A votre santé !
Personne ne conteste le fait que la malbouffe a une influence directe sur notre santé. Si dans les pays pauvres, beaucoup meurent encore faute de nourriture, dans nos pays dis nantis, c’est principalement la malbouffe et mauvaise hygiène de vie qui sont responsables de très nombreuses maladies et décès (cancers, obésité, maladies cardio-vasculaires, diabète …). Bref, toutes choses qui peuvent affecter notre santé physique en général.
Ce que l’on sait moins et que de récentes études sérieuses corroborant viennent de mettre en évidence est que la malbouffe affecte directement notre cerveau, son intelligence, sa capacité de réflexion, de mémoire, sa capacité de décision, notre humeur, état dépressif et même notre agressivité ! Oui, étrangement, la nourriture exerce une influence directe sur nos décisions et notre agressivité.
Ces dernières années, notre attention s’est focalisée sur la machination du covid et ses effets délétères mais notre bonne santé ne se résume pas à éviter les injections létales de Big pharma, loin de là, mais aussi à veiller à ce que nous ingurgitons individuellement.
Des études sont menées sur des souris, des rats, mais également des humains et les premiers résultats sont sans appel. Il y a bien une corrélation directe entre la façon dont nous nous alimentons et l’influence de celle-ci sur notre cerveau, nos comportements et notre bonheur.
Ayant eu la chance, jusqu’ici, de pouvoir bénéficier d’une excellente santé, je n’ai jamais été particulièrement interpellé par les sujets relatifs à celle-ci mais j’avoue avoir été sérieusement secoué par l’étude suivante d’Arte France que je reçois comme un avertissement à prendre très au sérieux. Je dédie celle-ci à votre santé !
Ce qui se passe dans notre tête dépend aussi directement de ce que nous mettons dans notre assiette
Gigobleu
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Les industriels ont trouvé un nouveau produit à ajouter à leurs fabrications : le dextrose, qui n’est que le nom du sucre de maïs.
Dernièrement , ce dextrose est ajouté à de nombreuses charcuteries : jambon, lardons, saucissons.
Ce dextrose peut être à l’origine de diabète de type 2.
Pas seulement l’alimentation, mais tout ce qu’on introduit dans le corps, comme les médicaments ou les vaccins.
J’avais lu un article sur le dentifrice, l’auteur évoquait un des ingrédients qui aurait une faculté d’affaiblir la volonté de celui qui l’utilise. La plupart des dentifrices en contiennent.
vraiment très intéressant
merci pour le lien de ce documentaire
Ede ut vivas ne vivas ut edas. À l’origine un aphorisme de Socrate repris par Molière. Aussi : Manger comme un roi le matin, comme un prince le midi et comme un pauvre le soir. La qualité de l’alimentation est importante. Le sentiment de frustration fait que l’homme compense avec la quantité de nourriture ingérée.
J’irais même plus loin que notre cerveau , tout en passant par lui ,qui va interpréter intellectuellement ce sentiment physiologique de manque de satiété . En Indes ,l’ayurveda nous dit qu’en plus de la qualité nutritionnelle des aliments que nous ingérons il faut qu’ a chaque repas nous retrouvions dans notre assiette les 6 saveurs ; le sucré , le salé , l’acide , l’amer , l’astringent et le piquant , tout en respectant un subtil dosage entre eux .Et il n’est nul question de profusion de quantité de nourriture que vous ingérez ( votre bol alimentaire ) . Faites l’essai prenez un repas pauvre en saveurs et votre deuxième cerveau vous le feras comprendre par ce manque de satiété .Et oui un esprit sain dans un corps sain passe par la chimie , parce qu’il est bien question de chimie et d’équilibre . Toujours dans l’ayurvéda si vous voulez quantifier vos besoins alimentaire joignez vos de mains en forme de bol et imaginez la quantité de nourriture que vous pouvez y mettre , 1 tiers de solide , 1 tiers de liquide et le troisième tiers pour le brassage des deux premiers tiers . ces trois volumes représentent la taille de votre estomac .
Oops le deuxième cerveau étant votre estomac .A mon sens on ne le qualifie pas uniquement de deuxième cerveau du fait de la présence de son réseau neuronal mais aussi de sa capacité de » a penser » . Nos envies de chocolat ou de fraises pour les femmes enceintes etc. ne nous viennent pas de notre néocortex mais bien de notre estomac .Je le redit le meilleur exemple que l’on puisse donner est celui du sentiment ou non de satiété . Ce n’est pas notre cerveau qui sait quels sont les aliments indispensables a la fabrication des nutriments nécessaires à notre bonne santé physiologique et psychologique .L’expression les yeux plus gros que le ventre veut dire beaucoup de chose en premier lieu que notre néocortex se substitue à notre cerveau qu’est notre estomac avec toutes les conséquences fâcheuses qui en découlent d’autant que l’homme est un être d’extrême .
Je me suis mal exprimer pour le bol alimentaire ayurvédique , chaque tiers est représenté par la jonction de vos mains en forme de bol ainsi il en faut trois.
Aux dires des spécialistes nous avons autant de neurones dans nos intestins que dans notre cerveau alors toutes digestions qui ne se passe pas bien a une influence voir une répercussion au minimum sur notre humeur . Mais aussi sur notre état général , mangeons du bon du simple et du sain et méfions nous des préparations toutes faites bourrées d’adjuvants très divers.
C’est un cercle vicieux : tu bouffes mal, tu penses mal, mais si tu penses mal, tu bouffes mal. Comment en sortir? Ça me coupe l’appétit.
Un jeun de 3/4 jours pour nettoyer en buvant beaucoup d’eau et après fini mac do coca pizza et toutes ces saloperies
mais comme t’es drogué a ces trucs vas tu penser sainement???