Des moudjahidines ou « hommes de la guerre » célèbrent le 12º anniversaire de la fin du régime communiste en Afghanistan. Kaboul, 27 avril 2004./ AP RADIALPRESS
Evidemment, on a eu droit ces jours-ci et ce matin, une fois de plus avec l’enterrement d’ Arras, à des commentateurs des journaux télé, tous les musulmans ne sont pas méchants, il y en a des gentils…
Ce qui m’a fait penser à ce que m’avait raconté mon beau-frère pied-noir, au tout début de la guerre d’Algérie, le FLN s’était attaqué aux Algériens pro-Français pour les détacher de la France par la terreur et en plus ils leur imposaient l’impôt révolutionnaire…
Un autre procédé avait été pratiqué par les communistes pieds noirs (déjà à la solde de Moscou, déjà la guerre froide USA / Russie et la volonté de nuire à De Gaulle l’ennemi des 2) en 1947. Mon beau-père dans une réunion de cellule avait reçu l’ordre de s’attaquer à des Pieds-Noirs en faisant croire que c’était des Algériens pour enclencher le processus action /réaction. Il avait refusé et a été menacé de mort, il n’a eu la vie sauve qu’en s’embarquant dans les heures suivantes sur un paquebot. Ma belle mère n’a su ce qui s’était passé et n’a eu de ses nouvelles qu’une semaine plus tard.
J’ai trouvé ci-dessous un article expliquant que, comme en Algérie, quand les islamistes, suffisamment nombreux, décideront de la révolution / guerre civile en France ils obligeront les « gentils » à les rejoindre. Pour les gentils ce sera aussi la valise ou le cercueil, la plupart par passivité ou trouille se joindront à eux pour nous égorger.
On le voit en ce moment à Gaza ils ne font aucun sentiment pour leurs coreligionnaires.
Le seul moyen d’édifier l’Etat islamique et l’instauration du pouvoir divin est le combat. Tout autre est rejeté notamment la prédication ou la participation politique.
Le combat est une obligation religieuse et pour cela les autres mouvements islamistes n’avancent le Jihad que du point de vue formel. Or, le salafisme combattant lui donne un aspect concret.
La priorité dans le combat est accordée à l’ennemi proche (les régimes arabes) et non pas à l’ennemi lointain (les Occidentaux ou les infidèles chrétiens ou juifs).
Il faut donc combattre les musulmans renégats qui se sont écartés de la voie de Dieu notamment les islamistes, les laïques ou les démocrates.
Ces trois idées se retrouvent également dans les organisations salafistes combattantes du Maghreb. En Algérie, par exemple, le cinquième article de la charte du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) stipule :« Combattre les renégats est prioritaire par rapport au combat qui doit être mené contre les infidèles originels et leur châtiment doit être plus fort que celui qui doit être infligéaux infidèles. Ils ne doivent bénéficier d’aucun répit ni grâce et n’ont de choix que le repentir ou le glaive ». L’article 22 stipule encore : « Le combat contre les renégats ne s’arrête que quand la parole de Dieu s’impose à tous ». Ces idées se retrouvent au Maroc dans les ouvrages de Mohamed Fizazi, Abdelkrim Chadli et Omar El Haddouchi
Voir http://babelouedstory.com/thema_les/disparus/2053/2053.html
Le radicalisme religieux au Maghreb
Alimentées par des motivations politiques ou religieuses, les tendances radicales prennent racine au Maroc, en Algérie, en Tunisie et en Libye
Mohamed Darif, professeur de Sciences politiques à l’Université Hassan II de Mohamedia.
Cette étude ne concerne pas les groupes islamistes des pays du Maghreb puisqu’ils sont dans leur majorité modérés. Il y a des organisations en Libye et en Algérie qui sont considérés comme le prolongement de l’organisation des « Frères musulmans » égyptiens. De même qu’il y a d’autres organisations qui ne se considèrent pas comme le prolongement de ce courant, mais qui se sont adaptées aux réalités locales à l’instar du Mouvement de la tendance islamique en Tunisie ou Jamaâ Al Adl Wal Ihsane (Justice et spiritualité) au Maroc. L’étude concerne essentiellement les organisations religieuses radicales que ce soit du courant islamiste ou du courant salafiste car le champ religieux est régi par des acteurs qui divergent structurellement. A partir, donc, de cette distinction, l’étude se propose de jeter la lumière sur les groupes religieux radicaux des pays du Maghreb tant islamistes que salafistes.
