Allah est-il à la hauteur ?

Allah

Dans le Coran, qui est censé être Sa parole directe, il se nomme lui-même « Allah » 2 699 fois et même 2 807 fois si l’on y ajoute les formules rituelles où ce nom entre en composition, comme “bism Allah“(« au nom d’Allah »).

 Le mot Allah, signifiant « le Dieu », est d’un usage antérieur à l’islam. Il est attesté parmi les tribus chrétiennes d’Arabie[1] pour désigner leur Dieu. Il a pu également désigner Hubaal , dieu de la lune, et dieu principal parmi les divinité païennes d’Arabie.

Dès lors, la formule islamique « Allah ou akbar [2]» « Dieu est le plus grand » a pu, en son temps, proclamer la prééminence du dieu choisi par les musulmans sur les autres divinités qui voisinaient avec leur dieu au même endroit. Elle n’est pas dans le Coran, mais peut avoir pris origine dans la formule : « proclame sa grandeur »(17, 111).

Allah par lui-même

Tout Miséricordieux (407 fois), Omnipotent (43 fois), Omniscient (118 fois), Allah s’est donné 99 noms, que doivent réciter les fidèles afin de se pénétrer de toutes les facettes de Sa Perfection.

…Et pourtant le Coran permet de relativiser ces prétentions d’Allah !

Allah aime les contes pour enfants : Par exemple, dans le récit que fait Allah concernant le roi Salomon qui s’avance, suivi de « son armée de djinns, d’hommes et d’oiseaux ». On entend alors une fourmi alerter ses congénères : «Ô fourmis, entrez dans vos demeures afin que Salomon et ses armées ne vous écrasent pas sans s’en rendre compte .» (27, 17-18).

Allah est ignorant en biologie : Allah ne sait pas que les gamètes existent et que le corps féminin est autre chose qu’un réceptacle « Vos femmes sont les porteuses de votre semence. » (2 : 223). Dans la formation de l’embryon, il ne sait pas que les os se forment après « la chair » : « Nous avons créé l’être humain d’un extrait d’argile. Puis, Nous en fîmes une goutte de sperme dans un reposoir solide. Puis, du sperme nous avons créé une adhérence, puis de l’adhérence nous avons créé un embryon, puis, de cet embryon, Nous avons créé les os, puis Nous avons revêtu les os de chair… »(23, 12 et ss.). Il ne connaît pas davantage le rôle du cerveau, privilégiant « le cœur » comme siège de la conscience (6, 25, 125 ; 9, 77 ; 7, 178-).[3]

Allah est ignorant en physique  : Allah se croit indispensable pour maintenir le ciel à sa place : « Et il retient le ciel de tomber sur la Terre, sauf quand il le permettra ». (22, 65). De même, lui seul permet aux oiseaux de voler en les tenant dans les airs : « Ne voient-ils pas les oiseaux créés pour voler dans l’atmosphère du ciel ? Personne ne les soutient dans l’air excepté Allah. » (16, 79).

Allah est Ignorant en cosmologie : Allah ne sait pas que le Soleil est une étoile, ni que la Terre gravite autour. Il prête au soleil un vie sans complication : le soir il va se coucher, comme n’importe quel humain, quelque part sur terre. Allah en personne le raconte , en mettant en scène un certain Dhû-l-Qarnayn. « Il suivit donc une voie et quand il eut atteint le coucher du soleil, il trouva le soleil qui se couchait dans une source boueuse et il trouva près d’elle un peuple. » (18, 83 à 86).

Il ne s’est pas aperçu que la Terre est sphérique, il dit l’avoir « étalée » , comme un bédouin étalerait un tapis, puis l’avoir fixée grâce aux montagnes, comme le même bédouin aurait posé des pierres ou enfoncé des piquets pour éviter que le tapis ne glisse. « Et c’est Allah qui pour vous a fait de la Terre un tapis. » (71, 19, 20). « Et la Terre nous l’avons étendue et y avons jeté des montagnes. » (15, 19). » Et Il a implanté des montagnes immobiles dans la Terre afin qu’elle ne branle pas… » (16, 15).

