Les collaborateurs de l’islam en France devraient être fichés S !

Les mercenaires français de l’islam en France doivent être fichés S

Oui, les collaborateurs de l’islam en France, favorables au remplacement de notre civilisation, devraient être fichés S

L’expansion fulgurante de l’islam dès les premières offensives de l’organisation, du vivant de Muhammad si l’on porte crédit aux textes fondateurs de l’islam (coran et hadiths), tel donc que le récit musulman a écrit cette  histoire, a été due au mode de rétribution des guerriers de l’islam : le butin. Ils n’étaient payés que par la razzia, le  butin. Forcément, ça attire du monde ! Pas les plus travailleurs, pas les plus éveillés au bien commun, pas les plus respectueux des droits des autres, mais, enfin, faut bien vivre…

Dès les premières attaques contre les tribus juives de la région de Médine, vers 626, les combattants formant l’armée de l’islam, appelés « Compagnons du Prophète »  devaient donc se payer sur les biens pris à la tribu attaquée, à la caravane pillée, à la ville razziée. La loi, instituée par Mahomet (toujours selon le coran, mais on sait qu’il fut écrit plus d’un siècle plus tard, il se peut donc qu’il mentionne en fait la loi que les chefs de guerre et califes, successeurs de Mahomet, avaient instaurée pour l’organisation arabe en pleine conquête du monde aux 7, 8 et 9 ème siècle) imposait que le cinquième (20%) de tout butin revienne à l’organisateur, le reste étant l’unique revenu du musulman en campagne de conquête. De plus, et afin de stimuler l’ardeur des combattants à l’offensive, ceux-ci recevaient la promesse qu’en cas de mort sur le terrain de conquête, ils seraient reçus dans le paradis d’Allah, avec des récompenses comme jamais ils n’auraient pu l’imaginer de leur vivant sur terre. Du vin servi par des eunuques, du sexe à l’infini, des sources d’eau intarissables, des richesses inouïes, une fête sans retenue ni fin.

Il n’est pas étonnant qu’à Médine, avec de telles conditions de revenus, les Bédouins du Hedjaz ne se firent pas prier pour adhérer à cette nouvelle façon de s’enrichir sur le compte des voisins de la péninsule arabique. Selon les sources musulmanes elles-mêmes, les ‘’compagnons du Prophète’’ étaient 70 lorsqu’il arriva à Médine en 622 ; 6 ans plus tard, en 628, il put compter sur mille guerriers de l’islam lors de sa première marche pour conquérir La Mecque ; et sur quinze mille deux ans plus tard lorsqu’il s’installa définitivement avec eux à La Mecque, en 630. Les tribus de l’Arabie furent attaquées, pillées, et passèrent sous le contrôle de Mahomet  jusque sa mort (en 632) puis sous celui de ses successeurs qui, prenant goût à l’enrichissement facile, ne se contentèrent pas des biens des tribus du désert. Il y a avait mieux à convoiter : les riches villes des sédentaires. Jérusalem, Damas, mais surtout ‘’la Ville’’, Constantinople, la capitale des Byzantins. Désormais, les musulmans – ou guerriers de l’islam – étaient plusieurs dizaines de milliers.

On connaît la suite et l’expansion galopante des offensives arabes vers l’ouest (‘’maghreb’’) jusqu’au-delà des Pyrénées, mais aussi vers l’est jusque l’Inde, et vers l’Asie centrale et aussi vers le nord, avec l’obsession de s’emparer de Constantinople.

Un siècle exactement après la mort de Mahomet en 632, l’armée de l’islam est arrêtée à Poitiers en 732. Que de chemin parcouru en seulement un siècle ! L’extraordinaire rapidité des conquêtes arabes a reçu deux explications :