Les expressions du radicalisme islamiste : le combat comme nécessité politique
Les réseaux du radicalisme religieux appartenant au courant islamiste jihadiste se rejoignent autour de l’idée selon laquelle le combat est une nécessité politique et un moyen pour l’édification de l’État islamique en tant qu’ultime seuil pour faire pression sur les régimes politiques afin qu’ils s’alignent au minimum sur les principes de l’islam. Ce courant est représenté au Maghreb par deux tendances majeures : la tendance qotbiste et la tendance des Afghans arabes.
La tendance qotbiste
Elle s’inspire des idées de Sayed Qotb qui a été condamné à mort et exécuté par le régime égyptien en 1966. Ses idées sont contenues dans son ouvrage « Maâlim Fi Attariq » ( Signes de piste). Cependant, c’est autour de la notion d’excommunication que les divergences ont apparu entre deux lignes qui, l’une revendique l’excommunication du pouvoir et l’autre excommunie le pouvoir et la société.
A cause de l’influence grandissante de l’idéologie modérée des « Frères musulmans » au Maghreb, le groupe Qotbiste qui revendique l’excommunication du pouvoir n’a pas pu s’imposer. C’est pourquoi, les organisations liées à cette ligne, d’abord au Maroc puis en Algérie, ont continué à subir l’isolement.
Au Maroc, la première organisation qotbiste à être créée en 1969, fut « le mouvement de la chabiba islamiya » (Jeunesse islamiste) et dont le fondateur est Abdelkrim Moutiï. Celui-ci avait tenu, depuis le début, à créer une aile militaire dont le chef fut Abdelaziz Nouâmani. Mais quand ce dernier quitta l’organisation, Moutiï avait pris l’initiative en 1981 de la restructurer en créant une aile militaire baptisée « fraction du Jihad » (Combat) dont la mission consistait à déclencher des opérations militaires à l’intérieur du Maroc. Mais, les autorités ont pu démanteler deux groupes liés à cette aile. L’un, plus connu sous le nom de « groupe des 71 », a été démasqué en 1983 et l’autre, connu comme « groupe des 26 », fut arrêté en 1985. D’ailleurs une condamnation à mort par contumace fut prononcée contre Moutiï.
La deuxième organisation de ce type fut créée par Abdelaziz Nouâmani en 1984 et baptisée « organisation des Moujahidines marocains ».
Lire la suite ici :
Source, Institut Européen de la Méditerranée.
https://www.iemed.org/publication/le-radicalisme-religieux-au-maghreb/?lang=fr
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Il y aurait des muz « gentils » ? Comme les poissons volants ?
Il y a des gens qui ont vraiment le boyau de la comprenette en avarie !
Si demain, le pire islamiste parvenait à l’élection présidentielle, tous les muz gentils voteraient pour lui parce qu’on leur en aurait donné l’ordre à la mosquée.
Pourquoi pas plus de 1% de mahométans au paradis?
Ben sinon ce serait l’enfer!
Le musulman gentil n’existera plus le jour où tout ira mal en France, il se transformera en ennemi et soutiendra les siens, ainsi oui il faudra probablement un jour leur dire « la valise ou le cercueil » cette phrase tant entendue en Algérie Française ?
Quand le djihad vient de l’intérieur :
https://www.fdesouche.com/2023/10/19/israel-des-travailleurs-palestiniens-de-gaza-detaches-dans-les-kibboutz-ont-participe-au-massacre-et-fourni-toutes-les-informations-importantes-les-concernant/
Quand vous voyez Paul Larrutorou, Yann Barthes alias Yann Partouze, Nicolas Massol, Pierre Plotu alias Plotu le cancéreux, Edwy Plenel l’homme qui se masturbe devant un poignard et un Coran, Laurent Joffrin, Pauline Decker et autres ne voient pas que les MUZZ imposent le chantage de la valise ou du cercueil comme à l’époque de l’Algérie Française avec les Fellaghas du FLN. Les Apostats sont les principaux ennemis des MUZZ car l’islam ne tolère pas l’apostasie, les musulmans modérés qui devront choisir leur camp et sans oublier les Français. La valise ou le cercueil est l’arme secrète des Coupeurs de tête de l’Oumma Internationale pour massacrer tout le monde…
ce qui m’ apparait clairement, c’ est que les musulmans » gentils » on ne les voit pas, pas même quand certains des leurs vomissent la France
vous avez raison , mais on ne voit pas non plus beaucoup la majorité silencieuse française.
elle s’abrutit devant TF1, BFM , le service public de désinformation
il faut se faire à l’idée que nous sommes et resterons une minorité
La Résistance, la vraie, était aussi une minorité en quarante.
Gardez espoir, formez-vous et tenez-vous prêt.