Terrorisme : quand ce n’est pas Mohamed, c’est Abdeslam

Il s’appelle Abdeslam, le héros tunisien qui a courageusement refroidi deux Suédois à Bruxelles.

C’est un exemple parfait de la mondialisation. Le tueur est Tunisien, Il vient du Sud. Les tués, des Suédois qui viennent du Nord. Le lieu, Bruxelles, ville dite capitale de l’Europe, à mi-chemin entre Tunis et Stockholm.

Abdeslam est un nom familier pour les Français et les Belges.

Il rappelle le Abdeslam Marocco-Franco-Belge qui a été condamné à perpétuité (faute de peine capitale) pour son implication dans les carnages du Bataclan à Paris, en novembre 2015, qui ont fait 130 morts, et ceux de l’aéroport et du métro de Bruxelles qui ont fait 35 morts en mars 2016.

Abdeslam, avec sa frimousse d’ange comme dirait Mbappé, comparaissait, tant à Paris qu’à Bruxelles, aux côtés d’un certain Mohamed (Abrini).

Difficile d’imaginer un attentat sans un Mohammed, le dernier étant celui d’Arraz, ou un Abdeslam, le dernier étant celui de Bruxelles.

Mais il y a tellement d’autres.

Le comble est que Mohamed est le nom du prophète d’une religion d’amour et de paix, et que « Abdeslam » signifie, en arabe, « l’adorateur de la paix ».

C’est prouvé.

Les Abdeslam et les Mohamed agissent dans le cadre de la diversité et du multiculturalisme qui sont des valeurs chères à la France. On les a imposées aux Français qui ne peuvent plus vivre sans.

L’extermination des Français entre dans le cadre de ces valeurs de la République, si bien que, tant le président que le gouvernement, ne cessent de nous les rappeler et de nous inciter à les adopter et à s’y conformer.

On vient de partout pour participer aux bals de l’horreur, comme pour rendre service aux Français qui sont reconnaissants.

On vient du Maghreb et de l’Afrique noire, de l’Europe de l’Est, du Proche-Orient, d’Asie et d’ailleurs, chacun y allant de son mieux pour servir la France.

Mais ce sont les Tunisiens qui réalisent le meilleur score dans la catégorie « individuel ». Surtout avec l’exploit réalisé par un seul homme, le 14 juillet 2016 à Nice, avec 86 morts. Exploit auquel viendra s’ajouter celui réalisé en octobre 2020 par l’égorgement de deux femmes et d’un homme dans une église de la même ville.

Les Tunisiens font de bons résultats partout où ils se produisent.

Rien d’étonnant. La Tunisie est un foyer du terrorisme islamique. Selon « La Tribune de Genève », elle est aujourd’hui le premier pays exportateur de jeunes partis pour le djihad : en Libye, en Syrie et au Sahel.

La France les attire aussi. La France est le pays d’Europe le plus souvent visé par les attaques terroristes islamistes depuis une vingtaine d’années.

Dans la catégorie « massacres en groupe », ce sont les Marocains, dits Belges pour certains, Français pour d’autres, qui remportent la « Palme d’or » suite à leur grand show avec 130 morts en novembre 2015 à Paris. Un record qui n’a été battu que tout récemment par les vaillants combattants du Hamas sur des civils israéliens, dont des enfants et des bébés.

La Fondation pour l’innovation politique (Fondapol – un Think Tank français) a récemment publié un état des lieux du terrorisme islamiste depuis quarante ans. Selon cette étude, il apparaît que la France concentre à elle seule près de 44 % des attentats islamistes et 42 % des victimes en Europe.

On ne peut qu’être fier de la France.

Bientôt, il n’y aura plus que des Mohamed et des Abdeslam en France.

Abdeslam Mélenchon s’en lèche déjà les babines…

Messin’Issa

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