C’est le KGB qui a inventé le “peuple palestinien” et les Juifs n’ont volé aucune terre

11 septembre 2001. Attentats islamistes aux États-Unis. Bilan : 2977 morts.
7 octobre 2023. Des barbares venus de la bande de Gaza assassinent avec une sauvagerie extrême des femmes et des enfants sans défense. Bilan dans les 3000 victimes. Dans les deux cas à vingt-deux ans de distance, j’ai quasiment entendu la même réflexion : « Ah tout de même. Ils l’ont bien cherché ! ».

Je me suis posé la question. Que pouvais-je écrire de différent ou de plus sensé de ce qui s’est écrit partout ? Parfois avec une cinglante acuité de la situation. Ne voulant pas pour autant rester muet devant le drame qui se joue sous nos yeux, je veux modestement rappeler la vérité historique.

Depuis 1948 et surtout à compter de 1968 le mensonge a servi d’alibi pour imposer le malheur et servi de justificatif à ceux qui accablent l’État juif.

Novembre 1947. La première Assemblée de la toute neuve ONU à lieu. Le premier vote à la demande de Staline d’un côté et de Harry S. Truman de l’autre, c’est-à-dire les représentants des deux grandes puissances du monde. Le sujet ? Mettre en pratique ce qui avait été décidé et voté en 1920. À savoir permettre l’installation d’un foyer juif en Palestine mandataire, sous condition toutefois, qu’un partage du territoire soit établi entre la population arabe, et la population juive.

En 1947 les dirigeants de l’ONU ont donc proposé le partage du territoire. Les Juifs ont accepté. Les Arabes ont refusé. La ligue arabe qui les représentait voulait tout le territoire ou rien.
Devant leur refus les Juifs se sont donc installés. Dès lors le narratif de la « terre volée » est né. Et rien jamais n’a pu le modifier.

Cependant le peuple « palestinien » n’avait pas encore vu le jour. Jusqu’à la guerre des Six Jours, jamais le terme « palestinien » n’était utilisé qui désignait les Arabes vivant en Israël. Il suffit de consulter la presse de l’époque pour constater que le terme générique utilisé était « conflit israélo-arabe ».

La victoire durement gagnée par les Israéliens du 5 juin au 10 juin 1967 affrontant une coalition de 26 pays dont la majorité n’avait pourtant pas de frontière directe avec l’État hébreu a mis à mal la cohésion arabe. Il y avait donc urgence à trouver une autre stratégie plus efficace et qui serait en concurrence avec celle des Juifs. D’autant que la Ligue arabe et le Fatah ne pouvaient laisser la population en déshérence idéologique. Mettant de côté le refus de 1947 les dirigeants avaient promis aux Arabes qu’ils occuperaient la terre qui était « occupée » illégalement par les Juifs.

C’est ainsi que sur les recommandations du KGB — service secret soviétique — il a été décidé de modifier la grille de lecture de la géopolitique locale. Créer une sorte de miroir inversé. Faire des Arabes un peuple errant privé de sa terre empruntant aux Juifs de l’exil ce qui avait été leur enseigne durant deux mille ans. Et c’est alors que fut récupérée l’appellation : Palestinien. Lors des accords de 1920 le terme était employé de la façon suivante : Palestine mandataire. Ce sont les Anglais qui héritèrent du mandat et eurent la charge d’administrer la région. Mais les quatre cent mille Arabes qui y vivaient ne se désignaient pas eux-mêmes et ne l’étaient pas plus par la diplomatie internationale sous le vocable de Palestinien.

Le terme palestinien est né sous la plume rageuse de l’empereur Hadrien. Celui-ci agacé par les révoltes à répétition des Hébreux, décida de rayer la Judée-Samarie, et le royaume de David au nord. Et de les remplacer par l’appellation « Syria-Palestinia » Syria finit par disparaître, il resta Palestinia, qui est devenu : Palestine. Or, Syria-Palestinia, désigne un peuple de marins : les Philistins. Il conquit la bande de Gaza dans les temps lointains, puis il disparut. Il n’y a jamais eu d’implantation palestinienne. Ni peuple — il n’existait pas — et donc ni culture et encore moins une appartenance sémantique.