  • Celle de l’histoire écrite par les musulmans: c’est Allah, le dieu créateur de l’Univers, donc tout-puissant, qui « donne » la victoire à ses fidèles. ‘’En réalité, c’est Lui qui combat’’. Ils combattent aussi bien sûr, avec une stratégie et une férocité inimaginable, avides de butin, mais la victoire leur est donnée par Allah. Le terme ‘’fath’’ qui désigne ces victoires indique qu’elles sont un ‘’cadeau’’ qui est fait par Allah aux musulmans en djihad. Ils sont assurés de gagner, d’obtenir le résultat qu’ils escomptaient lors de la décision de l’offensive. La rapidité et l’étendue inimaginable de l’expansion de l’islam en un siècle et dans toutes les directions prouvent d’une part qu’Allah existe et, d’autre part, qu’Il donne la preuve de sa bienveillance envers ses fidèles en les récompensant de telles richesses. Un cinquième va aux organisateurs, les chefs de l’islam, et les musulmans combattants s’enrichissent de ces biens pris aux peuples attaqués, soumis et islamisés ou passant sous le statut de dhimmis, c’est-à-dire redevant une taxe régulière aux vainqueurs pour pouvoir bénéficier de leur protection.
  • Celle d’une tout autre histoire, que nous développons ici, preuves à l’appui. Il n’est nul besoin de faire intervenir un dieu et de lui attribuer la création de l’Univers pour prouver sa toute-puissance. Les victoires militaires ne lui sont dues en aucun cas, elles n’ont pas été des cadeaux. Une succession de faits les explique. C’est juste une question d’appât du gain de la part des agresseurs, d’esprit de rapine dénué de tout scrupule, de goût pour la violence et la cruauté, de sens du mensonge et de falsification des faits réels, d’un cynique maquillage en religion d’une armée qui s’est donné comme but la domination du monde. Cette organisation fonctionne ainsi depuis 14 siècles. Elle a pour nom islam. Nous la voyons fonctionner aujourd’hui en France selon les mêmes méthodes qu’à Médine en 624 par exemple. Rien n’a changé.

 

L’islam a toujours embauché des mercenaires

L’armée musulmane, partie de Médine et parvenue à Poitiers un siècle plus tard,  n’était pas constituée que d’Arabes. Les Arabes de 632 avaient fait des petits, non seulement avec les femmes des pays traversés, conquis et islamisés (c’est-à-dire inclus d’office dans l’armée qu’est l’islam), mais ils avaient grossi leur nombre grâce à la stratégie d‘embauche dans l’armée appelée islam. Pour bénéficier des 80% du butin pris sur les populations attaquées, il suffisait à toute personne à la recherche d’une embauche et d’un revenu de réciter la shahâda qui est l’attestation ou profession de foi du musulman, attestant que seul Allah est dieu et que Mahomet est son prophète. Puis de partir à l’attaque.

Pas de déclaration de guerre, pas de lois, pas de contraintes, pas de diplomatie, pas de quartier : l’offensive, la razzia, la règle des 20%, et la belle vie ! Qui veut adhérer adhère et empoche !

Ainsi, dès la prise de l’Egypte en 645 la troupe s’est vite augmentée de nombreux mercenaires.  Qui furent vite arabisés et islamisés.

Même succès d’embauche, pour le même motif,  dans l’armée musulmane en route vers l’est, vers l’Inde et l’Asie centrale, et dans celle marchant sur le nord et campant sous les murailles de Constantinople.

 

Les Berbères d’Afrique du nord sont arabisés et islamisés aux 7è et 8è siècles

Après avoir conquis à partir de 645 ce qui deviendra l’Egypte et la Libye, l’armée musulmane marchant vers l’ouest (le maghreb) se heurte aux populations berbères des pays qui deviendront la Tunisie, l’Algérie et le Maroc. Carthage est prise en 696. Ces populations berbères parlent diverses langues et se distinguent entre de nombreuses ethnies, dont entre autres : les Kabyles (principalement en Algérie).

Après avoir un moment résisté, les Berbères comprennent qu’il y a quelques avantages à agir comme le font les Arabes. Ils acceptent leur islamisation et leur embauche comme mercenaires dans l’armée qui continue sa progression vers l’ouest.

C’est ainsi que ce sont des Berbères arabisés et islamisés, sous commandement arabe, qui franchiront le détroit de Gibraltar en 711 et envahiront ce qui deviendra plus tard l’Espagne et le Portugal.

