Gaza : pour les ânes de la bande palestinienne, chaque Gazaoui mort est une charge en moins

Ânes de Gaza

Désolé de le dire de façon aussi choquante, mais quand on voit comment les Gazaouis traitent leurs squelettiques bêtes de somme qui les déplacent d’un point à l’autre de la bande palestinienne sous le feu israélien, on ne peut s’empêcher de laisser s’échapper un cri d’effroi et de détresse.

D’autant que les squelettiques baudets sont soumis de façon incessante aux coups de fouet. Les Gazaouis, comme tant d’autres  Arabes qui peuplent le monde, prennent un plaisir psychopathique à torturer tous les animaux qui apparaissent dans leur champ de vision, particulièrement quand ils sont leur propriété.

On se lamente sur les pertes des Gazaouis, mais pas sur les animaux. Pourtant, les animaux méritent plus de compassion. Ils sont pris dans cette guerre alors qu’ils ne sont ni du côté d’Israël ni du côté du Hamas

Quand on voit des baudets squelettiques traîner des charrettes alourdies de toutes sortes de produits et d’énergumènes de toutes dimensions et de tout calibres, on ne peut s’empêcher de penser que si l’un de ces énergumènes tombait par terre par l’effet d’une balle ou d’un fragment d’obus, le baudet serait soulagé.

Et plus d’énergumènes tomberaient, plus le baudet serait soulagé.

Ce que l’on ne peut que souhaiter pour lui.

Ânes de Gaza

Regardez ce balourd de Gazaoui assis à l’avant de la charrette et qui parle dans son Iphone. Il pèse à lui seul plus que le double de l’âne et de son pauvre et chétif petit qui tirent la charrette. Le balourd pourrait bien marcher. Cela ne peut lui faire que du bien. Mais il tient à alourdir la charge sur les deux baudets.

Honte à toi, le balourd gazaoui. Honte à vous tous les Gazaouis. Qu’Allah vous châtie pour les souffrances que vous infligez à ses créatures.

À Gaza, les ânes sont pratiquement le moteur de l’économie. Les ânes proviennent principalement d’Israël, mais l’État hébreu a décidé au printemps 2022 d’interdire toute exportation de baudets vers Gaza.

Selon certaines informations rapportées par différents médias, les baudets de la bande de Gaza font l’objet d’un odieux commerce. Ils sont exploités outre mesure et une fois qu’ils ne sont plus en état de servir, ils sont abattus. Leur peau et leurs sabots sont alors revendus en Chine pour être transformés en une prétendue substance médicinale. Leur chair, elle, est exportée vers l’Égypte pour être consommée.

Un âne peut tracter jusqu’à 300 kg s’il est bien nourri et soigné. Vous croyez que c’est le cas à Gaza ? Il y a bien l’UNRWA, « A » pour ânes, mais tout a été détourné pour les bourriquets du Hamas.

Les baudets de Gaza semblent sur le point d’être complètement exterminés. Qu’à cela ne tienne. Les Gazaouis pourront les remplacer par ceux qui ont toujours cherché à les transformer en bourricots, les Ismaël Haniyeh et Khaled Mechaal entre autres. Ils ont été nourris par les aliments qui étaient destinés aux Gazaouis, par le lait qui était destiné à leurs enfants.

On pourrait leur adjoindre Antonio Guterres de l’ONU, Josep Borrell de l’UE et Karim Khan de la CPI. Ils sont tous gros et gras, tous pleins de graisse. Ils feraient un bon attelage.

Gazaouis, qu’Allah vous ressuscite en ânes dans un pays du Maghreb. La vie vous y sera aussi douce que celle que vous avez imposée à vos bêtes à Gaza. Vous regretterez d’avoir été ressuscités et vous ne demanderez qu’à retourner dans la Géhenne d’où vous venez et qui vous semblera plus vivable que dans les contrées de vos frères arabes de n’importe quelle partie du monde.

Quoi qu’il en soit, il faut préserver les ânes de Gaza et de Cisjordanie. Au moment où l’on évoque la possibilité de la mise en place de deux États, la présence des ânes pourrait s’avérer être un élément décisif.

La mise en place d’un État palestinien est impossible sans la participation de bourricots.

Bourricots d’un côté, ordinateurs de l’autre.

Il en sera toujours ainsi.

Messin’Issa

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4 Commentaires

  1. Il faut vérifier si sa charette est bien équipée de pneus hiver.La tenue de route est meilleure par temps froid.
    Sa charette est manifestement en surcharge et c’est dangereux à grande vitesse.Dans certains pays on charge une tonne sur un vélo alors finalement la surcharge est modérée.

  2. “Qui veut voyager loin, ménage sa monture”. Manifestement, ils ne connaissent pas ce sage conseil. Et je reste persuadée qu’ils ont l’équivalent en langue arabe ou gazouie.

  3. je pleure pour l anesse et son petit aux mains de ces fei gna sses : combien sur le chariot pour une pauvre petite anesse ???

  4. Avec L’HUMAIN il n’y a pas de naissance , de vie , de mort et de renaissance ( sous une forme quelconque ) .Death can dance , Death has always danced . Nous jouissons de la désolation que nous créons et entretenons.
    https://youtu.be/QJhVM930YXY

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