Il paraîtrait que des dizaines de jeunes, nés dans notre pays et possédant la double nationalité quitteraient la France afin de s’installer en Algérie. Cette jeunesse de jeunes immigrés solliciterait les deux principaux organismes officiels de soutien aux microentreprises, l’ANSEJ (Agence nationale de soutien à l’emploi des Jeunes) et la CNAC (Caisse Nationale de l’Assurance Chômage) afin d’obtenir un financement et pouvoir ainsi réaliser leurs projets d’installation en Algérie.
Le ministre algérien du Travail estimerait leur nombre à une soixantaine chaque année (50 dans le cadre du dispositif ANSEJ, réservé aux moins de 35 ans, et 10 pris en charge par la CNAC, pour les 35/50 ans).
Il s’agit bien entendu d’une goutte d’eau, vu le nombre total des créations de microentreprises : 370.000 pour la seule ANSEJ, mais n’est-ce pas avec une première goutte d’eau que l’on remplit une baignoire, puis une piscine ?
Les autorités algériennes ne désespèrent pas de voir ce robinet s’ouvrir davantage et, pour cela, ce même ministère annonce de nouvelles mesures destinées à faciliter ces créations.
Le premier ministre a déclaré vouloir accélérer ce processus en accordant davantage de facilités aux Algériens établis à l’étranger car, jusqu’à présent, le parcours était semé d’embuches.
Il a été décidé de supprimer notamment le document attestant la situation de chômage, d’ouvrir des agences bancaires afin de faciliter les transferts des sommes exigées comme apport personnel et, surtout, la possibilité d’effectuer directement toutes les démarches en ligne, via un portail dédié à cet effet.
Toutes ces décisions prises pour réduire au maximum « Les sempiternelles tracasseries administratives » qui, jusqu’à aujourd’hui, ont rebuté, paraît-il, de très nombreux candidats « au retour vers le pays ».
Si ce sont ces difficultés qui rebutent tous ces milliers de « volontaires », il est de nôtre devoir de les aider en les informant régulièrement et le plus souvent possible.
Le Salon de l’emploi d’Alger, organisé par les autorités pour permettre, justement, de mieux valoriser les différents dispositifs d’aide aux jeunes porteurs de projets, et une opportunité de mieux les faire connaître.
Ces mesures concernent les jeunes d’origine algérienne mais ne pourraient-elles pas être étendues à tous les jeunes immigrés des différents pays d’Afrique ?
Des centaines de millions d’euros sont détournés dans notre pays sans pratiquement le moindre contrôle et l’on peut se demander quel rôle jouent les fonctionnaires chargés de ce contrôle et qui justement ne contrôlent rien et paient : le font-ils par idéologie ou par ordre ?
Des dizaines de milliers d’Africains tentent, quelquefois au péril même de leur vie, de quitter leurs pays par tous les moyens pour pénétrer clandestinement sur le territoire français et échapper ainsi au marasme et à un avenir qui leur semble totalement bouché et même risqué, compte tenu de l’incertitude politique du lendemain et des risquent d’affrontement religieux ou ethniques qui se précisent, voilà que, dans le sens inverse, quelques Algériens, hélas fort peu nombreux, font le chemin contraire et il me semble nécessaire de les y aider de notre mieux et, pourquoi pas, d’accélérer, autant que faire se peut, ce mouvement original et de le proposer à tous les autres « jeunes » immigrés de l’Afrique.
Le président Emmanuel Macron, lors d’un tout récent discours concernant sa prochaine présidence de l’Union Européenne, avait annoncé « qu’il fallait absolument « aider » l’Afrique afin de tenter d’endiguer ce flux migratoire vers le « Paradis » européen. »
L’une des mesures qui seront prises ne pourrait-elle pas justement être prioritairement cette aide à l’installation « dans leurs pays d’origines » et cela afin de les inciter à y retourner ?
A la condition que ne soit pas organisée une nouvelle « fraude » et que les bénéficiaires ne soient pas de « retour » quelques semaines ou quelques mois plus tard !
Quelques exemples : Adil, diplômé d’une grande école de commerce française, né en France, âgé de 27 ans, a pris la décision, longuement réfléchie, de tenter sa chance dans le pays d’origine de ses parents. Il a quitté Bordeaux, qui est, paraît-il, la ville de France où il fait le « mieux vivre », pour créer une fabrique alimentaire à Tlemcen (Algérie). Adil estime que ce pays a une situation géographique, au carrefour de l’Europe et de l’Afrique, a un potentiel d’exportation très intéressant. (Ce n’est pas nous qui le contredirons, bien au contraire !)
C’est le cas également de Zakaria, 33 ans. Il n’est pas né en France mais à Tipaza (Algérie).
Ses parents avaient immigré dans les années 90, à cause de l’insécurité du pays. Zakaria a étudié le photovoltaïque et, quand il a découvert que son projet, situé à Cherchell, pouvait être presque entièrement financé, il a foncé malgré les tracasseries inhérentes à tout projet d’investissement. « A ma connaissance, affirme-t-il, aucun pays n’offre de telles facilités aux jeunes pour lever des fonds et créer des entreprises. »
Nous en sommes persuadés et souhaitons que nombre de jeunes suivent son exemple.
