Lorsque Biden présenta le président Poutine à la place de Zelensky, l’auditoire, composé des éminents représentants des pays de l’OTAN, se mit à applaudir.
C’est en se reprenant et en rectifiant ses paroles que Biden put faire cesser les applaudissements.
On a, par la suite, voulu convaincre l’opinion américaine et internationale qu’il ne s’agissait que d’un ordinaire et innocent lapsus de la part de Biden.
Soit, mais qu’en est-il de ceux qui ont applaudi ?
On applaudit ce, celui ou ceux qu’on soutient. On applaudit ce qu’on pense être vrai et juste. On n’applaudit pas un lapsus. Un lapsus, ça fait rigoler. Comme une bonne blague.
Le lapsus entre d’ailleurs de plein droit dans la rubrique « blagues ». C’est mignon. Ça égaie. Une seule lettre intervertie par inadvertance dans un mot et cela devient un lapsus qui fait rigoler. Rappelez-vous du « gode » au lieu de « code », en 2011, du ministre de la Justice d’alors, la Rachida Dati. La même Rachida, gardienne des Sceaux de la République française, avait, quelques jours auparavant, transformé « inflation » en « fellation ».
(Il faut reconnaitre que la Rachida, d’origine marocaine, a tout ce qu’il faut pour allécher les amateurs des sensations buccales…)
Et notre ancien Premier ministre, l’Edouard Philippe, qui affirmait tout récemment que la France est « une nation qui veut continuer à sucer (susciter) des grands champions ». La Pécresse demandait, de son côté, la comparution immédiate des « flagrants d’élus », alors que l’Attal plaidait « l’enlèvement des Ephad » (épaves) et que l’ancien ministre de l’Intérieur, le Brice Hortefeux, proposait l’instauration d’un « fichier des empreintes génitales ».
Tous ces exemples font sourire. Mais lorsque Poutine est nommé à la place de Zelensky est que ceci est salué par des applaudissements, cela laisse perplexe. D’autant que cela s’est passé devant un auditoire de représentants de l’OTAN. Des représentants de l’OTAN qui étaient réunis, à la demande de Washington, pour applaudir le Zelensky…
Allez, ce n’est qu’un lapsus, s’élève le Macron pour défendre la momie Biden. « Il nous arrive à tous de faire des lapsus. Ça m’est arrivé, ça m’arrivera sans doute demain », a dit le Macron.
Il est vrai qu’il y a des gens qui font et qui aiment faire des lapsus, surtout sans « lap ».
Nos pensées vont à la vice-présidente, la Kamala Hariss, qui a dû rigoler (jaune) quand le Biden l’a appelée Trump.
C’était à peine deux heures après que la momie de la Maison-Blanche a présenté le président Poutine à l’assistance.
Mais la Hariss doit s’estimer heureuse. Il y a quatre ans, quand la momie-Biden se préparait à affronter Trump pour les élections présidentielles, il avait confondu sa femme avec sa propre sœur.
Il n’était pas encore une momie complète.
Aujourd’hui, il confond le Mexique et l’Égypte, l’Ukraine et Gaza…
Il n’est pas sûr qu’il sache qui il est lui-même.
Messin’Issa
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Mieux vaut,qu’il ne se prenne pas pour Hitler.
Quand on confond les pendentifs de sa tante avec ceux de son oncle, il temps de raccrocher. Ce n’est pas la faute de Biden d’être sénile mais cela sert les desseins de ceux qui tirent les ficelles en coulisses.