SDF : seuls les Français meurent dans la rue

Ce sont 624 personnes sans domicile fixe qui ont trouvé la mort en 2022 dans les rues de France, indique un rapport du « Collectif Les Morts de la Rue ».

Apparemment, ce sont tous des Français de souche. Il n’y a parmi eux ni musulman, ni Black. Sinon, la France aurait été mise à feu et à sang. Les policiers auraient été caillassés, les commerces vandalisés, les voitures brûlées…

Les migrants vont dans des hôtels tandis que les Français crèvent dans la rue. C’est une des valeurs de la République.

Le rapport du « Collectif Les Morts de la rue », une association qui mène des actions liées aux décès de personnes vivant ou ayant vécu dans la rue, tels le recensement et l’accompagnement, est assez détaillé.

Ces personnes « sans chez soi », indique le rapport, ont perdu la vie avec une « très grande prématurité » : « à 49 ans en moyenne, soit un écart d’espérance de vie de plus de 30 ans avec la population générale.

Le rapport nous apprend aussi que l’âge moyen des femmes décédées est de 46 ans, contre 51 ans pour les hommes. On sait aussi dans quelles régions ils « résidaient », comment et où ils sont morts, et plein d’autres détails.

Mais le rapport ne dit pas pour qui ils votaient ou pour qui ils auraient voulu voter s’ils en avaient eu la possibilité. Le rapport ne le dit pas, mais on peut aisément le deviner.

On vote pour celui qui fait des promesses (qui ne sont pratiquement jamais tenues). Il se trouve que celui qui faisait des promesses aux SDF est le Macron.

Le 27 juillet 2017, deux mois et demi après avoir été porte à l’Élysée, il promettait de « loger tout le monde dignement ». « Je ne veux plus, d’ici la fin de l’année, avoir des femmes et des hommes dans les rues », proclamait-il solennellement.

Les « Sans chez soi » lui ont fait confiance. Ils se sont mis à attendre et ont fini par mourir à force d’attendre.

 

En 2019, soit deux ans après cette solennelle promesse, l’Organisation des Nations unies épinglait la France comme étant « coupable de violations du droit au logement ». L’ONU considérait que, dans un pays aux ressources multiples, le sans-abrisme et les morts de la rue sont inacceptables.

En France, on meurt dans la rue, dans les cafés, dans les églises, dans les écoles, dans les gares, dans les campagnes…

On mourra tous en attendant les interventions bienfaitrices du Macron.

Le Macron s’en fiche des SDF, comme son prédécesseur, le mollusque François Hollande, se moquait de ses propres SDF, les « Sans Dents de France ».

Les deux présidents se font une concurrence acharnée pour qui humilierait le plus les Français.

SDF – Un seul label pour deux présidents-crapules.

Une seule victime : Les Français, la dinde de la farce.

Le nombre de personnes sans domicile fixe en France est estimé à 330.000 d’après la Fondation Abbé Pierre. A un rythme soutenu de 650 morts par an, on ne pourra « éradiquer » cette meute de Français nuisibles que dans 50 ans.

Sans compter les nouveaux postulants qui ne manqueront pas d’arriver en nombre dans les rues bien accueillantes de France.

Hé, Macron, tu serais peut-être toi-même un jour dans la rue.

D’une façon ou d’une autre.

Les Français te pisseront dessus.

Juste avant que tu ne crèves.

Messin’Issa

 1,386 total views,  1 views today

image_pdf

7 Comments

  1. Les gens ont été jetés à la rue avec l’arrivée de la mite, le socialiste.
    Des milliers de Français , ont perdu leur emploi et leur logement, suite aux lois socialistes et aux nouveaux impôts qui allaient engraisser la gauche caviar.
    A ce moment là, personne ne se doutait que c’était la préparation de l’arrivée des remplaçants.
    Mais comme le Français persiste et signe dans sa connerie, il a remis la mite au pouvoir pour sept années supplémentaires.
    Pour Minus, idem, rebelote, le socialiste hautement nuisible.
    N’oubliez pas d’en remettre une couche pour l’année prochaine.

  2. Les sans abris français sont les principales victimes de l’immigration de masse car ces types mais aussi des femmes subissent cette souffrance de l’attente d’avoir un appartement , un travail et retrouver leur dignité après avoir connus cette descente aux enfers . Malheureusement ces personnes sont morts dans la rue par désespoirs car les associations immigrationnistes favorisent les migrants qui sont bien logés , bien nourris et qui nous crache dessus , des Français purs jus , des Antillais tout le monde connaît l’enfer de la rue !

  3. ils sont de plus en plus nombreux ces accidentés de la vie dans le bois de Vincennes
    rien a voir avec ces mendiants roms agitant sous ton nez, leur gobelet plastique-sébille, gras comme des cochons, et arborant un écriteau autour du cou: « pour manger » 😒😒

    plus jeune(ou moins vieux)j avais acheté une pizza pour la leur donner…ce qui m avait valu moqueries et insultes, style: nous on veut des sous !

  4. Bonjour Messin. Ce phraseur est un Krevard de première. Sur le pilori ou tu l’as cloué, je me joins, simple et fruste au populo pour lui cracher à la gueule. Merci de ton travail.

  5. Erratum
    Prière lire « 500 ans » au lieu de « 50 ans » dans le paragraphe 17, en fin du texte :
    « Le nombre de personnes sans domicile fixe en France est estimé à 330.000 d’après la Fondation Abbé Pierre. A un rythme soutenu de 650 morts par an, on ne pourra « éradiquer » cette meute de Français nuisibles que dans 500 ans ».

  6. J’ai vu des SDF dans la ville à côté de chez moi, je n’ai vu que des Français. Qui ont froid, qui ont faim.

Comments are closed.