Ils continueront leur progression en franchissant les Pyrénées en 719 et en organisant, dès 720, un Wali à Narbonne sur le territoire de l’ancienne province wisigoth de la Septimanie. Ce Wali fonctionnera durant 40 ans.

Suite à leur défaite à Poitiers en 732, les Sarrasins (tel était le nom qui leur était donné par défaut : ils étaient en partie arabes, mais pas tout-à-fait, berbères mais plus tout-à-fait, tous musulmans, mais cela ne voulait pas encore rien dire) (le mot latin ‘’Sarraceni’’ était une traduction d’un mot grec désignant les peuples arabes), qu’on appelait également ‘’Maures’’ en d’autres endroits, doivent refluer, pourchassés par Charles Martel, puis par son fils Pépin le Bref qui les déloge de Narbonne en 760. Son fils, Charlemagne, prend la relève et leur fait repasser les Pyrénées. Ils se replient à Cadix où ils ont établi un califat sous l’autorité du calife de Damas.

Cette idée d’embaucher des mercenaires parmi les populations attaquées et vaincues, conquises et arabisées et islamisées, tels que les Berbères, dynamise les Arabes musulmans qui découvrent l’étonnante facilité à corrompre les populations qu’ils approchent. La soif de butin, l’avantageuse règle des quatre cinquièmes du butin restant au guerrier, l’absence de règles pour l’attaque des populations, les innombrables aubaines de viols, la simplicité de la conquête de pays non préparés à se défendre, tout concourt à étendre l’islam qui  se justifie en assurant que c’est le dieu créateur du monde qui a ordonné ce bouleversement. L’histoire est d’ailleurs écrite en ce sens par les vainqueurs.

« Lorsqu’un musulman tue un infidèle, en réalité c’est Allah qui le tue » est-il écrit dans le coran. Et le nom ‘’fatih’’ des victoires militaires évoque un don d’Allah, une récompense offerte aux guerriers de l’islam, qui ne font que lui obéir et qui en sont donc rétribués justement. Les musulmans ne sont pas en guerre mais en mission ; leur djihad n’est pas une agression décidée par eux mais un acte d’obéissance à Allah. Leur libre arbitre n’est pas responsable des faits accomplis, car c’est Allah qui décide de tout. Ils ne sont que les instruments de sa volonté.

Cette façon de présenter les choses les dédouane de leurs responsabilités. Elle permet d’effacer leur goût pour la rapine, pour le viol, pour le vol, pour l’enrichissement facile sur le compte des populations sédentaires plus riches, pour l’idée que dominer le monde est possible. A condition d’entraîner à leur suite un nombre suffisant de mercenaires. Or, des prétendants à la gamelle, il y en a dans toutes les populations et à toutes les époques !

 

Les Turcs sont arabisés et islamisés dès le 9ème siècle

De la même façon que les Berbères d’Afrique du Nord ont accepté la défaite aux 7 et 8ème siècle, ont abandonné la résistance, ont calculé les avantages à entrer dans l’islam, dans l’armée en djihad, et ont accepté leur arabisation et leur islamisation, ainsi en fut-il des Turcs rencontrés lors des attaques des positions des Byzantins.

Arabes venant du sud (d’Arabie) et Turcs venant du nord (des hauts plateaux de l’Altaï, la Sibérie d’aujourd’hui, d’où ils sont originaires, et de l’est, la Mongolie qu’ils avaient conquise) faisaient le même métier : l’attaque des sédentaires pour leur prendre leurs biens. Socialistes avant l’heure : je suis pauvre, tu es riche, partageons, faisons moitié-moitié. Après s’être un moment toisées et combattues, en tant que concurrentes lorgnant le même butin,  les deux armées en conquête font connaissance.

Les Arabes s’aperçoivent très vite que les Turcs sont de remarquables archers et de remarquables cavaliers, qui ont mis au point une stratégie unique et toujours gagnante : provoquer l’adversaire en fonçant sur lui, puis fuir de façon à se faire poursuivre par lui, et, alors, être capables de se retourner à 180° sur leurs montures lancées en plein galop au point de décocher des flèches sur leurs poursuivants qui ne peuvent pas riposter et tombent comme des mouches.

