(Alhambra de Grenade)
Pour ce voyage en Espagne, on commence avec le Padre Antonio Soler, baptisé le 3 décembre 1729 à Olot et mort le 20 décembre 1783 à Escurial. Voici une de ses œuvres, un fandango redécouvert en 1960 :
Isaac Albeniz est né le 29 mai 1860 dans la province de Gérone et mort le 18 mai 1909 dans les Pyrénées-Atlantiques. Difficile de passer à côté d‘Asturias !
Et pour aller plus loin, Iberia, livres I et II :
Le compositeur Enrique Granados est né le 27 juillet 1867 à Lérida et disparu dans la Manche le 24 mars 1916. Je vous propose un morceau très connu, l’intermède de Goyescas :
Un des plus populaires des compositeurs espagnols de cet article est Manuel de Falla né le 23 novembre 1876 à Cadix et mort le 14 novembre 1946 en Argentine. On va commencer par la danse espagnole de son opéra, La vie brève (deux versions ici) :
Et naturellement, la spectaculaire deuxième suite du Tricorne !
C’est grâce à la chanson : Aranjuez mon amour, interprétée par Richard Anthony que le compositeur aveugle Joaquin Rodrigo, né le 22 novembre 1901 dans la province de Valence et mort le 6 juillet 1999 à Madrid a acquis une renommée mondiale. J’ai choisi une autre œuvre, le Concerto Andalou pour quatre guitares et orchestre écrit en 1967 :
Mais on va tout de même terminer avec Richard Anthony !
Filoxe
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Merci pour ces nouveaux instants de finesse et de sérénité, cher Filoxe.
Je suis allé sur Wikipedia et, sans surprise, cette danse aurait des origines arabes voire africaines. Les Espagnols auraient fréquenté brièvement des communautés africaines en Inde et, bingo, ils en ont ramené le fandango. Il faut dire qu’ils sont si peu inventifs, ces hardis navigateurs, qu’ils ont toujours besoin de chercher l’inspiration chez les surdoués africains qui, comme d’habitude, se sont empressé d’oublier ce qu’ils avaient inventé. Quelle misère cet arasement égalitarisant de l’idéologie communo-capitaliste. On coupe les têtes des doués, comme ça ils sont au même niveau que les avortons civilisationnels qui se ruent chez nous tout génie créatif bu.
Personnellement, j aurai bien voulu connaitre Isabelle la Catholique.
Je suis sensible à ces compliments !
C’est dans la peinture que l’Espagne excelle. Comme disait Salvador Dali » quand on me dit quoi de neuf, je réponds Velázquez « . Des coup de poings de Goya (dont Très de mayo), Velázquez, El Greco, Picasso (pour Guernica essentiellement visible à Madrid au musée de la reine Sophie).Des œuvres ancrées dans l’Espagne comme cette musique que votre article nous propose. Merci mille fois.
Le fédéralisme en Espagne une chance pour la démocratie et la liberté des citoyens. Cela donne envie.
Ce n’est pas notre modèle qui est centralisé, celui des Rois de France qui ont fondé ce pays. Il n’est pas sûr qu’avec le communautarisme triomphant dans notre pays ce soit le modèle idéal. La lâcheté ambiante fera qu’il s’imposera.