L’embryon à deux mois de grossesse
Alors que la loi sur l’avortement a été « constitutionnalisée » lundi, qui sait que cette loi contredit une autre loi qui considère comme une « personne » tout foetus dès la première fraction de seconde de la fécondation ? Dès que le « tout » génétique est réuni dans le but de constituer un être humain !
Non, pas simplement à partir de la 14e semaine ! Non, dès la rencontre entre le spermatozoïde et l’ovule ! Donc dès la première fraction de seconde de la fécondation ! Dès que le « tout » génétique est réuni dans le but de constituer un être humain ! Non comme un FUTUR être humain mais comme un NOUVEL être humain ! D’autant que son capital génétique est, dès cet instant-là, unique puisqu’il ne sera pas à 100% identique ne serait-ce qu’à un seul autre être de notre lignée animale ! Que ce soit parmi ceux disparus depuis des centaines de milliers d’années ou parmi les 8 milliards d’autres actuellement sur Terre !
Et cette loi qui reconnaît l’enfant en tant que « personne à part entière » donc même bien avant que sa mère et, qui plus est, son père, le… sachent, sert surtout lors des successions pour déterminer les ayants droits quand sont constitués les dossiers soumis aux notaires.
C’est d’ailleurs un grand clerc de notaire, Carole M., qui m’a documenté sur ce sujet et confirmé l’existence de cette loi favorisant l’enfant à naître tout au long de ses -en général- 9 mois de grossesse.
Voici donc cet article de loi 311 -tiré du chapitre Ier : Dispositions générales (Articles 310-1 à 311-24-1) Section 1 : Des preuves et présomptions-
Article qui considère donc l’enfant à naître dès l’union des gamètes de la maman et du papa, ces gamètes possédant chacune la moitié des chromosomes des autres cellules de chacun des deux « donneurs » :
« Article 311 : La loi présume que l’enfant a été conçu pendant la période qui s’étend du trois centième au cent quatre-vingtième jour, inclusivement, avant la date de la naissance. »
Donc les notaires estiment que la personne dont ils étudient le dossier a acquis ses droits d’être humain dès cette période de conception à savoir entre le 300e jour et le 180e jour avant la date officielle de la naissance. Ainsi, j’ai pu estimer à quelle période (…notariale !) j’ai été conçu (voir : 1).
Le grand clerc Carole M. m’a précisé :
« La conception est présumée avoir eu lieu à un moment quelconque de cette période, suivant ce qui est demandé dans l’intérêt de l’enfant. La preuve contraire est recevable pour combattre ces présomptions. »
Il y a « présomption en matière de filiation pour justifier la filiation d’un enfant avec son père notamment si le père est décédé sans reconnaissance avant la naissance de l’enfant pour éviter la qualification d’enfant naturel. Auparavant, il y avait une différence entre enfant légitime (pendant le mariage, enfant du couple), enfant naturel (hors mariage) et enfant adultérin (enfant né d’une relation adultérine). »
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Repris par les Rois qui se sont succédé à la tête de notre pays, cet adage nous vient des Romains, comme nous le révèle Carole M. :
« Cet adage latin est tiré de l’expression « infans conceptus pro nato habetur quoties de comodo ejus agitur » dont la traduction est « L’enfant conçu sera considéré comme né chaque fois qu’il pourra en tirer avantage ».