Dès 674, le gouverneur arabe musulman de Bosra (en Syrie, près de Damas déjà conquise) avait déjà embauché un contingent de 2000 à 4000 mercenaires turcs, des archers, qui avaient été capturés à Boukhara, en Ouzbékistan, Asie centrale, où les armées de l’islam étaient déjà parvenues. Donc une quarantaine d’années après la mort de Mahomet !

Tous les chefs de guerre musulmans d’Asie Centrale font prisonniers des Turcs et les enrégimentent dans l’islam comme archers et cavaliers émérites. Ce sont les « mamluks’’ (mot arabe signifiant ‘’esclaves blancs’’).

Les Arabes proposent alors à leurs esclaves turcs un marché : le butin, les biens des Byzantins, puis Constantinople, est si considérable, qu’il y en aura pour tout le monde. Ils doivent s’unir et combattre ensemble pour vaincre. Les Arabes ont un avantage sur les Turcs : ils ont une idéologie ; alors que les Turcs, chamanistes, sont encore désorganisés et sans structure définie. Les Turcs admettent qu’ils auraient intérêt à s’organiser sur le modèle arabe : croire en un dieu tout-puissant qui ‘’donne’’ la victoire (‘’fatih’’) lors des combats sur terre et qui donne le paradis aux guerriers (ou musulmans) morts au combat (en martyrs : chahids), ce qui stimule l’ardeur au combat ; avoir un ‘’Livre’’ où la Loi est écrite ; accepter une hiérarchie et des règles ; croire au paradis après la mort ; adopter l’idée arabe d’une domination du monde par les musulmans.

Les Turcs, convaincus, se convertissent à l’islam dès le 9 è siècle, apprennent l’arabe, ont accès au coran où ils apprennent le devoir de djihad de tout musulman, acceptent la règle des 4/5 èmes de part du butin et deviennent les mercenaires des armées arabes lancées à la conquête de Constantinople et de l’empire byzantin.

Les Mamelouks, Turcs esclaves des Arabes, seront de si bons élèves en islam (intégrant le devoir de guerre de conquête, ruses, cruauté, goût du butin) qu’ils renverseront l’ordre établi par les Arabes au départ et deviendront les maîtres de leurs anciens maîtres. En 861, les Mamelouks firent mettre à mort le souverain arabe et devinrent les vrais maîtres de l’islam. « Dépendants d’eux, choisis par eux, les successeurs arabes de Mahomet durent se plier à leurs caprices sous peine de mourir. Ils plièrent, ce qui n’empêcha pas trois des quatre successeurs d’al-Mutawakkil (le dixième calife, de la dynastie abbasside) de périr assassinés, comme lui en 861 à Samarra). En 892, la ville de Samarra fuit abandonnée aux sables et la cour du calife fit retour à Bagdad, bien déchue. » (Histoire des Turcs. Jean-Paul Roux. Fayard. 2000).

 

Aujourd’hui, des Français, tels Mélenchon et les gauchistes, les écolos et les néo-féministes, ainsi que les maires acceptant la construction de mosquées dans leurs communes, agissent en mercenaires de l’islam en France. Ils devraient être fiché S, car ils participent à leur façon au djihad 

 

Le récent regain de dynamisme de l’islam dû à l’argent de la vente du pétrole à l’Occident, a relancé les musulmans à la conquête des populations encore indemnes de ce fléau qu’est l’islam.

L’Europe est depuis toujours l’obsession des conquérants musulmans, la nouvelle Constantinople, la Rome qui doit être conquise pour parachever la promesse de victoire sur le monde.

Et, en Europe, la France est le pays le plus visé. Notre passé colonial (dont les 132 années de colonisation de l’Algérie) nous a condamnés à ouvrir nos frontières aux anciens colonisés comme prioritaires à l’immigration économiques ; ils sont en majorité francophones, ils n’ont pas à faire des milliers de kilomètres pour aller et venir, ils ont négocié des conditions qui leur sont favorables. Les 12 à 15 millions de musulmans vivant en 2023 en France, dont une grosse partie peut participer aux élections, ont modifié la sociologue de la population française.

