Cnews, pour satisfaire aux exigences d’égalité de L’ARCOM, invite tous les samedis, de 13h à 14h, l’homme de gauche Michel Onfray. C’est lui qui se déclare de gauche et le rappelle le plus souvent possible à l’animatrice de l’émission. Laurence Ferrari. Est-ce pour se convaincre lui-même ?
Il se dit de gauche, mais d’une autre gauche et Gaulliste à la fois, une sorte d’ovni.
Il se dit d’une gauche souverainiste, nationaliste, anti-islamiste, c’est vrai que la gauche à laquelle on s’était habituée et qu’il a fréquentée, était internationaliste, partisan du vivre ensemble, dans une France sans frontières.
Onfray a été contaminé par le virus nationaliste dans les années 2010/2014, l’incubation a été longue, mais maintenant l’homme de gauche prend la défense de Marine Le Pen, n’hésitant pas a affirmer « On ne peut pas continuer à dire que Marine Le Pen est un danger pour la démocratie ».
Le Philosophe machiavélique a même ajouté « Ça me paraît évident que Marine Le Pen n’est pas d’extrême-droite », Est-il un suppôt de Zemmour envoyé pour piquer des voies au RN ?
Non rassurez-vous, lui le Gaulliste de toujours ne peut pas s’acoquiner avec un vrai combattant d’extrême droite, n’a-t-il pas déclaré au sujet d’Eric Zemmour « Le projet politique de Zemmour n’est pas un projet Gaulliste. Il n’est pas le RPR des années 1970, il est le Front national des années 1970 ».
En 1972 il y avait entre Le Pen et De Gaulle la guerre d’Algérie et la trahison des Français. Assurément Zemmour ne peut pas être Gaulliste.
En 1978 , Le Pen visionnaire déclarait « Lorsque les Français sont revenus d’Algérie, les tueurs du FLN se sont accrochés à leurs pas. Ils font partie de cette masse de travailleurs immigrés qui prennent les emplois de nos jeunes. (…) Je vous invite à voter Front national au premier tour et refuser de soutenir les bradeurs de l’Algérie et les dirigeants de notre pays qui se dirigent vers un régime socialiste ». L’affiche « Les Français d’abord « 1 000 000 de chômeurs c’est 1 000 000 d’immigrés en trop » Le 12 mars 1978 Votez pour les défenseurs des travailleurs français Front national » surplombe l’estrade. Quelques jours plus tard, lors d’un rassemblement à Vendargues (Hérault), l’ancien député poujadiste donne deux consignes : interdire l’entrée en masse des étrangers et « faire des enfants avant que des étrangers ne viennent les faire dans les ventres de nos femmes ». Et de poursuivre : « Il y a actuellement cinq millions d’étrangers en France ( le chiffre n’a toujours pas changé depuis 1978 ) et les Algériens entre autres représentent les effectifs de mille cinq cents bataillons. Ils sont encadrés par un parti politique étranger, le FLN, camouflé sous le signe de l’Amicale des Algériens en France. Et cela représente un réel danger en cas de conflit. Sur le plan social on en arrive en France à cette situation paradoxale où le travailleur étranger est mieux traité qu’un travailleur français. Et peut-être qu’un jour, il se verra en France des réserves écologistes où seront parqués les vrais Français et les visiteurs étrangers diront entre eux : « Regardez, c’est comme ça qu’ils étaient les Gaulois »
La mutation de Onfray a commencé dans les années 2010, En 2014 la publication La Revue du Projet, réunissant le PCF, le Front de Gauche et la Gauche Européenne écrivait : difficile de ne pas voir que le discours Onfray résonne maintenant très favorablement aux oreilles de l’extrême droite. Ainsi, les attaques récurrentes du philosophe contre la religion musulmane et les musulmans lui valent désormais la sympathie des groupuscules satellites du FN comme Riposte laïque. Célèbres pour avoir organisé les « apéros saucisson-pinard », les membres de cette secte raciste se posent la question sur leur site : « Michel Onfray serait-il une taupe de Riposte laïque ? ». Il faut dire qu’en plus de propos d’une rare violence contre l’islam, on trouve dans la bouche du « révolté » autoproclamé des sorties pour le moins flatteuses vis-à-vis de la présidente du Front national : « Si la gauche était moins conne, elle aurait le discours de Marine Le Pen sur la laïcité » http://projet.pcf.fr/49193 .