Quant aux cieux, Allah en a créé 7, « élevés » au-dessus de la Terre, « sans piliers visibles »(13, 2) , à l’horizontale, puis il y a placé étoiles et comètes : « Nous avons effectivement embelli le ciel le plus bas avec des lampes et nous en avons fait des projectiles contre les diables… » (67, 5) Mais, détail pratique, ce ciel est repliable en un geste, pour le Jugement dernier , « ce jour où Nous replierons le ciel comme on plie le rouleau des livres… »(21, 104).

Allah est un plagiaire : Certes, le Coran est un « Rappel », mais au lieu de ne contenir  que ce Dieu a dit, il copie des passages entiers de ce que des hommes ont écrit dans le Talmud, dans la Bible[4], dans les évangiles apocryphes et dans des récits populaires qui circulent depuis l’Antiquité tardive, comme le conte des 7 dormants d’Ephèse, repris dans la sourate 18[5].

Allah est colérique :  Ce trait de caractère, qui va souvent avec l’impuissance à agir, se justifie d’autant moins qu’Allah est Omnipotent. Il ne devrait d’ailleurs s’indigner de rien, puisqu’il a tout écrit depuis l’éternité[6]. Sa colère est pourtant évoquée 17 fois dans le Coran. Bien peu maître de ses nerfs, Allah se laisse aller à insulter ceux contre qui il s’emporte, les qualifiant de « « chiens » (7, 176, 177), d’ « ânes » (62, 5), ou tel autre de « bâtard » (8, 16 ) !

Allah change d’avis :  Alors que le Coran devrait être écrit de toute éternité, Allah modifie certaines de ses exigences. Après avoir promis qu’au combat « vingt (musulmans) endurants vaincront deux cents (ennemis) ». Il déclare « A présent Allah a allégé votre tâche car il sait qu’il y a en vous de la faiblesse ; Alors s’il y a parmi vous cent endurants, ils vaincront deux cents » (8, 65-66). De même, alors qu’Allah attribuait aux jeux de hasard et aux boissons fermentées « une certaine utilité » (2, 219), il les condamne ailleurs comme « procédant de l’oeuvre du démon » (5, 90). Par le système de l’abrogation , Allah officialise son droit à raturer ses versets « abrogés »( mansûkh) au profit de nouveaux versets « abrogeants » (nâsikh) “Chaque fois que Nous abrogeons un verset ou que Nous le faisons oublier, Nous en apportons un meilleur ou un semblable…” ,(2, 106). Mais les uns comme les autres demeurent dans le Coran, ajoutant à la confusion !

Allah est souvent inintelligible : Il n’est déjà pas très bon en grammaire arabe, puisqu’on peut lui reprocher des fautes par centaines[7]. Son lexique est mâtiné d’araméen, d’hébreu, de syriaque. Il avoue lui-même qu’il est le seul à vraiment se comprendre et il s’en vante : « Nul autre qu’Allah ne connaît l‘interprétation du Livre. » (3, 7).

Allah est nul en sexualité : Allah , dieu mâle, est sans doute pourvu d’un membre viril mais il semble un peu limité sur l’art de s’en servir. En effet, lorsqu’il a imaginé le plaisir suprême qu’il pourrait offrit, en son Paradis, aux meilleurs de ses fidèles, il n’a idée que d’offrir aux hommes de pénétrer des vierges, les fameuses houris «  qu’avant eux aucun homme ou génie n’a déflorées » (52, 20 ; 56, 22 ; 55,72 et 44,54). Tout homme expérimenté sait que ce n’est pas l’opération la plus agréable, surtout si elle est éternellement répétée. Quant aux houris, il faut sans doute qu’elles soient rejetées au Néant après défloration, n’étant plus vierges. Ces jeunes créatures, “aux chastes regards“, n’auront guère connu le meilleur de l’amour.

La science d’Allah en la matière est très en deçà de l’art amoureux que les humains ont mis des siècles à approfondir.