Dans la mesure où l’islam s’est organisé pour recréer une communauté devant obéir aux lois islamiques, la France se trouve être un pays dans lequel deux peuples cohabitent, chacun soumis à ses lois propres et, cause inévitable de guerre intérieure à venir, se trouvent être des lois totalement en opposition les unes contre les autres.

Là où la France avait choisi la laïcité, l’islam en France s’oppose à un tel principe au nom de la nécessité de l’islam comme règle de vie.

Là où la France avait choisi la démocratie comme mode de fonctionnement, l’islam impose la théocratie, la prééminence de la loi divine inscrite dans le coran.

Là où la France avait choisi l’égalité des êtres humains, l’islam impose la loi coranique selon laquelle les femmes sont inférieures aux hommes et les autres peuples aux musulmans arabisés et islamisés.

L’islam avait donc besoin de mercenaires en France pour continuer son implantation, s’étendre et réaliser son plan de conquête.

L’islam les a trouvés, en France depuis quelques années, ses ‘’Berbères’’ mercenaires, ses ‘’Turcs’’ mercenaires, dans la personne des gauchistes, des néo-féministes, des écologistes, des militants woke, des décolonialistes, des maires qui favorisent la construction de mosquées dans leurs villes.

Tous ces mercenaires de l’islam contemporains en France reconnaissent agir au service de l’islam  dans le but de gagner les voix des électeurs musulmans aux futures élections. Les faits leur donnent souvent raison : les maires socialistes et communistes qui ont laissé se construire des mosquées dans leurs villes sont pour la plupart réélus, et plus de 200 projets de constructions de nouvelles mosquées sont à l’étude. C’est cela « aller à la gamelle ». Les anciens Bédouins allèrent à la gamelle en entrant dans la première armée islamique sous le nom de « Compagnons du Prophète. Les anciens Berbères allèrent à la gamelle en entrant dans l’islam pour conquérir l’Espagne et continuer vers Poitiers. Les anciens Mamelouks ou Turcs esclaves blancs des Arabes allèrent à la gamelle en acceptant leur arabisation et leur islamisation de façon à conquérir Constantinople et se partager le butin. Aujourd’hui, les mercenaires français de l’islam vont à la gamelle de la même façon.

Mais qui, des vainqueurs musulmans ou des mercenaires gauchistes, écologistes, féministes, l’emportera sur les autres lorsque sera venu le moment du partage du butin ?

La loi coranique restera seule pendant que les gauchistes, féministes et écologistes continueront à discuter du meilleur moyen d’affaiblir le pouvoir en place pour le remplacer.

Quoi qu’il en soit, le partage du butin (qu’est la France) entre musulmans, gauchistes, féministes et écolos ne nous concerne pas. Ce qui nous motive, c’est de nous opposer tant à l’islam qu’à ses mercenaires locaux.

Le député Karl Olive a suggéré ces jours derniers que Mélenchon soit « fiché S » à cause de son mercenariat au service de l’islam en France. Bonne initiative.

Embrayons. Demandons que tout maire qui facilite, d’une façon ou d’une autre, la construction d’une mosquée sur le territoire de sa commune, soit fiché S.

C’est en effet dans les mosquées que le coran est diffusé et transmis, que le djihad est enseigné avec la loi coranique, que l’islam se muscle et prend racine en France, étendant ses rhizomes envahissants et nuisibles.

Mettons fin à ce scandale.

En exigeant que tout élu facilitant l’implantation d’une mosquée en France soit fiché S. Il va à la gamelle, il agit en mercenaire de l’islam. Nous le fichons S.

Envoyons-leur clairement notre message : l’islam n’a rien à faire en France. Que ses mercenaires, qui vont à la gamelle en partageant le butin, comprennent notre réprobation et en subissent les conséquences.

Nous militons, et avec raison, pour une France sans islam.