En 2021 Michel Onfray, revendique sa différence avec Zémmour, étant un « gaulliste de gauche », il assure partager le même diagnostic qu’Éric Zemmour, mais pas les mêmes solutions. « Vous trouvez que cela se passe bien dans les écoles, dans les banlieues, dans les hôpitaux, dans la police, dans les universités, dans les médias ? », demande le philosophe, à l’instar du polémiste. « Moi, je crois que la civilisation s’effondre, lui aussi. Mais il y a une différence majeure : lui pense que l’islam est une menace pour la civilisation, moi je pense qu’il n’y a pas de menace quand la civilisation est déjà en train de disparaître. La vraie menace pour notre civilisation, c’est le transhumanisme, pas l’islam. » En ce sens, il s’oppose aux solutions prônées par le potentiel candidat à l’Élysée. « Je défends le voile, le fait d’avoir des prénoms étrangers, je ne pense pas que l’islam soit l’islamisme… », énumère Michel Onfray, en référence aux propositions d’Éric Zemmour. « Dire qu’on ne peut pas vous assimiler parce que votre prénom n’est pas français n’a aucun sens. Et pour le voile, c’est la même chose. »
Ce qui est absolument certain, Onfray n’est pas Zemmour , il déclarait dans l’EXPRESS du 2/06/2020 : « Je suis pour un inévitable métissage, mais décidé et voulu par la Nation »
J’ai eu le sentiment en faisant des recherches pour cet article que Onfray n’a pas encore totalement arrêté sa pensée de gauche, ne pouvant totalement assimiler ses réflexions à celles d’extrêmes droite, un peu comme un De Gaulle qui se disait ni droite ni gauche.
De Gaulle c’est l’homme du «Je vous ai compris» : un chef-d’oeuvre d’ambiguïté, Portées par l’émotion du moment, les deux communautés ne se rendent pas compte que le général, en fin stratège, donne aux deux parties ce qu’elles veulent entendre : « Je vous ai compris, je soutiens l’Algérie française » pour les uns. Ou, « Je vous ai compris, je soutiens l’indépendance algérienne » pour les autres.
Une liberté qui le mènera finalement à choisir l’autodétermination de l’Algérie. « Je vous ai compris » résonne alors comme une trahison pour les partisans de l’Algérie française.
Le 4 juin 1958 De Gaulle s’adresse aux «10 millions de Français d’Algérie», Européens et musulmans confondus, c’est bien qu’il entend y maintenir la souveraineté française.. La conviction des pieds-noirs se renforce lorsque, le 6 juin, De Gaulle proclame à Oran que «La France est ici, avec sa vocation. Elle est ici pour toujours». Elle atteint son comble lorsque le même jour, au balcon de l’hôtel de ville de Mostaganem, il ponctue son discours d’un «Vive l’Algérie française!» devant une foule en majorité musulmane.
Quinze mois après le discours d’Alger, l’annonce de l’autodétermination fait l’effet d’une trahison pour les pieds-noirs.
L’ambiguïté vient ensuite. Le 13 juillet suivant, De Gaulle promet en effet une «place de choix» pour l’Algérie dans la fédération baptisée «Communauté», qui doit remplacer l’Union française. Le 3 octobre, il parle de «personnalité propre» d’une Algérie cette fois associée à la France. L’équivoque se dissipe brutalement en 1959 lorsque, désormais président de la République, il proclame, le 16 septembre, le droit des Algériens à l’autodétermination. Quinze mois après le discours d’Alger, l’annonce fait l’effet d’une trahison pour les pieds-noirs. Les événements ultérieurs ne laisseront plus de place au doute sur les intentions de De Gaulle. Le 14 juin 1960, il dévoile sa préférence explicite pour une «Algérie algérienne», puis le 4 novembre suivant, pour une «République algérienne».