Le retour aux sources est souvent une motivation première, c’est le cas de Messaouda, 47 ans. Elle a décidé de retrouver le pays de son enfance. Elle a toujours eu la sensation d’être déracinée et, à présent, elle entend faire partager sa passion pour la plongée sous-marine en ouvrant une école à Tenès (Algérie).
Messaouda était installée à Nice, responsable des ressources humaines d’un groupe automobile. « Mon entourage avait peur pour moi, en tant que femme, peur que je ne sois pas libre. Je ne me suis jamais sentie aussi libre qu’ici ! ».
Voilà une affirmation qui devrait réconfortée les femmes « voilées » en France ; elles pourront vivre « sans voile » en Algérie, qu’elles se le disent !
Mais comment réagissent les Algériens ? « On rencontre parfois un rejet de la part de certaines personnes qui pensent qu’on vient « manger leur pain » (Tiens donc !). L’intégration n’est pas forcément facile, surtout si on ne maîtrise pas très bien la langue arabe par exemple. Même dans ce pays, que l’on considère comme le sien, des efforts pour réussir son intégration sont nécessaires car les mœurs et coutumes sont différentes. « Mais, surtout, il ne faut pas que cela décourage les « courageux », bien au contraire ! »
Tous partagent la même ambition : « prouver que l’on peut réussir dans son « propre pays d’origine ».
Nous sommes totalement de cet avis !
Leurs aventures méritent d’être connues et, nous l’espérons, suivies par de très nombreux jeunes, actuellement en France, et qui ne se sentent pas totalement intégrés, qui vivent mal leur jeunesse et n’aperçoivent aucun débouché, aucun avenir : aujourd’hui l’Algérie les attend et demain l’Afrique les espère…enfin « paraît-il »
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nul doute que devant les déclarations de guerre du paltoquet, les bi nationaux et « français de papier » vont vite retourner dans le pays que leurs parents n’auraient jamais dû quitter
Ah ! macron dixit : « paradis européen » pour ces migrants envahisseurs.
Mais pour nous, le paradis devient l’enfer.
*Qu’il aille en parler à Monsieur Daviet, le papa de Lola, qui vient de mourir de chagrin à 49 ans.
La maman de Timothy, égorgé à 18 ans, et tous les autres, dans ce pays que la caste à macron a rendu méconnaissable et prochainement invivable.
Quelles aides apportées à ce retour ? Je suis favorable qu’on leur paye leur retraite (peu importe leur âge) pour solde de tout compte. Tous les droits français s’arrêtent.
Bien entendu, la nationalité française est retirée.
Quand on compare les prévisipns pour l’Europe (famine et misere pour tous dit Klaus Scwab) à celles pour les BRICS ou le Grand Sud ou le Reste du Monde… ceux qui ont la possibilité de retrouner dans leur pays d’origine devraient le faire tant qu’il est encore temps… avant que les fous au pouvoir ne déclenchent la cata.
Si ces maghrébins « ne se sentent pas libres » en France, pourquoi y viennent-ils ?
Ils réussiront mieux là-bas qu’en France où une crise monétaire sévit de plus en plus et où la pauvreté s’installe. De plus, l’Algérie a besoin de se développer économiquement. Et franchement le climat méditerranéen n’est pas si mauvais que ça !
La preuve que quand on veut on peut avec ces jeunes qui partent ou repartent dans leur pays d’origine et réussissent, que d’autres suivent leurs exemples .
Que tout FDS donne 1€ pour qu’ils reviennent chez eux . Par-contre il faut bloquer tout retour et toute immigration algérienne en compensation. J’aime les muzzs…chez eux.
Les femmes arabes refusent d’être soignées par des medecins français,nous françaises on refuse d’être soignées par des medecins arabes .REMIGRATION
Des milliers de médecins algériens formés en Algérie se trouvent en France et c’est à eux que la France a fait appel pour ouvrir des cabinets dans les déserts ruraux français. On serait bien contents que vous formuliez le même souhait pour eux aussi.
En effet l’Algérie devrait récupérer tous ses médecins et tous les autres moins diplômés pour qu’ils deviennent des chances non pas pour la France mais pour l’Algérie qui en a grandement besoin. La France devrait faire appel aux asiatiques pour combler ses besoins. Cette population asiatique à fort potentiel, sereine et apaisée, ne demande que cela.
… »formés » en nalgérie ? Ben voyons ! Qu’ils y retournent et vite. On se passera d’eux !
N’empêche que les autorités françaises n’ont pas dit non à l’installation des médecins algériens dans les déserts médicaux au grand dam de l’Algérie qui se retrouve à former pour la France.
Bien sur, pour riposter, vous allez remettre en question leurs compétences mais c’est un air connu de votre part.
@Karim lipoun. Ils sont tellement bien formés qu’on veut qu’ils restent en Algérie. On a le soucis que les algériens soient bien soignés chez eux avec des médecins hommes pour les hommes, femmes pour les femmes (voilées bien sûr). Vous voyez qu’on se soucie aussi de votre bien-être. Mais de grâce restez chez vous. Lorsque vous êtes dans votre pays musulmerde on vous adore.