« Mais, ajoute le grand clerc, l’enfant a la personnalité juridique s’il est né vivant et viable : séparé de la mère quelques instants à la naissance, la jurisprudence n’a jamais jusqu’à présent donné la personnalité juridique à un foetus. »
Alors que nombreux sont ceux -mères et pères- qui, comme moi -vous le savez-, sont d’accord sur le fait que ce foetus « vit » dans le ventre de sa mère…
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Mais la loi ne reconnaît pas comme « personne » les enfants morts-nés, alors que certains magistrats y sont favorables tels Georges Fenech, ancien magistrat, chroniqueur à CNews :
Suite à l’affaire Palmade dont le procureur a reconnu comme « vivant » le bébé mort dans l’accident (voir RR de mardi : Et si, grâce à l’affaire Palmade, les foetus étaient enfin considérés comme des êtres humains ?) il a raconté mardi dernier qu’il avait, lui-même, tenté un jour d’inculper une personne après la mort de l’enfant d’une femme enceinte et qu’il souhaitait un changement de la législation (vidéo CNews :
https://twitter.com/CNEWS/status/1764938488560976232? Voir les articles consacrés à ce sujet ici
Donc, lorsque l’on pense qu’on nous répète à tout va : « Nul n’est censé ignorer la loi ». Ce qui nous fait « obligation de connaître et respecter les lois » et donc permet à l’institution judiciaire de nous opposer des lois que nous ne connaissons pas. D’ailleurs qui, en France, connaît 100% des lois ? Même le magistrat le plus haut placé dans cette chaîne judiciaire, et encore moins le président de la République qui pourtant chapeaute tout, à un point tel qu’il est le seul Français, lui, à ne pas craindre d’être poursuivi par la justice tant que cela concerne son poste. Puis-je dire, dans ce cas, que c’est un irresponsable ?
Donc que, moi, « je ne sois pas censé ignorer la loi », je l’admets, cela fait partie du jeu…
Mais que nos parlementaires fassent des doublons incompatibles l’un vis-à-vis de l’autre, pouvons-nous l’admettre ?
Comment une de leurs lois estime que le foetus n’est qu’un fétu ! -le mot « fétu » remonte au XIIe siècle et vient du latin populaire « festucum, festuca » signifiant « brin de paille » Alors que les notaires, eux, chaque jour, déterminent que la personne à naître existe depuis la fécondation, les parlementaires votent une loi qui ne considère qu’un enfant n’a le droit de faire partie de notre humanité -qu’elle est belle, dans ce cas… l’humanité !- seulement s’il respire après être sorti -naturellement ou par opération chirurgicale- des entrailles de sa maman ! Sinon ce n’est, pour ces parlementaires et trop de monde, qu’un déchet qui, oui, cela arrive, est rejeté afin d’être détruit parmi les déchets humains allant de la jambe d’un accidenté de la route à la peau d’une dame s’étant fait retendre le visage en passant par des parties d’intestins ou de poumons… Quand même en conservant le droit à l’IVG -terme que je préfère à avortement !
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Oui, quand nos parlementaires admettront-ils le respect à avoir envers tous ces petits humains, NOS petits humains de France mais aussi d’Europe, d’Amérique, d’Asie, d’Afrique, d’Océanie, même ceux qui ne connaîtront jamais une vie complète sur Terre ?
Comme l’explique le site Cairn.Info :
« Aux yeux de la loi française, il ne suffit pas à un enfant de naître pour exister. Actuellement encore, un grand nombre des nouveau-nés de notre pays (plus de 30 %) n’ont pas d’existence juridique ni administrative. » À peine croyable ! 3 naissances sur 10 sont effacées administrativement parlant même pour des enfants ayant été portés et donc choyés, aimés par leur MAMAN pendant 6, 7, 8 mois voire plus !!!
Et ce site rapporte la détresse d’une « non mère »:
« J’ai envie de dire : qui est-on après un tel drame ? Je suis une maman, sans en être une vraiment, et je ne suis pas une maman, tout en étant une quand même. Je me sens amputée “de ce que j’étais avec cet enfant”», se désole la Maman de Louis, mort-né à 5 mois 3/4 de grossesse.
https://www.cairn.info/revue-etudes-sur-la-mort-2001-1-page-77.htm
Où est la loi en faveur d’une telle « non mère » ?
L’avortement a été constitutionnalisé, ok, mais pourquoi ne pas constitutionnaliser une loi, elle, EN FAVEUR DE LA VIE ?
En France, les féministes se réjouissent du fait que l’on donne droit à des femmes de ne pas être mères…
-et je n’irai pas m’opposer à ces IVG puisque c’est la loi mais je n’irai pas, non plus, me réjouir de leur entrée « triomphale » dans notre Constitution- en revanche, quasiment rien n’est inscrit dans les lois pour atténuer le malheur de celles qui perdent leur enfant qu’elles choyaient et aimaient déjà et que la loi efface, sans aucune émotion, même de leur livret de famille !