Que cachait donc le «Je vous ai compris» du 4 juin 1958? La possibilité d’un double jeu. Les propos distillés en privé par l’intéressé avaient pourtant le mérite de la limpidité. Si l’on en croit ses Mémoires d’espoir, sa position était faite depuis longtemps: «De tout temps, avant que je revienne au pouvoir et lorsque j’y suis revenu (1958), après avoir étudié le problème, j’ai toujours su et décidé qu’il faudrait donner à l’Algérie son indépendance».
Pour livrer les pieds noirs et harkis au FLN, 26 mars 1962 : De Gaulle ordonne d’assassiner des Français,, Le massacre de la rue d’Isly fera une centaine de morts et de plus de 200 blessés. d’après un rapport militaire, L’objectif de cette manœuvre, était la fracture totale entre les Français d’Algérie et l’armée métropolitaine, promise dorénavant au service de l’ALN. De Gaulle avait atteint son but.
En mai 68, De Gaulle lançait à Pompidou une phrase qui résumait toute sa carrière : « Mais, Pompidou, figurez-vous que j’ai passé ma vie à tirer contre des Français « (Rapporté par Edouard Balladur )
Ce même mois de mai 68, voici le témoignage et l’aveu de CHRISTIAN FOUCHET le 28 octobre 1969 :
J’en ai voulu au général de m’avoir limogé au lendemain de mai 1968. C’était une faute politique. De GAULLE m’a reproché de ne pas avoir maintenu l’ordre en mai 68.
« Vous n’avez pas osé tirer », m’a-t-il dit.
« J’aurais osé s’il l’avait fallu » – lui ai-je répondu – « Souvenez-vous de l’Algérie et de la rue d’Isly. Là j’ai osé et je ne le regrette pas parce qu’il fallait montrer que l’armée n’était pas complice de la population algéroise. »
Jean Mauriac « L’Après De Gaulle – notes confidentielles 1969/1989 – page 41
Notes publiées par notre estimé Manuel Gomez le 25 mars 2019 dans ; Le jour où De Gaulle ordonne d’assassiner des Français.
Les Pieds Noirs qui ont fui l’Algérie avec une valise et parfois un cercueil ont été obligé de payer leur embarquement sur un bateau. Leur arrivée est généralement perçue négativement et leur accueil médiocre. Ainsi, le maire socialiste de Marseille, Gaston Defferre, déclare en juillet 1962 : « Qu’ils aillent se réadapter ailleurs ». L’organisation de leur rapatriement est plus ou moins chaotique. Un quart des biens débarqués est volé ou endommagé, notamment à l’initiative des dockers affiliés à la Confédération générale du travail (CGT) .
En 1962, 4 000 pieds noirs ont été enlevés, ils ont disparu condamnés à une mort lente d’épuisement et de mauvais traitements dans les mines algériennes. De Gaulle les a abandonnés, il a laissé au Comité international de la Croix-Rouge le soin de mener l’enquête sur place en 1963. On en est aux prémices de la coopération avec l’État algérien : les disparus sont une gêne dans les relations entre les deux États. Le problème est donc évacué.
Ce ne fut pas la seule trahison de De Gaule ; l’héritage secret du général De Gaulle.
Le traité qui lie depuis le 27 décembre 1968 la France à la République algérienne et institue pour ses ressortissants un système préférentiel de séjour et d’immigration. Ce traité est destiné à favoriser l’immigration de travailleurs algériens en France, celui-ci a institué en effet un titre de séjour qui leur est propre et qui n’a jamais été, à ce jour, remis en question.