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26 Comments

  1. En FRANCE nous avons aussi nos mercenaires … combien de musulmans dans l ‘armée française … surement plus que dans notre légion étrangère …..En cas de conflit tireront sur leurs  » cousins « 

  2. Excellent exposé auquel je souscris entièrement! De toute manière la guerre civile va éclater et tous ceux qui ont pactisé avec Allah vont devoir faire rapidement leurs valises !Mahomet n’était qu’un bandit de grand chemin un peu comme les cow-Boys avec leur guerre avec l’ukraine et Zélinsky(corrompu qui embauche des mercenaires )mais la les pys alignés de l’UE alignés(=soumis)aux USA vont devoir rendre des comptes!!

  3. Les collabos de nos ennemis quels qu’ils soient devraient être ostracisés et lourdement punis… Oui mais par qui ? leurs semblables aux commandes ? Réveillez vous enfin !!!

  4. Grand article, Jacques !
    En fait l’islam attise tous les bas instincts de l’humain, tout son matérialisme négatif ( tout n’est pas mauvais dans le matérialisme, selon moi ), et ne doit son expansion et sa survie qu’à cela.
    Votre article le démontre amplement !

    • C’est pour favoriser l’expansion des « brouteurs », qui sévissent en France.
      Le gouvernement, un bon co-allahborateur.

  5. L’imam de Beaucaire vient d’être condamné à huit mois de prison avec sursis pour avoir appelé au meurtre des Juifs en France. Passons sur la scandaleuse bienveillance du tribunal; le parquet fait d’ailleurs appel. Je voudrais insister sur une réflexion très pertinente de Geoffroy Lejeune à propos de ce jugement; c’était chez Praud hier soir sur Cnews : si le tribunal avait prononcé une peine de prison ferme, attendu que cet imam n’avait rien fait d’autre que citer littéralement un hadith, cela aurait signifié sans discussion que l’islam, dans sa forme « normale », est incompatible avec les lois de la république. A rappeler à tous ceux qui continuent naïvement à nous demander de faire la différence entre islam et islamisme….

    • Bonjour TEG, je regrette de ne pas avoir lu votre commentaire avant d’écrire l’article qui a été publié aujourd’hui samedi 04 et qui traite de cette affaire. L’imam n’a en effet pris que du sursis, comme si ses appels à la guerre, à la violence, à la haine, à l’antisémitisme, ne méritaient pas une sanction bien plus adaptée ! Mais, comme vous le soulignez, cela aurait signifié l’incompatibilité de l’islam avec notre civilisation et certains juges ne sont pas tout-à-fait prêts à l’admettre ! Merci de l’avoir mis en lumière.

  6. Bonjour,

    Merci pour ce bel article.

    L’islam n’est qu’une modalité du pillage, comme vous le démontrez : nulle spiritualité là-dedans.

    Quant à « al fath », la victoire, la conquête, j’ai le souvenir, à la télévision d’un jounaliste abruti passant devant une mosquée de ce nom, tout en affirmant que l’islam était paix et amour !

    • Bonjour Antiislam, en effet, de nombreuses mosquées, mais aussi des places centrales de grandes villes portent le nom de  »Fathi », comme le portaient les généraux arabes et turcs victorieux sur les Byzantins. Le  »Fathi » est celui qui reçoit d’Allah la victoire sur les chrétiens et sur les juifs. Ce qui, contrairement à ce que prétendaient nos comiques de la semaine dernière (le recteur de la Grande mosquée de Paris et son compère le rabbin dhimmi), donne une connotation religieuse à toute confrontation et toute guerre impliquant des musulmans. Ils pratiquent la religion, le djihad religieux, en pratiquant la guerre, la violence, la haine, lors de leurs razzias qui les enrichissent. Bonne soirée !

  7. Merci Jacques. Belle et utile rétrospective : les étapes de la conquête musulmane à faire connaître à nos concitoyens, ainsi que ses METHODES. La différence, c’est qu’aujourd’hui, nul besoin de combattre, le pays leur est livré aux frais de ses habitants. Effort consenti par l’impôt sur le revenu et arrondi par le NOUVEAU BUTIN = les formes actuelles de pillages, certains institutionnalisés (CAF), certains arrachés impunément (à échelle individuelle : vols, escroqueries, ou collective : émeutes).

