Climat de guerre civile et de guerre ethnique à Nouméa
Ne nous y trompons pas, au-delà de la lutte pour l’indépendance, c’est un violent racisme anti-Blancs qui s’exprime une fois de plus en Nouvelle-Calédonie chez les émeutiers kanaks.
Cette terre française depuis 1853, véritable paradis situé à 18 000 km de la métropole, replonge dans les scènes de guérilla urbaine des années 1980. Pillages, incendies et destructions en tous genres sont de retour, avec en prime des tirs par armes à feu sur les forces de l’ordre, dont plus de 70 membres ont été blessés.
Deux morts sont à déplorer suite aux nuits d’émeutes. Le couvre-feu n’étant pas respecté, il est clair que l’état d’urgence s’impose si on veut éviter un bain de sang dans l’archipel.
On apprend qu’un jeune gendarme de 22 ans vient d’être tué par une balle en pleine tête. On n’est plus dans une insurrection classique mais dans une guerre civile. Les émeutiers kanaks sont bien décidés à tuer. C’est la Légion qu’il faut déployer, pas des forces de maintien de l’ordre !
Plusieurs escadrons de gendarmerie mobile et des unités de CRS ont décollé pour Nouméa. Ainsi que des éléments du RAID et du GIGN.
Ce chaos fait penser aux pires heures de 1988, quand 19 preneurs d’otages kanaks et deux militaires avaient été tués lors de l’assaut de la grotte d’Ouvéa. Un épisode tragique sous haute tension politique, alors que la France vivait sous le régime de la cohabitation, avec François Mitterrand à l’Élysée et Jacques Chirac à Matignon.
Motif des émeutes ? Le dégel du corps électoral figé par Chirac en 2007.
A l’époque, il avait été décidé que seuls les résidents présents sur le territoire avant 1998 pourraient participer aux votes pour l’indépendance, réclamée par les Kanaks.
Mais malgré cette restriction pénalisant le camp loyaliste, trois référendums ont largement désavoué les indépendantistes, en 2018, 2020 et 2021.
Ce qui fait qu’aujourd’hui, les résidents nés ou arrivés après 1998 n’ont toujours pas le droit de participer aux élections décidant du statut du territoire. Rappelons que si celui-ci bénéficie d’une large autonomie, immigration, monnaie, défense et sécurité dépendent de Paris.
La réforme constitutionnelle en cours entend remettre en cause ce gel du corps électoral figé en 1998, pour élargir celui-ci à tous les natifs et résidents présents depuis plus de 10 ans sur l’archipel.
Un dégel que les Kanaks refusent, car il diluerait selon eux le vote indépendantiste.
De leur côté, plusieurs dizaines de milliers de ces nouveaux résidents s’estiment discriminés et privés du droit élémentaire de voter, comme partout en France.
Évidemment, en métropole, la gauche soutient les indépendantistes au nom de la décolonisation. Dès lors que les trois référendums rejetant l’indépendance ne conviennent pas à l’idéologie gauchiste, il ne faut pas s’étonner que les ténors de la gauche s’assoient sur la démocratie. Refrain connu. Quand le verdict des urnes n’est pas favorable, la rue prend le relais.
Ce qui est à craindre en Nouvelle-Calédonie, mais en métropole également, c’est la montée d’un racisme anti-Blancs ouvertement déclaré, nouvelle preuve de la grande illusion d’un vivre-ensemble pacifique et sincère. Un racisme affirmé qui peut mener au pire et compromet l’avenir.
« On se fait insulter, traiter de sales Blancs ; on se croirait en Afrique, il y a une forme de revanche anti-coloniale » « La Kanaky veut faire la Kanaky par les Kanaks et pour les Kanaks. »
On notera que lorsque la gauche en métropole nie le Grand Remplacement et la colonisation de la France par une immigration extra-européenne, la même gauche soutient le discours kanak qui dénonce le Grand Remplacement et la colonisation de la Nouvelle-Calédonie par les Blancs de métropole ! La morale de gauche s’exprime toujours à la tête du client.
La situation n’est pas près de s’apaiser. La haine mise en sommeil ressurgira toujours.
Quand le président du Congrès, Roch Wamytan, affirme que « le seuil de tolérance des Blancs est déjà atteint », il est inutile de rêver. Une Nouvelle-Calédonie pacifiée n’est pas pour demain
L’indépendance paradisiaque que vendent les Kanaks n’est qu’un mirage
Comme partout après la décolonisation, ce sont les élites dirigeantes qui se partagent le gâteau, tandis que le peuple n’en voit pas la couleur.
Si la Nouvelle-Calédonie bénéficie d’un niveau de vie enviable parmi nos possessions outre-mer, celui-ci ne provient pas que du nickel. Il provient surtout des transferts de la métropole, qui ne manqueraient pas de se tarir suite à un divorce sans pension alimentaire.
Chaque année, c’est Paris qui vient renflouer les caisses pour éviter la cessation de paiement à l’archipel. L’indépendance sans la France serait un désastre économique.
Par ailleurs, nul doute que les Chinois feraient un pont d’or aux dirigeants nouvellement indépendants pour construire une base aéronavale au beau milieu du chaudron du Pacifique Sud, futur théâtre d’affrontements majeurs entre Pékin et Washington. Un cauchemar pour les Australiens.
Je me souviens qu’à l’époque où la Chine ne fabriquait que des lampions et des cerfs-volants, les Australiens, en bons Anglo-Saxons, ne cessaient de nous savonner la planche pour contrer nos intérêts dans la région, en jouant la carte indépendantiste. Mais depuis que la Chine est devenue un mastodonte militaire, plus question pour Canberra de voir tomber la Nouvelle-Calédonie dans l’escarcelle chinoise.
Ce qui est certain, c’est qu’en cas d’indépendance future, le peuple kanak aura tout à perdre, surtout si les Caldoches subissent le sort des Pieds-noirs d’Algérie.
En attendant, la priorité est de ramener la paix et la sécurité sur l’île.
Jacques Guillemain
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Les flics et militaires se font tirer dessus ! Pourquoi ne tirent-ils pas aussi ???
Correction : l’Azerbaïdjan, c’est le darpamalin qui l’a dit.
ça doit être ça : une bande de pilleurs excités par les muz qui leur ont bourré leur petit crâne d’australopithèques.
C’est une toute petite minorité qui agit.
Une grande fermeté permettrait de les mettre au pas.
Il parait que l’Afghanistan, serait derrière ce foutoir. Des musulmans, encore eux !!!
Vous n’avez toujours pas compris !! Les émeutiers qu’on qualifie d’indépendantistes ne sont que les mêmes racailles que l’on subit en France. Ils ne sont pas intéressés par la politique, juste par le pillage .
Inutile de discuter, juste tirer.
Si les Français s’en vont, les Canaques vont connaître les joies de la société chinoise et du communisme. Qu’ils essaient de se révolter contre Pékin, et ils seront éliminés impitoyablement, si les Chinois ne l’ont pas fait avant. En Chine on ne pratique pas l’assimilation mais l’uniformisation. Et en cas d’échec, l’élimination.
Ou alors, ce seront l’Australie et la Nouvelle-Zélande(et leur Seigneur et Maître les USA!…)qui s’empareront de ce territoire…ce qui ne sera guère mieux que la Chine pour les populations concernées! Voyez un peu la façon dont l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont traitées pendant si longtemps leurs « indigènes » Papous, Aborigènes et Polynésiens!…
Faut couper le robinet du nerf de la guerre et tout rentrera dans l’ordre.