Couple dans l’intimité, fresque d’une maison de Pompeï construite au IIe siècle avant J.C., ensevelie en 79 après J.C. (Italie)

Allah est velléitaire : au lieu d’accomplir immédiatement sa volonté, il parle seul, s’exhortant lui-même vainement à agir : « Les juifs disent « Uzayr » est fis d’Allah »et les chrétiens disent « Le Christ est fils d’Allah ». Telle est leur parole venant de leurs boches. Ils imitent le discours des mécréants avant eux. Qu’Allah les détruise ! » (29, 30). Ou bien ; « Que périssent les deux mains d’Abu Lahab et que lui-même périsse ! » (111, 1).

Allah est narcissique : Non content de se vanter à longueur de sourates, Allah l’avoue sans détours : il veut seulement s’aimer à travers l’adoration d’autrui. «  Je n’ai créé les djinns et les hommes que pour qu’ils m’adorent. » (51, 56).

Allah radote : il raconte plusieurs fois les mêmes histoires. Par exemple, l’annonciation à Marie (3, 44 et ss ; 19 ; 17 et ss°), Moïse et le buisson ardent (27, 7 à 12), 28, 29 à 32), Moïse devant le Pharaon ((20 , 4è à 49 ; 26, 16 à 23 ) , Iblis refusant de se prosterner devant Adam (7, 11 – 18 ; 15, 28 – 40 ; 17, 61 – 63), etc… Il répète inutilement le même verset dans plusieurs sourates différentes : « Moïse dit à son peuple : “Rappelez- vous le bienfait de Dieu sur vous quand Il vous sauva des gens de Pharaon qui vous infligeaient le pire châtiment. Ils massacraient vos fils et laissaient en vie vos filles. Il y avait là une dure épreuve de la part de votre Seigneur” (2, v. 49 ; 7, v. 141 ; 14, v. 6).

Allah aime la guerre : il envoie ses fidèles au combat, en son nom, sans aucune nécessité.  « Lorsque vous rencontrez (au combat) ceux qui ont mécru, frappez-en les cous. Puis, quand vous les avez dominés, enchaînez-les solidement. Ensuite, c’est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu’à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car si Allah voulait, Il se vengerait Lui-même contre eux, mais c’est pour vous éprouver les uns par les autres…» (47, 4) Car, de toute façon . «  Ce n’est pas vous qui les avez tués mais c’est Allah qui les a tués. » ( 8, 17).

Allah n’hésite pas à briser les liens familiaux et sociaux : tous les liens, toutes les alliances s’évanouissent quand il s’agit de la soumission à Allah. Abraham est donné en exemple : « Abraham ne demanda pardon en faveur de son père qu’à cause d’une promesse qu’il lui avait faite. Mais, dès qu’il lui apparut clairement qu’il était un ennemi d‘Allah, il le désavoua. » (9, 114). Allah exige du croyant la rupture des liens d’affection avec les proches,dès lors qu’ils sont mécréants : « Tu n’en trouveras pas, parmi les gens qui croient en Allah et au Jour dernier, qui prennent pour amis ceux qui s’opposent à Allah et à Son Messager, fussent-ils leur pères,  leur fils, leurs frères ou les gens de leur tribu. » (58, 22).

Allah prône la polygamie qu’il juge inéquitable : « Vous ne pourrez jamais être équitable entre vos femmes même si vous en êtes soucieux. » (4, 129).

Allah est injuste : il envoie directement au Paradis, quels qu’aient été leurs crimes, ceux qui meurent en faisant le djihad (2, 169) ou ceux qui viennent de se purifier par le pèlerinage à la Mecque. En revanche, il envoie en Enfer, quelles qu’aient été leurs bonnes actions, ceux qui ne se soumettent pas à lui, y compris ceux qui n’ont jamais eu connaissance de l’islam. (18, 103 – 106).

Allah pratique le favoritisme : Il réclame pour Mahomet le 5e du butin voire la totalité, car « Le butin est à Allah et à Son messager. »(8, 1). Allah exempte Mahomet de l’interdiction d’avoir plus de 5 épouses (33, 49-51). II intervient à point pour lui permettre d’épouser la femme de son fils adoptif en, q annulant l’adoption au passage (33, 37.) etc…

Allah légitime l’oppression  : celle des hommes sur les femmes (4, 34), celle des hommes libres sur les esclaves(16,75), celle des vainqueurs sur les vaincus (23, 106-108), celle des chefs sur les autres (4, 59 et 6, 165), et surtout celle des musulmans sur les non-musulmans (3, 110).

