Depuis l’attaque au couteau à Mannheim, l’angoisse dans laquelle vivent les adversaires de l’islamisme s’est renforcée. Le 31 mai, un homme originaire d’Afghanistan avait si gravement blessé le policier Rouven Laur que celui-là est décédé peu de temps après. L’islamiste présumé, Sulaiman Ataee, a blessé cinq autres personnes, dont le détracteur de l’islam, Michael Stürzenberger.
L’hebdomadaire « Welt am Sonntag » décrit la situation de menaces de trois personnes anti-islamisme. Parmi ces personnes, on trouve le psychologue Ahmad Mansour, Germano-Israélien d’origine arabe. Il se dit « gravement angoissé » depuis l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre : « Depuis Mannheim, je suis encore plus angoissé. »
Il aurait déjà été attaqué à plusieurs reprises. Lors d’une visite chez le coiffeur, le propriétaire aurait réussi au dernier moment à empêcher un client de se précipiter sur lui, une bouteille à la main. Mansour : « À Berlin, il y a un grand nombre de zones à éviter pour moi. »
Le musulman libéral essaye de gagner des musulmans radicaux à sa cause et à ses valeurs dans les écoles et les prisons.
Seyran Ates appelle les agents de protection rapprochée ses « anges gardiens »
La gérante de la mosquée libérale Ibn-Rushd-Goethe à Berlin, Seyran Ates, vit également sous la menace. Elle a eu connaissance de l’attentat de Mannheim par un des « anges gardiens », c’est ainsi qu’elle nomme ses gardes de protection rapprochée qui l’accompagnent depuis de nombreuses années. « L’un d’entre nous pourrait être le prochain », a-t-elle déclaré par téléphone à « Welt am Sonntag ».
Ses gardes du corps ont fait peur à beaucoup de monde, mais ils ne pourraient pas empêcher toute attaque. C’est ainsi qu’un homme a hurlé après elle à plusieurs reprises dans une gare : « Tu dénigres l’islam. » Presque chaque semaine elle devait y penser, toujours à cette gare, rapporte cette juriste de 61 ans.
En 1984, l’étudiante en droit qu’elle était à l’époque avait été gravement blessée lors de l’attentat contre Fatma E., sa cliente. Celle-là y avait perdu la vie. Ates continue à souffrir des conséquences y compris physiques.
Seyran Ates gère la mosquée libérale Ibn-Rushd-Goethe à Berlin.
Les journalistes demandent s’ils peuvent adoucir les propos de l’interview
Depuis qu’elle s’est engagée contre les mariages forcés et l’obligation du foulard, elle est menacée personnellement, dit le reportage. En 2006, l’avocate s’est vue obligée de fermer son cabinet. « Je ne pouvais presque plus m’aventurer hors de la maison », se rappelle-t-elle. « Mais pour mon bien-être, ouvrir la bouche est ce qu’il y a de mieux. »
Or, depuis le 7 octobre plusieurs organisateurs auraient retiré des invitations pour des exposés. Et certains journalistes ont demandé à Ates après des interviews s’ils pouvaient adoucir ses formulations. Sa sinistre conclusion : « L’islam politique a remporté une grande victoire. »
Ex-musulmane : j’ai perçu Allah comme un dieu plein de haine
Plus loin dans le reportage, la parole est donnée à une femme âgée de 25 ans, Zeinab Elhad, qui se conçoit comme ex-musulmane. Pour des raisons de sécurité, elle utilise un pseudonyme à la place de son patronyme. Selon ses propres indications, elle a quitté l’islam à 18 ans. Concernant le motif elle précise : « J’ai perçu Allah comme un dieu plein de haine, qui ne pardonne aucune faute. »
Depuis son renoncement à l’islam, son apostasie, elle se sent libre, dit-elle. À la suite de cela, son père aurait coupé tout contact avec elle et même menacé de l’assassiner. « L’État allemand m’indiffère », aurait-il déclaré. On l’aurait reconnue à plusieurs reprises dans la rue, selon Elhad, notamment après sa participation à une vidéo sur YouTube avec près de deux millions de clics. « Je sais où tu habites », lui aurait écrit quelqu’un dernièrement. La jeune fille veut désormais éviter les grandes villes pour une période assez longue.
Traduction de Jean Schoving pour Résistance républicaine
https://www.idea.de/artikel/islamismus-gegner-in-deutschland-leben-in-angst
881 total views, 1 views today
On récolte toujours ce que l’on a semé .Il n’y a qu’a regarder l’Angleterre comment cette terre catholique c’est islamisée ! Ils ne savent plus comment faire maintenant , le ver est dans le fruit . MAIS , aux grands maux les grands remèdes .Il est toujours possible de revenir en arrière .Il suffit d’interdire l’islam en occident . Au JAPON ,pas d’islam , pas de mosquées , pas d’emmerdes !
Bien dommage que ces idiots de gouvernements occidentaux laisse s’installer l’islam en construisant des mosquées sur une terre vierge et libre.
Finie la liberté, finie la sécurité, finie la vie normale.
Je vomis tous les Occidentaux constructeurs de mosquées.
Nous en avons une palanquée en France, fiers de se faire prendre en photo à l’inauguration de leur mosquée, quels sinistres imbéciles, pourvoyeurs d’insécurité et de problèmes à très long termes !
Je. rajoute : Donner le nom de Goethe à une mosquée est une insulte evers ce grand poète Allemand . »Röslein auf der Heide »……
Ayant connu Berlin,enfant,avec mes parents ,je suis consternée qu’ils aient laissé contruire des mosquées.Il aurait mieux valu ne pas réunifier l’Allemagne elle est redevenue beaucoup trop forte et se croit tout permis.L’Allemagne de l’Est était très vivable…..Il faut que l’AfD devienne forte et gagne les élections…