Le pays a dès lors appris avec stupeur que les lois françaises successives sur l’immigration ne concernaient jamais les Algériens, alors même qu’ils constituent la première nationalité étrangère en France.
Les accords d’Évian encourageaient l’immigration
L’article 2 des dispositions générales de la Déclaration des garanties (« Sauf décision de justice, tout Algérien muni d’une carte d’identité est libre de circuler entre l’Algérie et la France »), et l’article 7 de la Déclaration relative à la coopération économique et financière, selon lequel « les ressortissants algériens résidant en France, et notamment les travailleurs, auront les mêmes droits que les nationaux français, à l’exception des droits politiques ». Notons, pour la petite histoire, que les articles 1 et 2 du texte soumis au référendum du 8 avril 1962 se sont référés « aux déclarations gouvernementales du 19 mars 1962 », alors que seule avait été communiquée aux électeurs la Déclaration générale du 19 mars 1962, à l’exclusion des deux autres textes. « Les électeurs français ont ainsi approuvé « des déclarations » dont, pour la plupart, ils n’avaient eu aucune connaissance ! » a, dès alors souligné le futur prix Nobel d’économie Maurice Allais (L’Algérie d’Évian, 1962).
Du 1er septembre 1962 au 11 novembre inclus, 91 744 entrées d’Algériens sont enregistrées en France. Au dernier trimestre de 1962, le nombre de ressortissants algériens aura augmenté de 10 % dans le seul département de la Seine et, à la migration temporaire, aura succédé, dans de nombreux cas, une migration définitive, les travailleurs, accompagnés de leurs familles souhaitant désormais s’établir définitivement en France.
Concrètement, la politique gaulliste refuse ainsi l’entrée en France à ceux qui ont pris les armes pour la défendre au profit de ceux qui ont été ses ennemis, mais qui se sont disputé le pouvoir lors de l’indépendance ; l’exode des pieds-noirs en cache un autre, qui va s’étaler dans le temps et atteindre des proportions considérables.
Concrètement, la politique gaulliste refuse ainsi l’entrée en France à ceux qui ont pris les armes pour la défendre (OAS) au profit de ceux qui ont été ses ennemis, mais qui se sont disputé le pouvoir lors de l’indépendance ; l’exode des pieds-noirs en cache un autre, qui va s’étaler dans le temps et atteindre des proportions considérables.
De l’indépendance au départ du général De Gaulle du pouvoir, (1969) la France va aider l’Algérie communisante procédant au massacre de nos supplétifs et de nos ressortissants, Cette aide atteindra la somme globale de 22.306 millions de dollars ! Sans compter la mise à disposition dès 1963 de quelque 100.000 fonctionnaires français (dont 76.000 au titre de la coopération technique et 25 000 au titre de la coopération culturelle) payés à hauteur de 60 % par Paris
En 1965, il y aura encore 300 médecins civils et militaires français en poste en Algérie.
Dans le cadre des accords d’Évian, « l’aide financière privilégiée à l’Algérie » doit s’interrompre en 1965, mais malgré l’ampleur du contentieux, Boumediene, qui a renversé Ben Bella le 19 juin 1965, obtient une rallonge de 2,65 milliards le 28 juillet suivant. Une aide, révèle Ageron, que le gouvernement français s’abstient de faire connaître à l’opinion publique, et qui s’accompagne d’un accord qui contraint la France à acheter un pétrole plus cher et l’oblige à fournir des crédits considérables.
La lettre du traité sera en outre largement dépassée par son application : au cours des trois années suivantes, 1969, 1970 et 1971, ce sont 127.000 nouveaux Algériens qui viendront s’installer en France. Soit 20 % de plus qu’il n’était prévu en 1968, sans compter l’immigration clandestine. Au départ de De Gaulle, le nombre des Algériens installés en France avoisinera (familles comprises) le million d’individus.