Sans oublier celles qui veulent un enfant mais que personne, ni l’État, ni les associations prétendument féministes, n’aide dans leurs démarches en vue d’une insémination artificielle…
Ces mères ayant perdu leur enfant ou ces femmes souhaitant l’être ne sont pas dans le vent de l’Histoire du XXIe siècle ! « Tant pis pour elles », penseront les bien pensantes plus favorables à la destruction qu’à la… renaissance -pas le parti politique puisque lui est pour l’avortement et non pour une politique en faveur des naissances.
Parlementaires, quand allez-vous penser à ces femmes voulant être heureuses d’avoir un enfant autant et aussi efficacement que vous vous êtes précipités dans l’aide aux partisanes de l’élimination des leurs ?
Jacques MARTINEZ, journaliste, à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
–(1) Si, du moins, mes calculs sont exacts, étant né le 3 janvier 1946, j’ai dû être conçu entre le 10 mars et le 7 juillet 1945 ! Donc en plein dans la période…
-plutôt festive ! Ce qui explique peut-être mon arrivée, exemple même du « boomer »- de la fin de la Seconde Guerre Mondiale 39-45 au cours de laquelle, mon père était, de 22 à 28 ans, dans les Forces Françaises Libres en Angleterre avec de Gaulle, dans l’aviation française bombardant l’Allemagne, et ma mère, près d’Alger, de… 16 à 21 ans (mariée à 16 ans avec une dispense acceptée en raison de la guerre). Ils ont dû fêter comme il se doit, cette Paix si longtemps attendue et donc…
…je suis né le 3 janvier 1946 dans la banlieue d’Alger, au domicile familial, né sur… et cela ne s’invente pas : pour absorber la perte des eaux de ma maman, mon papa s’était précipité dans la rue acheter tous les journaux du jour à un petit vendeur à la criée et je suis donc né sur des… journaux, des unes de quotidiens ! Heureusement qu’à l’époque, il n’y avait pas encore d’ordinateur. L’arrivée aurait été bien moins agréable ! J’ai tenté de retrouver les unes des journaux publiés ce jour-là à Alger mais ne les ai pas trouvés. Je suis né au moment où la sirène de l’usine proche sonnait le début de la journée de travail, à 8h tapantes, alors que, toute ma vie, je me suis plus souvent couché que levé à cette heure-là… Allez prévoir ce que sera le… destin d’une vie !
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C’est faux, l’enfant n’est pas reconnu dès la fécondation car « infans conceptus » est une fiction juridique autrement dit une béquille pour justifier seulement certaines solutions de droit.
Petite remarque en passant au sujet de : » sa mère et, qui plus est, son père,… ». Il y a confusion entre le père et le géniteur. Beaucoup d’enfants dits « bâtards » ont un géniteur différend de leur père.
Merci pour cette longue réflexion et mise au point.
apparemment ON préfère discutaillonner sur LE SEXE DES ANGES alors que le cité (FRANCE) est assiegée … POINTS de droit,notariat, fric..MINABLE! Voyons plutot: Rassemblement NATIO je dis bien:N A T I O nal!! le lieu OU l’on N A I T ! D’accord? Qu’un J O R D A N B .Défende en larges déclarations l’euthanasie des bébés,c’est illogique ET diabolique J’espère bien(hélas que nos bons cathos au sortir de la messe (jour électoral)ne vont pas veauter R N .Lucifer vous guette..
Vous mélangez tout ! cet article 311 fixe juste la situation des biens dont l’enfant pourra hériter plus tard après sa naissance mais l’existence juridique de l’enfant né vivant et viable date de l’instant de sa naissance.
Votre formulation est soit osée, soit de mauvaise foi.