    • Bonsoir Agathe, et bien vu ! En effet, tout ce qui contribue à ponctionner le budget du pays en voie d’être conquis, donc à affaiblir financièrement ce pays, fait partie du djihad. C’est quoi le prochain mot de l’islam que tu as en sculpture sur ton établi ? Bonne soirée !

    • A oui, à San Francisco les manifestants musulmans ne peuvent pas dissimuler leur agressivité; et dire qu’on a les mêmes ici !

  8. La rage et la colère sont des armes meurtrières. Mais l’envergure d’une guerre demande des qualités, des spécificités autres. Dont le sang froid, la capacité d’analyse, la détermination. Je te remercie Jacques pour cet exposé somme toute concis, vu l’ampleur et l’énormité de l’ensemble des questions qui se pose. J’ai lu avec grande attention.

    • Bonsoir Paco, on sait comme tu travailles sérieusement à ta documentation puis jaillit l’idée de la flèche que tu décoches et que tu tires dans le mille. Quel talent ! Bonne soirée !

      • Merci à toi Jacques de la considération que tu manifestes à mon endroit. Sous une forme qui m’appartient saches qu’il y a réciprocité. Avec fraternité et respect. Bonne soirée pour toi aussi.

  9. Militez, les gars (et les filles!)
    Pour ce qui est d’être fiché, c’est nous, Michèle et moi, Gérard, qui le sommes !
    Alors, arrêtons d’enculer les mouches et de se contempler le nombril,
    Boulégan, couquin dé Diou !!!
    Je ne vous traduis pas, comme dirait Nietzsche: Que celui qui a des oreilles pour entendre entende.
    Bonne journée à toutes et à tous,
    Gérard

    • Bonjour Michèle et Gérard.
      Je comprends parfaitement le sens de ton commentaire mais… Mais l’action est pour le moment impossible. Parler n’est pas qu’enculer les mouches. Mais aussi un nécessaire exutoire. Il n’y aura pas de moment venu, de jour fatidique, qui n’aura été un long cheminement bordé de paroles, de discours et de parlottes. N’oublie pas que des prisons sont remplies de personnes, femmes et hommes qui n’ont eu d’autre action révolutionnaire que de proférer, clamer, hurler. Et c’est bien avec ces sortes d’armes là qu’en face l’engeance gaucho islamiste s’empare des rues, des avenues, des territoire. Hurlant chouinant, glapissant, maudissant, menaçant… Et enculant toutes les mouches !

    • Bonsoir Michèle et Gérard. Bien sûr que c’est l’action que nous privilégions. Mais encore faut-il la préparer. Par exemple, avant-hier, un appel était lancé ici pour collecter tous les arguments juridiques permettant à des opposants locaux confrontés à un projet de construction de mosquée d’attaquer en justice le projet, dans le but d’empêcher ces constructions. Est-ce que c’est un enculage de mouches ou une action tout ce qu’il y a de plus concret et de nécessaire ? Y avez-vous répondu vous-mêmes en donnant de précieux renseignements ? Merci d’avance et cordialement.

      • Bonjour les Amis,
        En 85, 90, tracts à l’appui, nous nous opposions à la construction d’une mosquée à Cabannes, dans les Bouches du Rhone.
        La justice, ou plus précisément l’injustice, a noyé le poisson et nous nous sommes retrouvés avec le poison.
        Déjà, à cette époque, les multiples trafiquants qui défilaient devant nous qui voyons notre affaire traitée en dernier au Tribunal de Tarascon, se voyaient tirer les oreilles avec l’injonction : «Il vous appartiendra de quitter le territoire national au plus tôt !»
        On voit le résultat !
        Action tous azimuts.
        Bonne journée à toutes et à tous,
        Gérard

  10. Ficher ces gens S ne sert à rien. Les foutre à la porte, oui. En plus de beaucoup d’autres.

    • Bonjour,

      Oui, c’est exactement ce que tu dis : il faut mettre en place une politique d’expulsion très souple.

      Rien n’est possible sans cette politique de bon sens.

      Il est dingue que pendant des décennies, on ait pu entrer en France comme dans un moulin mais que tout soit impossible quand il s’agit de faire le chemin inverse.

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