Macron et Mélenchon sont dans un camion conduit par le Grand Mufti…

On les a mis tous les deux dans la remorque du camion rouge, et c’est le Grand Mufti qui est au volant. En route vers le califat. Pied au plancher. Les trois quarts du chemin sont déjà faits. Il ne reste plus que deux semaines pour dérouter cet engin de mort ou le faire capoter.
La gauche dite modérée se retrouve, une fois de plus, dans le char des fossoyeurs de la Nation
Leur nouveau totem de charme est le grassouillet Hollande. Président par hasard, macronard par mégarde. Au pouvoir, il a surabondamment prouvé son incompétence et sa balourdise. Le père La Francisque qui savait jauger les hommes n’en a jamais voulu. Pas même comme sous-secrétaire d’État aux réclamations. Il lui a préféré Ségolène enceinte jusqu’aux yeux.
Et voilà qu’aujourd’hui, la gauche socialo-islamo-gauchiste prête au champion de scooter furtif des qualités qu’il ne leur rendra jamais. Peu importe qu’il ait essayé de torpiller la NUPES lors des législatives de 2022, en appelant à une alliance excluant les énergumènes de la France insoumise, soumise à l’islam. Sa candidature à Tulle est applaudie. Sans même voir ce qu’elle a de minable.
Il faut manquer singulièrement de fierté et de dignité, quand on a été le PDG d’une grosse boîte, qu’on l’a ruinée, été mis en minorité par son conseil d’administration et remercié par l’Assemblée Générale des actionnaires… Pour se faufiler jusqu’au bureau du DRH et y solliciter un emploi de grouillot.
L’indécence n’étouffe pas non plus Carole Delga, présidente de la région d’Occitanie. Et Anna Hidalgogole. Elles ont rejoint le nouveau Front popu LFI alors qu’elles s’étaient opposées auparavant à une entente avec les « insoumis » et les NPA (nouveau parti anticapitaliste de Neuilly-Passy-Auteuil) assortis d’un ramassis de trotskistes, de résidus de maoïstes et de scories de repris de justice, prônant la violence révolutionnaire, avec une promesse pour les socialauds « Les bourgeois social-traîtres à l’échafaud ! »
Comme pour la peste, beaucoup en crèvent mais certains en réchappent
On trouve encore quelques socialauds allergiques à un mariage contre nature avec une gauchiasse dominée idéologiquement par LFI et manipulée tactiquement par le roublard Merluchon. Un calamar qui a renié ses principes, en particulier sur la laïcité et la social-démocratie, afin de capter les votes d’allogènes islamistes, en affichant un anti-sémitisme qu’on ne lui connaissait pas jusqu’alors.
Parmi les opposants à ce détournement de marque (le Front Popu) on trouve Bernard Cazeneuve, Julien Dray, François Rebsamen, Manuel Valls et quelques autres…
Cazeneuve, ex-Premier ministre de Hollande, a clamé haut et fort que le rassemblement d’une gauche de gouvernement ne peut pas se faire avec LFI. Dans son entourage, on qualifie ces lascars « d’extrême gauche ». Le tabou protégeant les forcenés de cette étiquette infamante serait-il sur le point de sauter ?
Dray, ancien conseiller de Mitran et cacique de l’anti-racisme a déclaré sans détours dans le Figaro qu’aucun accord n’était possible avec LFI. Encore un petit effort, et il va voter RN comme les Klarsfeld.
Rebsamen, ancien ministre de Hollande, appelle à un rassemblement élastique des sociaux-démocrates, pouvant aller de la nunuche Hayer au mondain Glucksmann. Sans céder aux alliances tactiques d’appareil avec LFI que la direction du Parti socialiste prétend imposer.
Valls, autre ancien Premier ministre de Hollande, avant de se rapprocher des macronards lors des législatives de 2022, ce qui ne lui a pas porté chance, dénonce un misérable accord électoral. Il s’indigne à juste titre d’une alliance avec LFI dont les propos antisémites et les positions ouvertement pro-Hamas sont intolérables.