Dans l’exemple que j’avais donné, j’avais parlé d’enfant né viable, et bien évidemment c’est la condition pour qu’il ait des droits. Il acquiert, dès sa conception des droits sous la condition de naître viable. S’il ne naît pas ou vient « mort-né », sa mère héritera de son mari. S’il nait et meurt quelques jours après sa naissance, il aura hérité et sa mère héritera de lui. Bien évidemment s’il naît et ce qui est quand même le cas général, sa mère administrera son matrimoine jusqu’à majorité (et en gardera même l’usufruit jusqu’à son propre décès).
Mais, se servir d’une loi dite de liberté pour retirer à l’être le plus faible ses droits personnels est pour le moins choquant. La mère, dans des cas marginaux, pouvant être amenée à avoir recours à cet acte uniquement par son désir d’hériter.
BARDE-hé-là ! HELA-Barde ! Moi qui croyait,à voir votre superbe que vous étiez un futur viable,pour la cause de la famille,la cause française,vous agitez haut et fort la cause de l’assassinat des enfants (Si -Si informez-vous),pour des raisons èlectorales!! Comme »savonnette à vilain »(chercher signification)vous auriez pu trouver autre chose!Vous voudriez,ensuite qu’ona aille VEAUTER RN! DOMINE adventum me festina….
Constitutionnaliser l’IVG a fait plaisir à nos prétendues zélites…Je crois qu’actuellent Gaby concocte quelque chose pour honorer l’homosexualité…Why not? En tout cas, merci pour l’anecdote autour de ta naissance : langé dans des papiers journaux…Pas mal pour un futur journaliste!
Non, pas « fécondation » terme stupide et débile qui ne rend pas justice à l’importance primordiale de l’ovule dans le mécanisme de reproduction mais CONCEPTION lorsque les deux noyaux fusionnent dans le tabernacle maternel.
L’ovule,joue son rôle,dès lors,qu’il est fécondité par le spermatozoïde. C’est à ce stade que se produit la première division cellulaire. L’ovule est porteur,du seul chromosome X;alors que le spermatozoïde,est porteur,soit du chromosome X,ou du chromosome Y. Si la fécondation de l’ovule se fait par un spermatozoïde,porteur du chromosome X,l’enfant sera une fille;et si l’ovule est fécondé par un spermatozoïde,porteur du chromosome Y,l’enfant sera un garçon.
Le spermatozoïde ne peut exister que si l’ovule ouvre la porte (image) et permet à son noyau personnel de fusionner avec lui afin d’assurer la conception. C’est une interaction dans laquelle le spermatozoïde n’a pas la primauté. C’est l’ovule qui décide point barre. Chez les oiseaux par exemple c’est la femelle qui est WZ et le mâle W … Mais bon j’arrête là.
Oui,en effet,je vois que votre frustration,est très grande,et j’en suis désolé. Mais qui donc,d’après vous,peut bien concevoir le spermatozoïde,si ce n’est l’homme.? Par ailleurs,l’ovule ne se déplace pas,et c’est le spermatozoïde,qui se déplace,pour aller ensuite,s’introduire dans l’ovule,afin de le féconder. L’ovule ne décide rien,et reste immobile. Ce n’est qu’une fois qu’il a été fécondé par le spermatozoïde,que tout se met en marche,pour former ensuite,un être vivant,pouvant se mouvoir de lui-même. Par ailleurs,c’est aussi le spermatozoïde,qui détermine le sexe de l’enfant. Pour ma part,je n’ai pas besoin de vous dire, »point barre »,car je n’ai aucun doute,concernant cette réalité,qui semble vous rendre très agressive. Mais je comprends votre frustration…
Philippe erreur L ovule décide et choisit le spermatozoide Et ce n est pas forcément le premier arrivé Pourquoi ? en theorie c est le premier arrivé le plus fort, donc le meilleur reproducteur or l ovule peut le refuser, apparemment il détecte une anomalie Les scientifiques cherchent encore De même il y a une période + longue dans le cycle qui privilégie les filles, celle pour avoir des garçons est plus courte, il faut tjrs un peu plus de féminin dans une espèce pour la sauvegarder dans la durée
J’ai fait et donné la vie et vécu en symbiose avec le fruit de mes entrailles. Côté frustration vous repasserez car vous par contre vous ne connaîtrez jamais l’immense bonheur que procure le pouvoir de donner la vie que vous n’avez pas et que vous n’aurez jamais. Vos connaissances en biologie de la reproduction datent d’une période antédiluvienne qui font franchement rigoler les scientifiques.
