ont ainsi brisé le rêve de Cathy, qui venait d’ouvrir une supérette le 12 juin, ils ont terrorisé une petite fille se trouvant dans le magasin…

C’est bien dommage car le problème de l’eau mérite l’attention et la question des méga-bassines ne doit pas être négligée. Mais comment accorder quelque crédit à ces dégénérés dont les rangs puent la haine, incapables de s’exprimer sans violenter, casser… ?

Français, vous avez offert le pouvoir à ces voyous. Ils accéléreront le grand remplacement pendant les années à venir, ne nous laissant plus aucune chance de victoire en nous rendant définitivement minoritaires en notre propre pays.

https://www.ladepeche.fr/2024/07/20/manifestations-anti-bassines-on-a-mis-toutes-nos-economies-dans-ce-magasin-lemoi-apres-le-pillage-dune-superette-de-la-rochelle-12094084.php

Manifestations anti-bassines : “On a mis toutes nos économies dans ce magasin”… l’émoi après le pillage d’une supérette de La Rochelle

Lors des manifestations ant-bassines qui ont eu lieu ce samedi, une supérette a été attaquée par des black blocs. Les dégâts sont colossaux et les commerçants eux, racontent leur désarroi.

Une devanture grimée de rouge et sur la vitrine, un mot : “Voleurs”. Par ici, une vitrine brisée. Par là, des produits jetés à même le sol, dans les rayons. À La Rochelle (Charente-Maritime), la supérette “Utile” de Cathy et de son époux a fait l’objet d’un acte de vandalisme pour le moins violent, alors que se tenait ce samedi 20 juillet une manifestation d’ampleur contre les projets de mégabassines. Plusieurs milliers de personnes ont manifesté à La Rochelle, mais plusieurs centaines de black blocs étaient venus en découdre.

Manifestation anti-bassines à #LaRochelle, un supermarché a été dégradé lors du passage du cortège, les vitrines ont été brisées et la façade aspergée de peinture.#Megabassines #BassinesNonMerci pic.twitter.com/N1VkawLYUW

— CLPRESS / Agence de presse (@CLPRESSFR) July 20, 2024

Peu avant 13 heures, le cauchemar commence pour le couple de gérants de ce magasin Super U. Des individus cagoulés ont commencé à briser une à une les vitres de ce commerce de proximité. Certains d’entre eux pénètrent finalement la supérette. “Il y avait une maman et sa petite fille, âgée de 7 ou 8 ans, relate Cathry Ribot, auprès de nos confrères de Sud-Ouest. On a réussi à les emmener à l’étage, dans les bureaux. La petite avait très peur”. En face, ils sont une quarantaine à s’en prendre à l’enseigne. “On a essayé de les dissuader, mais ils nous ont dit de partir pour ne pas nous faire de mal, reprend la co-gérante. Une fois à l’intérieur, ils ont piqué le tiroir-caisse, de l’alcool. C’était bien la peine d’écrire ‘voleurs’ sur la vitrine”. La façade de ce magasin, qui n’a ouvert ses portes que le 12 juin dernier, sera finalement recouverte de peinture. Les dégâts sont colossaux : “On a mis toutes nos économies dans ce magasin”, déplore Cathy en sanglots.

Sept interpellations

Ces manifestations interviennent dans le cadre du “Village de l’eau”, rassemblement militant organisé également, depuis mardi et jusqu’à dimanche à Melle (Deux-Sèvres), par le mouvement écologiste Extinction Rébellion, l’union syndicale Solidaires et l’association altermondialiste Attac, avec la participation de 120 structures militantes. Tôt le matin, environ 200 manifestants l’ont déjoué en s’introduisant par surprise, du pont de l’Île-de-Ré, dans le terminal agro-industriel du port de La Pallice, délogés ensuite dans le calme par les gendarmes.

Mais le port de commerce est resté l’objectif des deux cortèges qui se sont élancés en début d’après-midi du centre-ville, l’un familial et festif, l’autre qui incluait les “black blocs”. Vers 13h30, des gendarmes ont chargé à l’arrière de ce cortège, avec tirs de grenades lacrymogènes et coups de matraque, après des dégradations d’abribus et de commerces notamment. “On respectait le fait de ne pas faire d’intrusion sur le site (du port de commerce, NDLR). C’était ce qu’ils craignaient mais c’était le deal. Et le deal a été rompu”, a déploré Juliette Rivière, porte-parole du mouvement écologiste des Soulèvements de la Terre, l’un des organisateurs. Et celle-ci de reprendre : “On n’avait pas pour objectif d’aller au contact des forces de l’ordre, c’est souvent les forces de l’ordre qui ont pour objectif d’aller au contact avec nous”.

Avant cette seconde manifestation, les autorités avaient une nouvelle fois mis en garde contre des affrontements face à la présence de “plusieurs centaines d’individus radicaux” et déployé un très important dispositif de sécurité. La dislocation du cortège a été suivie d’affrontements avec barricades, feux de poubelles, dégradations, jets de projectiles et de grenades lacrymogènes. Selon un bilan du parquet de La Rochelle, quatre membres de forces de l’ordre et cinq manifestants ont été blessés, tous légèrement. Sept personnes ont été arrêtées, pour des faits d’intrusion au port et dans un Ehpad, et d’association de malfaiteurs. Des vols d’alcool et d’argent ont eu lieu dans le supermarché.

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