Allah est animiste : Il s’est adressé à de objets inertes comme à de êtres pensants et parlants : « Nous avions proposé aux cieux, à la terre et aux montagnes la responsabilité (de porter les charges de faire le bien et d’éviter le mal). Ils ont refusé de la porter et en ont eu peur, alors que l’homme s’en est chargé car il est très injuste [envers lui-même] et très ignorant… » (33, 72) Allah ne craint pas d’affirmer que toute la Création le révère, y compris les objets, qui sont pourvus de conscience : « N’as-tu pas vu que c’est devant Allah que se prosterne quiconque est sur la terre, et le soleil, et la lune, et les étoiles, et les montagnes, et les arbres, et les animaux, ainsi que beaucoup de gens ?… » (22, 18).

Il en va de même dans le célèbre hadith anti-juif :  « L’Heure ne viendra pas avant que les musulmans n’aient combattu les Juifs (c’est-à-dire que les musulmans ne les aient tués), avant que les Juifs ne se fussent cachés derrière les pierres et les arbres et que les pierres et les arbres eussent dit : “Musulman, serviteur de Dieu ! Un Juif se cache derrière moi, viens et tue-le ! » (Bukhâri, titre 56, chapitre 94)[8].

Allah ne s’est pas détaché du culte des étoiles attesté en Mésopotamie plus de 12 siècles avant J.C.[9].  Il prend les astres à témoin et jure « par le ciel doté de constellations » (85, 1), « « par le soleil et sa clarté et la lune quand elle le suit » (91, 1et 2), « par la lune et par la nuit quand elle se retire et par l’aurore quand elle se découvre » (74, 32-33-34 ), « par la position des étoiles » (56, 75), « par le ciel et l’astre nocturne »(86, 1-2-3), « par les planètes qui gravitent, qui courent et disparaissent »(81, 15 et 16).

Allah est polythéiste, au fond : lui qui intime à ses fidèles l’ordre de réciter qu’« il n’y a qu’un seul Dieu », atteste de l’existence d’autres divinités puisque, selon ses propres paroles, elles seront présentes au Jour du Jugement. Ces divinités qui ont concurrencé Allah seront juste trop lâches pour assumer le passé et défendre leurs fidèles : « Et le jour où nous les rassembleront tous, alors nous dirons à ceux qui ont donné à Allah des associés : « A votre place, vous et les associés qui sont vôtres ! Nous les séparerons les uns des autres et leurs associés diront : « Ce n’est pas nous que vous adoriez. Allah suffit comme témoin entre nous et vous que nous étions indifférents à votre adoration. » (10, 28 et 29 ; 16, 86 et 87 ). D’ailleurs, Allah n’a-t-il pas toléré que Mahomet récite pendant des années, dans la sourate 53, les fameux « versets sataniques » (21 et 22) qui rendaient hommage, à 3 déesses préislamiques : « Ces idoles sont d’illustres divinités dont l’intercession doit être espérée. » ?

Allah est complice d’Iblis (le Diable) : tous deux s’emploient à pourvoir l’Enfer en damnés. Pour cela, il suffit d’égarer les créatures « Le Diable veut les égarer très loin dans l’égarement » (4, 60). Mais Allah fait mieux : « Il égare qui il veut et guide qui il veut. »(16, 93). Allah a voué les damnés à l’Enfer avant leur naissance :« Nous avons destiné beaucoup d’hommes et de djinns à l’égarement. » (7, 178-179).

Allah est sadique : Allah tire une vraie jouissance  de la souffrance des damnés, au point de la faire durer au-delà de toute limite : « Certes, ceux qui ne croient pas à nos versets, Nous les brûlerons bientôt dans le feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur donnerons d’autres peaux en échange afin qu’il goûtent au châtiment… » (4, 56).

Allah n’aime personne : il ne protège pas ceux qui l’aiment, même son favori. Il aurait réservé à son Prophète une fin avilissante en le faisant mourir empoisonné par une femme, juive de surcroît ! Allah aurait vu ensuite sans frémir le cadavre du “Meilleur des hommes” dévoré par les chiens.