« Donner la vie »,c’est féconder l’ovule. Il ne faut pas confondre avec, »donner naissance ». S’il n’y a pas la cellule fécondante,et reproductrice de l’homme,dans votre soit-disant tabernacle maternel,alors il ne s’agit que d’une boîte vide. Inutile de me répondre,car je ne reviendrai pas sur cette page,pour prendre connaissance,de vos nouvelles ânneries;et d’ailleurs,je ne vais même plus utiliser ce pseudo,qui n’est pas mon prénom. Et pour finir;comme bien souvent,il aura fallu qu’un castré que je ne nomme pas,mais qui se reconnaîtra;vienne donner son avis sur ce sujet. Et quel avis,le pauvre..!
Personnellement,mon rôle,comme celui de tout homme,c’est de mettre la femme enceinte;ou de l’engrosser,si vous préférez. Je n’aimerais certainement pas m’encombrer,à porter l’enfant,durant neuf mois. Et puis,question esthétique..,bon;bref..!
Donc, dans le cas de bébés, la loi badinter contre la peine de mort ne s’applique pas.
La panot peut être fière d’elle.
Votre propos me rappelle une conversation il y a une trentaine d’années.
J’avais en face de moi un client avec lequel nous avons librement débattu.
Lui, membre de l’ancienne alliance et moi de la nouvelle.
Mon propos qui l’avait surpris et auquel il avait adhéré : L’Ivg peut, dans certains cas limites, être considéré comme un meurtre avec préméditation (et intérêt à agir).
L’exemple :
Une femme est enceinte depuis quelques jours de son premier enfant (enfant qui est aussi le premier enfant de son mari) .
Son mari, disons riche, n’a donc pas d’enfants nés lors de son décès.
Ses parents sont décédés, et il était fils unique.
Il meurt brutalement dans un accident et c’est quelques jours après que l’épouse découvre son état.
Si l’enfant naît viable, il héritera.
Si l’enfant ne naît jamais, c’est l’épouse qui héritera.
Dans ce cas, c’est triste à dire, la veuve qui a le droit de disposer de son corps, comme disent certains, peut après réflexion décider de devenir seule héritière. Nous sommes bien dans un cas où, au delà de tout problème de santé, « l’intérêt à agir » côtoie le meurtre avec préméditation.
Je ne comprends pas les « parents » qui préfèrent l’argent à leurs enfants. Toute la pensée égoïste du « jouir sans entrave » au lieu de préparer l’avenir. Quelle déchéance.
La Vie est sacrée du plus petit enfant jusqu’à la personne trés agée.De la même manière ils font des lois de « fin de vie » et pour « euthanasier ».C’est criminel.Ils laissent entrer des migrants qui ne sont pas des réfugiés.On s’occupe.d’abord des NÖTRES……..
Comme je le disais dans un autre post, on sort tellement de lois qu’ elles entrent en contradiction les unes avec les autres! Cela fait la fortune des avocats et explique ainsi pourquoi les poursuites n’aboutissent pas.
Depuis la loi Veil, bientôt quarante ans, 200 000 actes par an, environ 8 à 10 millions de futurs petits Français envoyés à l’incinérateur ou à l’équarrissage. Et on reproche aux Français de ne plus faire d’enfants et on importe des futurs géniteurs et génitrices. Ce monde marche sur la tête. On aurait pu favoriser l’adoption des enfants non-désirés par exemple. Ma femme et moi avons essayé d’adopter. Nous travaillons dans un centre pour personnes déficientes mentales. On nous a fait comprendre que ce serait peut-être préjudiciable pour le développement de l’enfant. Par contre, certains abandonnent les leurs dès la naissance dans une poubelle ou au congélateur. Ça me met en colère.