Des élus de gauche moins connus ne veulent pas de Mélenchon non plus
Ce triste sire fait figure de repoussoir. Par ses propos excessifs, son entourage agressif et ses prises de position en faveur des terroristes, le merluchon fait gagner des voix au RN, chaque fois qu’il ouvre sa grande gueule… La remarque vaut aussi pour Macronescu, ses petits marquis, et les « people » millionnaires, histrions subventionnés et sportifs illettrés, que la France profonde vomit.
Jérôme Guedj, député de l’Essonne, est candidat aux législatives mais en dehors du Nouveau Front populaire. « Je ne veux pas m’associer à LFI, a-t-il précisé. La ligne rouge a été franchie trop de fois par LFI et j’avais rompu avec eux depuis des mois ».
Il a quitté la NUPES en octobre 2023 après les propos tenus par la députée LFI Danièle Bonobo qui soutenait que les assassins du Hamas, tueurs de femmes et d’enfants, étaient des « résistants ».
Juliette Méadel, ex-secrétaire d’État de Hollande, candidate dans les Hauts-de-Seine, à la question de savoir si elle pourrait s’associer avec LFI a répondu : « Jamais ! »
Même réponse de Bertrand Petit, député du Pas-de-Calais, qui se représente mais refuse l’étiquette Nouveau Front populaire. « Je ne partage pas les idées des extrêmes » dit-il.
Idem dans l’Aude où Philippe Andrieu rejette l’étiquette du NFP/LFI qui l’a investi… Réaction similaire chez nombre de candidats macronards qui refusent d’afficher la tronche du dictateur sur leur propagande électorale. Ça fout la trouille même aux téléphages !
Et puis il y a ceux qui prennent la tangente comme Martine Froger et Laurent Panifou, députés sortants LIOT (Liberté, Indépendants, Outre-mer et Territoires). Suspendus du PS pour avoir rejeté la Nupes, ils soutiennent qu’aucun accord avec LFI n’est possible.
À la différence des écolos qui, pour mieux protéger les fleurs, les papillons et les petits oiseaux, se sont exprimés pour une alliance avec LFI. Ce qui ne surprendra personne. On sait que lorsque leur ripolin vert s’écaille, la peinture rouge en dessous réapparaît, indélébile.
Les émeutes, autre repoussoir
Dans les cortèges manifestant leur dépit contre les résultats aux Européennes, et cherchant à intimider les électeurs aux Législatives, des élus et des candidats du Nouveau Front popu tiennent le haut du pavé. Ces crapules jouent sur les deux tableaux. Ils essaient de se faire élire pour profiter des avantages que cela procure. Mais ils magouillent pour déclencher un soulèvement des banlieues islamo-mafieuses afin de renverser la République.
«Nos adversaires font une erreur à nous renvoyer à une extrême droite fantasmée qui n’existe plus depuis longtemps », a déclaré Louis Aliot, vice-président du RN. « L’inquiétude est beaucoup plus du côté de ceux qui, à gauche, voient arriver comme une catastrophe les amis de Jean-Luc Mélenchon avec leur nouvelle alliance bâtie dans l’urgence, qui menace la paix civile ».
À moins de quinze jours du premier tour, tous les sondages prévoient une nouvelle déroute des troupes présidentielles. Macronescu a contredit la rumeur d’une potentielle démission, si le RN et ses partenaires obtenaient une majorité absolue. Mais vu son caractère d’enfant gâté et capricieux, incapable de gérer ses frustrations, il est probable qu’il craquerait. Qui sait si une overdose ne le finirait pas ?
Il a beau se déguiser en boxeur et jouer au gros dur derrière un cordon de CRS hébétés, dans son for intérieur, c’est un faible et un froussard.
Déjà des macronistes quittent la barcasse qui sombre. Plusieurs personnalités dont la ministre Olivia Grégoire et Yaël Braun-Pivet, la présidente de l’Assemblée nationale, affirment qu’en cas de duel de second tour RN contre NFP, elles voteraient blanc. Pourvu qu’elles ne soient pas condamnées pour propos racistes !
Finalement, le camion rouge n’arrivera peut-être pas à destination. Ou s’il y parvient, il sera tellement cabossé, qu’il ne pourra plus rouler personne.
Christian Navis
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