Toutes les infamies qu’a pu commettre sont dans cet article trop long pour tout résumer, je vous en ai résumé l’essentiel,
Si vous regardez Onfray, pensez qu’il est Gaulliste, celui qui est à l’origine de l’immigration et par conséquence pour une part de la ruine de la France.
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Personne ne réussit à le récupérer ?
Ou alors, vous n’aimez pas ce que je pense de M.Onfray ?
Bonjour,
Bien sûr que non !
J’ai cherché dans la corbeille : il n’y a rien de vous.
Si vous pouvez nous redonner la substance de votre commentaire …
(Le modérateur).
Bonjour Antiislam,
merci de me répondre, car depuis ce matin, c’est le silence ….de la part des autres.
Pour Onfray, ce n’est pas grave, je ne vais pas reprendre, je ne retrouverai pas ce que j’ai écrit.
Mais j’ai un autre commentaire sur un autre article. « quel avenir pour Israël », même problème, ça coince…
Le robot fait des siennes le dimanche et quelques fois la nuit.
Bonjour,
Non, je ne le retrouve pas non plus.
(Le modérateur).
Bon.. que dire ? ça n’incite pas à écrire de nouveaux commentaires.
Bonne soirée et merci.
J’ai déposé un commentaire ce matin, sur cet article.
Quelqu’un aurait-il l’amabilité de le récupérer dans la poubelle ?
Merci.
Bloqué ?
Il est sûrement plus de chez nous Michel Onfray qui est un philosophe de talent au passage , qu’un Dieudonné qui n’a aucun talent.
L’article est excellent. Je suis comme Onfray que j’écoute souvent. C’est un philosophe et il fait de la politique donc il analyse. Il ne peut avoir le discours d’un homme uniquement politique. Par-contre, pardonnez-moi ce bémol mais la fin de l’article sur la guerre d’Algérie, on connaît et on nous la ressort trop souvent. Ça fait 60 ans. Il serait temps de regarder devant en gardant un œil sur notre passé certes, mais avancer. La nostalgie et les mises en accusation 60 ans après c’est regarder le passé avec les yeux d’aujourd’hui.
Hé oui, évitons de ressasser cette fin tragique tant la honte est grande!..Nozélites ne ressentiront pourtant aucune gêne à commémorer de nouveau ce jour de honte du 19 mars 1962, date de la signature d’une capitulation sans défaite assortie d’un cessez le feu unilatéral après lequel il y eu bien plus de victimes côté français PN et Harkis qu’entre le 1/11/1954 et ce 19 mars. Patientez encore un peu et bientôt nul survivant ne viendra vous agacer avec cette sempiternelle « nostalgie »…
Michel Onfray est un philosophe certes de gauche, mais OBJECTIF et qui aime le peu qu’il reste de son pays. Donc, un homme normal, un Français normal.
Il est difficile de situer MOnfray politiquement pour des auditeurs lambda par rapport à ses discours. Il n’est pas sympathique et se présente toujours d’une façon personnelle non conventionnelle. Il est difficile aussi de suivre sa pensée, sa logorrhée, car il parle trop vite. Il a maintes et maintes fois « taclé » MLP. Nonobstant, on adhère à son discours anti Macron. On ne saura jamais pour qui il vote, un peu comme les fatigantes girouettes Ménard. https://actu.orange.fr/videos/societe/michel-onfray-tacle-sechement-marine-le-pen-CNT000001tKtjf.html?pid=5i0B%2FADgCrBPmoqj7BmCHQ%3D%3D
Encore cette nostalgie de l’Algérie heureuse avec un régime à deux vitesses . Pour les pieds noirs le seul avenir était celui de de l’Afrique du Sud actuelle ou le départ. Douloureux certes mais inévitable. Facile à comprendre il y avait en 1965 encore 300 médecins français en Algérie, la France actuellement compte certainement plus de 3.000 médecins d’origine algérienne .
Vous nous parlez de mai 1958 et vous oubliez de parler de mai 1968 le fameux début de la métamorphose.