Allen West : président Benedict Arnold, je vous présente votre alter ego, le traître Joe

 

24 juin 2024 par Allen West

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Benedict Arnold, c’est le nom associé à un seul mot, traître. Benedict Arnold a commencé comme patriote et a très bien servi nos efforts révolutionnaires. Cependant, Arnold est devenu amer lorsqu’il a senti qu’il avait été snobé pour une promotion et que d’autres s’attribuaient le mérite de ses exploits. George Washington croyait en Arnold et lui confia le commandement du très important fort de West Point qui gardait l’entrée de la vallée de la rivière Hudson. Malheureusement, Arnold a décidé de faire passer son ego avant son devoir et a choisi de confier le fort aux Britanniques.

L’officier britannique avec lequel Arnold était de connivence a été capturé par les forces américaines. Les documents qu’il portait exposaient les plans de Benedict Arnold pour la remise de West Point aux Britanniques. D’une manière ou d’une autre, Arnold s’est rendu compte que son complot avait été découvert et il s’est échappé… pour rejoindre les Britanniques et lutter contre ses anciens frères américains. Après la guerre, Arnold part en Angleterre, où il ne sera jamais vraiment accepté. À juste titre. Qui pourrait faire confiance à un traître ? Sa vie fut marquée par la médiocrité et la misère et il mourut à l’âge de 60 ans au Canada.

Pourquoi est-ce que je raconte cette histoire ? Certains d’entre vous ont sans doute lié le titre de cet article à l’histoire de Benedict Arnold.

Tout récemment, huit ressortissants tadjiks ont été appréhendés à New York, à Philadelphie et à Los Angeles. Ils ont revendiqué leur allégeance à l’état islamique, ou « Daech » et discutaient ouvertement de la fabrication de bombes. Cela fait suite aux jihadistes islamiques illégaux qui ont été appréhendés alors qu’ils tentaient de franchir les barrières de la base du Corps des Marines de Quantico (dans l’état de Virginie). Ces Tadjiks étaient entrés illégalement dans notre pays par la frontière sud ouverte. Ils ont été lâchés dans le pays ; oui, des hommes célibataires en âge de servir dans l’armée, originaires d’un pays situé juste au nord de l’Afghanistan. L’Afghanistan, ce pays que nous avons rendu aux mêmes jihadistes islamiques contre lesquels nous nous sommes battus… grâce à notre propre Benedict Arnold, Joe Biden.

Au cours des premiers mois de 2021, Joe Biden a promulgué une série de décrets anticonstitutionnels, plus de 90 décrets, portant atteinte à notre souveraineté nationale. Tout comme Arnold cherchait à céder le fort critique de West Point, Biden a livré notre frontière avec le Mexique aux terroristes narcocriminels transnationaux appelés cartels. Tout comme Arnold, Biden a rendu aux talibans un pays entier, y compris, cerise sur le gâteau, 80 milliards de dollars d’équipement militaire américain. Biden a veillé à ce que les cinq hauts responsables des talibans, que Barack Hussein Obama avait libérés du GITMO, reprennent le pouvoir.

S’il existe un cas évident de crimes et de délits graves, passibles d’une mise en accusation, c’est bien celui de la mise en œuvre d’une politique d’ouverture des frontières. Une politique qui a abouti à un trafic de drogue qui a déjà tué plus de 100 000 Américains, soit plus que les pertes combinées des guerres de Corée et du Vietnam. Une politique qui a infligé le fléau du trafic humain et sexuel à notre République, où à Dallas nous sommes la deuxième ville du trafic sexuel d’Amérique. Et qui plus est, une politique qui a placé l’Amérique dans son état d’alerte le plus élevé face aux attaques terroristes islamiques, à une époque où nous avons des individus stupides criant dans nos rues des louanges et le soutien au Hamas et au Hezbollah.

