Personne ne sait d’où il venait. Toujours est-il que, près de Paris, un moustique a collé la dengue à un quidam n’ayant pas quitté sa ville depuis au moins quinze jours !
Une dengue des plus dingues puisque cette dengue a permis à son moustique d’arracher le titre de « première dengue si au nord de l’Hexagone » ! Titre si envié au sein de la famille des Culicidae ! Ou si vous préférez, la famille des moustiques, et -du moins si j’ose faire une entorse à la mode, veuillez m’en excuser Mme Rousseau- plus précisément, des tigresses ! Puisqu’il s’agit vraisemblablement d’une femelle (oh, le vilain mot !), oui, d’une femelle « moustique tigre » ! En effet, seules les moustiques femelles piquent l’homme mais aussi la femme. Les moustiques mâles -de plus de 50 ans et même blancs- ne piquent personne, eux.
Ce premier cas à une telle latitude sur le sol de notre France hexagonale a été décelé dans le Val-de-Marne, département limitrophe de Paris.
Le quotidien d’Île-de-France 94Citoyens.com a précisé mercredi : « un habitant de Limeil-Brévannes, a été diagnostiqué comme le premier cas de dengue autochtone d’Ile-de-France. » Autochtone, « c’est-à-dire qu’il a contracté la maladie sans avoir voyagé dans une zone endémique durant les quinze jours précédant les symptômes. »
Les autorités sanitaires ont immédiatement déclenché dans le secteur de cette commune deux opérations de démoustication : « La première dans la nuit du dimanche 15 au lundi 16 octobre. La seconde se tiendra dans la nuit du vendredi 20 au samedi 21 octobre. » Du moins, « si les conditions météorologiques le permettent », a fait savoir l’ARS (Agence Régionale de Santé). Le quotidien précise : « Ces opérations interviennent après une enquête menée par l’Agence Régionale de Démoustication (ARD), un opérateur privé. Les interventions consistent en une pulvérisation d’insecticide « visant les lieux de repos du moustique tigre (buissons, bosquets, feuillages, etc.) dans un périmètre de 150 mètres de rayon autour du domicile du patient concerné », précise l’ARS qui invite les habitants de la zone concernée, qui seront informés en amont, à fermer leurs fenêtres et garder leurs animaux à l’intérieur. »
Pour mener à bien ces opérations, le recours d’effectifs de police -tant nationale que municipale- a été requis. D’autant que l’enquête sanitaire comprend des entretiens au « porte-à-porte » avec tous les habitants du secteur pour, selon l’ARS, « détecter d’autres cas potentiels. »
Puisque ce n’est pas la personne atteinte qui est allée dans un pays où sévissent les moustiques porteurs de la dengue, c’est donc un moustique qui est venu à Limeil-Brévannes piquer cette personne, d’où le terme de « dengue autochtone ». Mais j’en connais qui vont émettre des opinions concernant le moyen de transport de ce moustique : n’était-il pas piégé dans les bagages d’une personne « venue d’ailleurs » ?
Pays avec des cas ces 3 derniers mois
Si l’on s’en tient à la définition du Petit Robert, la réponse est négative puisque ce dictionnaire de référence en étymologie nous le précise : le mot « autochtone » signifie « Qui est issu du sol même où il habite, qui est censé n’être pas venu par immigration »venant du grec « autokhthôn » composé de « autos »=« soi-même » et de « khthôn »=« terre ». Ok ! On est d’accord ! Vous avez bien lu : « pas venu par immigration » !!!
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Curieuse coïncidence : ce cas dingue de dengue est constaté peu avant que la compagnie Air France ne décide d’arrêter ses vols à partir de l’aéroport voisin de Limeil-Brévannes, le célèbre aéroport d’Orly -inauguré par un certain Général de Gaulle- pour transférer tous les vols outre-mer mais aussi des lignes hexagonales, à. Roissy.
Or l’aéroport d’Orly desservait nombre de régions de la France d’Outre-Mer ! Principalement Pointe-à-Pitre, Fort-de-France et Saint-Denis de La Réunion. Une opération qui, au grand dam des personnels, va coûter, avec d’autres aéroports comme Marseille, Toulouse ou encore Nice, quelque 150 emplois dont les titulaires resteront, pour la plupart, en salle d’attente !
S’il est évident que cet arrêt des liaisons avec l’Outre-Mer n’a rien à voir avec le cas de dengue près d’Orly, il est un fait que le moustique. –venu sans passeport comme ce fut le cas avec notre COVID se moquant de nos frontières !- a dû arriver à l’issue d’un voyage en avion puisque, selon Le Figaro du 10 juillet dernier, à propos de la dengue :
« Les Antilles françaises ne sont pas épargnées non plus : la Martinique et la Guadeloupe font l’objet d’une surveillance renforcée depuis l’identification d’une quinzaine de cas en début d’année. »
Selon TopSanté du 18 octobre, le responsable du cas de dengue dans le Val-de-Marne serait donc un moustique tigre (oui, Mme Rousseau, je tiens à le répéter : pas un mâle mais une tigresse !) :
« La dengue est une maladie infectieuse transmise à l’homme par les moustiques du genre Aedes, le plus répandu étant le moustique tigre présent sur plus de 70 % du territoire. »
Pourquoi cette appellation « Aedes » ? Car ces moustiques sont désagréables et comme en grec « désagréable », c’est « aedes » ou « aèdes », ce nom lui va comme un gant ou plutôt comme une pompe buccale aspirante, celle qui permet à Madame la tigresse de nous sucer le sang sans s’en sentir sensément sentimentalement le moins du monde coupable !