Allah a aussi oublié qu’il avait promis aux pèlerins de la Mecque un havre de sécurité au sanctuaire de la Mecque : « Là sont des signes évidents, parmi lesquels l’endroit où Abraham s’est tenu debout; et quiconque y entre est en sécurité. Et c’est un devoir envers Dieu pour les gens qui ont les moyens, d’aller faire le pèlerinage de la Maison. » (3, 96-97). Or on ne compte plus les morts dans le sanctuaire, dues à la chaleur[10], à l’étouffement, au piétinement dans la foule[11], aux accidents[12], aux attaques de musulmans contre des musulmans[13].

Le siège de la Mecque en novembre 1979, a fait plusieurs centaines de victimes :

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Autre catastrophe durant le pèlerinage à la Mecque : L’Arabie saoudite annonce 1.301 morts ( 15 juin 2024).

Conclusion : Si l’on jugeait un homme d’après les paroles et le comportement ci-dessus, on en déduirait que son profil est plutôt inquiétant. S’il s’agit d’un Dieu qui prétend à la Perfection, c’est encore pire : trop de défauts le disqualifient ; trop de qualités lui font défaut. Au fond, Allah a une seule excuse, c’est qu’il n’existe pas !

[1] Dans une inscription chrétienne datant de 512, les références à Allah sont en arabe et en araméen, soit « Allah » et « Alaha ».

[2] akbar est un « élatif », procédé grammatical qui n’existe pas en français, un superlatif de l’adjectif kabîr : « grand au plus haut degré », « plus grand que tout », « le plus grand ».

[3] Majid OUKACHA, 100 contradictions et erreurs scientifiques dans le Coran, juin 2023.

[4] La Bible ne se présente pas comme un livre « tombé du ciel ». La Bible contient des paroles de Dieu mais parmi des paroles humaines. Elle a été écrite sur une période de plus de 1000 ans par des êtres humains.

[5] La version la plus ancienne de ce récit date du 1^er quart du VI^e siècle et est conservée dans les homélies de Jacques de Saroug.

[6] BUKHÂRI n°7418 : « Il écrivit toutes les choses [i.e. ce qui allait arriver] dans le Livre (qui est aux cieux), puis Il créa les cieux et la terre.»

[7] Sami ALDEEB, « Introduction aux erreurs linguistiques dans le Coran » (en arabe avec introduction en français): 2021 et plus de 8 videos en français, en 2020 dont  celle-ci ).

[8] Al BUKHÂRI, Les Traditions islamiques, titre 56 (« De la guerre sainte »), [8]chap. 94, traduit en français, avec notes et index, par Octave Houdas et William Marçais, Paris, Imprimerie nationale, 1903, t. 2 ; nouvelle édition, Maisonneuve et Larose, Paris, 1984, t. 2, p. 322.

[9] Jean Bottéro et Samuel Kramer, Lorsque les dieux faisaient l’homme, Gallimard, Paris,1889, pp. 602-6079, et notamment tab. IV, 144-145, et V-1-2, p. 631.

[10] « Pèlerinage à la Mecque : L’Arabie saoudite annonce 1.301 morts pendant le hajj », 20 minutes, 24/06/2024  https://www.20minutes.fr/monde/4097646-20240623-pelerinage-mecque-arabie-saoudite-annonce-1-301-morts-pendant-hajj

[11] Majdid ZERROUKY, « « La Mecque : les raisons d’une bousculade meurtrière », 717 morts , Le Monde, 24 septembre 2015. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/09/25/la-mecque-les-raisons-d-une-bousculade-meurtriere_4772055_4355770.html

[12] « La chute d’une grue tue 107 personnes à La Mecque », Reuters, 12 septembre 2015. https://www.radiofrance.fr/franceinter/la-chute-d-une-grue-tue-107-personnes-a-la-mecque-2701633

[13] « Mecque 1979 : Le siège de la mosquée qui a changé le cours de l’histoire saoudienne », des centaines de victimes, BBC News Afrique, 6 janvier 2020.

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