Et pour une raison étrange, Joe Biden n’est pas tenu responsable d’avoir permis à des centaines de milliers d’hommes célibataires en âge de servir dans l’armée d’envahir notre nation. Nous en avons trouvé huit, mais combien y en a-t-il ici que nous ne connaissons pas ? On nous dit qu’il y a entre 1,5 et 2 millions d’immigrés clandestins en fuite. Ces chiffres sont stupéfiants et dépassent les effectifs actuels en service actif de notre armée de terre et de notre corps de marine. En effet, les échecs de Biden et son manque de respect envers nos militaires, ainsi que son accent sur la DEI (Diversity, Equity and Inclusion ) et la théorie du genre, ont épuisé nos rangs. Cependant, ne vous inquiétez pas, le sénateur américain Dick Durbin (sénateur démocrate de l’Illinois) affirme que nous pouvons enrôler dans nos forces armées des hommes immigrants illégaux… comme les huit du Tadjikistan.

S’il y a jamais eu une bonne description d’un traître des temps modernes, c’est bien Joe Biden. Biden a prêté serment de faire respecter nos lois. Il a fait tout le contraire. Joe Biden est censé protéger le peuple américain, mais la signature d’un accord de dix ans avec l’Ukraine est plus importante. Joe Biden EST une menace pour notre République constitutionnelle et notre démocratie représentative, car il souhaite que les clandestins, comme les huit originaires du Tadjikistan, soient comptabilisés dans notre recensement.

Quel meilleur exemple de crimes et délits graves que d’ouvrir délibérément et intentionnellement nos frontières pour permettre l’infiltration terroriste ? Joe Biden viole la clause de garantie, article IV, section 4 de notre État de droit, la Constitution américaine. Et nous sommes censés réélire un traître ?

Soyons honnêtes, quiconque souscrit à cette politique d’ouverture des frontières est également coupable de trahison.

Comment en sommes-nous arrivés à ce point en Amérique ? Nommez une autre nation qui fermerait les yeux sur des dizaines de millions de personnes entrant illégalement dans leur pays et violant leur souveraineté. Benedict Arnold a comploté pour céder le fort de West Point aux Britanniques. Ce fort protégeait contre l’invasion britannique dans la haute vallée de l’Hudson. Joe Biden a livré la forteresse américaine à nos ennemis, et les Américains sont en train de mourir. N’oubliez pas que Laken Riley (étudiante de 22 ans à l’université d’Athens en Géorgie, tuée au mois de février par un migrant illégal du Vénézuéla) serait toujours en vie sans la politique d’ouverture des frontières de Biden.

À l’heure actuelle de la politique, il semble que tout le monde recherche des surnoms désobligeants pour décrire ses opposants politiques. Il n’est pas désobligeant, dénigrant ou humiliant de qualifier Biden de « Joe le traître ». C’est bien ce qu’il est, malheureusement, mais il faut dire la vérité.

Si l’Amérique décide de réélire un traître comme « leader », alors nous méritons effectivement le résultat inévitable… la transformation fondamentale et la perte potentielle de l’Amérique.

Allen West, inébranlable et loyal.

Traduction par Jack pour Résistance républicaine

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4 Commentaires

  1. Mais en réalité,le traitre,c’est Obama,qui musulman, livre le grand pays que sont les Etats Unis aux meurtriers de toute espèce.C’est monstrueux.Biden a le titre,mais c’est Obama qui prend les décisions.Et il a été élu malgré le 11 septembre…..Il y avait des noirs baptistes (Martin Luther King),qui eux aimaient vraiment leur pays……Oui,la politique d’ouverture des frontières est un desastre pour ce magnifique pays.Parce qu’auparavant,il y avait de nombreuses questions sur les formulaires de demande de visa pour les USA.

  2. Pour faire simple, en UE,des Benedict-joe-Robinet,il n’y a pratiquement que ça. Sauf Orban ,revenons au souverainisme, prôné par Phillipot, par exemple.