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Selon le Figaro Santé, « Deux continents sont particulièrement touchés : l’Asie et l’Amérique Latine. (…) en Asie, la dengue sévit à l’état endémique ou hyper-épidémique dans dix-sept pays. (…) Parmi les régions d’Amérique touchées par des épidémies parfois importantes figurent, entre autres, les départements français situés dans les Caraïbes (Antilles et Guyane).
(…) Sont également concernés les territoires français du Pacifique sud (Polynésie française, Nouvelle- Calédonie, Wallis et Futuna).
(…) En Afrique, des épidémies ont été rapportées dans quelques pays comme le Cap Vert, les Comores ou encore le Gabon. L’identification de cas importés par des voyageurs ayant séjourné dans différentes régions d’Afrique témoigne d’une circulation du virus de la dengue sur ce continent. »
Donc, pour ce premier cas de dengue en notre chère France hexagonale, on ne sait si le -euh, oui, Mme Rousseau !- si « la » moustique est « venue » de notre Outre-Mer ou d’Afrique ou d’Asie ou d’Amérique puisqu’« elle » est « rentrée » sans… ses papiers, ni même son carnet de santé ! Ah, les femmes…
Mais une chose est certaine, c’est que ce cas de dengue est à mettre sur la liste pourtant déjà impressionnante ayant pour titre :
« CE-LA-N-EST-EN-CO-RE-JA-MAIS-AR-RI-VÉ-EN-FRAN-CE-! »,
liste dont l’exclusivité -il y tient : il veut battre le record « porte-malheur » de tous les Présidents de la République Française et de tous les Rois qui ont fait notre France !-
oui, liste dont l’exclusivité est détenue par M. Emmanuel Macron ! Et, en plus, il en est fier !
JACQUES MARTINEZ, journaliste ancien de RTL (1967-2001), l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
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Première chose urgente : la ficher « S » !
Quand on avertissait que l’importation du tiers monde allait nous transformer en tiers monde, on était traité de raciste, xénophobe, fasciste, nazi, et tutti quanti.
Expliquer une loi de la nature aussi évidente, nous mettait au banc de la société.
Pour un type de gauche, un morceau de plastoc bleu , dit CNI, suffit à transformer une bestiole en citoyen français avec 2000 ans de bagage culturel.
Faut vraiment être abruti pour y croire.
Le réel nous rattrape un jour ou l’autre.
La magie de l’utopie finit par faire pschitt.
Après un recul sur le plan scolaire, un retour à la barbarie sur le plan sécuritaire, un effondrement de notre économie, une décivilisation évidente, un arrivage imposant de migrants incultes, arriérés et musulmans, il est normal que le pays devienne un hébergeur de bestioles exotiques.
Nous sommes maintenant entrés dans le Tiers monde d’une façon pleine et irréversible.
Vite Monsieur Pfizer, prépare nous un vaxxin contre cette bestiole !
À titre personnel, habitant Saint-Martin depuis plusieurs années, j’ai eu trois dengues différentes et la dernière a été sévère. Pour peu que vous attrapiez la dengue hémorragique vous pouvez y rester. J’ai une amie lutte depuis plus de 10 jours contre une dengue carabinée, ce qui est tout de même très long. Il faut dire aussi qu’elle est double injectée (tout ça pour voyager !) et qu’elle attrape tout ce qui passe. Il y a encore peu de temps, les cas de dengue étaient transmis à l’ARS qui faisait une enquête auprès des personnes touchées. Terminé ! Il y avait aussi des pulvérisations régulières d’insecticide par la Collectivité. Ça aussi c’est terminé, mauvais pour la santé paraît-il, donc on préfère voir les gens malades. Mais les moustiques vont bien, Aymeric Caron peut dormir tranquille.
Ce n’est pas forcément un moustique importé par avion qui est la cause de l’infection.
De toute façon, les moustiques ne sont pas en eux-même porteurs de la dengue. Il faut qu’ils aient piqué préalablement une personne déjà infecté – y compris si ensuite il voyage en avion.
Il est bien plus probable que le moustique a d’abord piqué localement une personne infectée avant de repiquer cet individu… Par exemple un migrant venu de Lampedusa récemment… ou en zone de rétention à Orly.
Je cite l’Institut national de santé publique du Québec :
« L’Aedes s’infecte lors d’un repas chez un hôte en phase virémique et, après une période de 8-10 jours, peut transmettre l’infection à d’autres hôtes. Il s’agit d’un insecte diurne pouvant piquer plusieurs fois dans la même journée et qui, une fois infecté, demeure infectieux pour la durée de sa vie qui varie de 1 à 4 semaines. Chez la femelle, une transmission transovarienne est possible, mais ne contribuerait pas de façon significative à la transmission chez l’humain. »
faut sonner le Tocsin !!
ding! dengue !! dong !!
par contre je n’ ai jamais entendu qu’ on ait vacciné les clandestins devenus migrants légaux par la volonté de Hollande, pas plus que je n’ ai entendu parler du covid chez eux
En effet !!