En 1948 les Arabes qui vivaient en Palestine « mandataire » étaient des Syriens, des Égyptiens et d’autres venant de différents pays. C’était un couloir de passage utile pour le commerce. Certains s’y sont installés. Ce qui est logique. Mais il n’y avait pas « un peuple palestinien ».
La naissance du faux peuple a été actée après la guerre de Six jours par l’ensemble de la Communauté internationale au titre d’une réalité intangible. Le narratif du peuple palestinien privé de sa terre s’est développé sans que jamais personne n’y trouve à redire. Arafat le dirigeant du mouvement terroriste « Fatah » donna au mythe une force supplémentaire en allant s’installer « en exil » au Liban puis en Tunisie. Rappelons qu’il était né à Alexandrie. Lors de son décès dans un hôpital français, le quai d’Orsay essaya sans y parvenir d’imposer le lieu de sa naissance à l’intention des journalistes à Jérusalem.

Ce qui se passe en ce moment en Israël est d’une gravité que l’on ne peut pas désigner si ce n’est comme le déclare Éric Zemmour « une guerre de civilisation ». Mais c’est aussi les suites tragiques du mensonge. C’est ce que simplement je voulais dire.

Raphaël Delpard

https://ripostelaique.com/cest-le-kgb-qui-a-invente-le-peuple-palestinien-et-les-juifs-nont-vole-aucune-terre.html

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35 Commentaires

  1. En gros, si on remonte à l’époque romaine, la Palestine, c’est le pays des juifs.
    Il y a donc usurpation d’identité et magouille politicienne, d’où les Arabes ressortent vainqueurs.

  2.  » 11 septembre 2001. Attentats islamistes aux États-Unis.  »
    Faux, pas Attentats islamistes !
    Le 11 sept est une opération pensée et organisée par l’Etat profond US. Nous en avons largement les preuves !! Les musul employés dans cette opération sous faux drapeau, furent des bouc émissaires, des pigeons pour la plupart
    Effarant de contaster que ce bobard perdure dans le monde dit patriote !!
    A part cela, j’approuve le reste de votre article. J’ajouterais quelques détails cependant. En 1920-22, la SDN propose un partage de la Palestine entre juifs et arabes. 20 % du territoire aux juifs, comprenant l’actuel grand Israël, et 80 % aux arabes comprenant l’actuel Jordanie. Les chefs arabes approuvent ce plan. Ce sont les britanniques qui vont le faire capoter. Puis viendra la 2 GM, et un second plan inepte…

    • Bonjour,

      Non, c’est totalement délirant.

      Il suffit de voir la tête ahurie de Bush, dans ses histoires de petits moutons avec sa classe, quand on lui annonce l’attentat.

      Il y a eu 50 000 attentats musulmans depuis 1979, faisant 200 000 morts (base de données de la Fondapol), on ne prête qu’aux riches comme on dit.

      Le rasoir d’Occam exige toujours la parcimonie dans les explications.

      • Certes antiislam !
        Bush est un bon acteur, n’est il pas ? ! Bon , sans doute pas aussi bon que Reagan !… ( rires ! )
        Mais enfin, il est possible aussi qu’il n’a pas été mis au courant, et qu’on l’ait mis devant le fait accompli. Ensuite, pour son intérêt, et (un peu ) celui de son pays, il a obéi à L’Etat profond…
        Etudiez cela :
        https://www.reopen911.info/#

  3. LA PALESTINE C EST LA JORDANIE 60 % DU TERRITOIRE

    israel c est les 40% restants lors du plan de partage de l onu

    la jordanie, aidée de l egypte et de la syrie ,irak et liban s est empressée d entrer en guerre contre l état juif nouveau né
    qui a vaillement tenu tête
    et survécu
    seul le liban ne signera jamais d armistice….on a vu ou ça l a mené grace aux « palestiniens », et le KGB a inventé la pâle estime

    l iran sait tout ça
    il a entrainé le hamas chez lui

  4. La Palestine n’est pas un Etat mais un proto Etat donc il ne peut pas y avoir de colonisation sur une terre qui n’appartient pas à une nation ? On peut rajouter que les terres palestiniennes n’ont jamais été exploitées par les soi-disant palestiniens mais uniquement par les israéliens qui ont ainsi enrichi toute la région ? Les Palestiniens sont très proches des Algériens, ils ne font rien et se plaignent tout le temps en implorant leur Dieu ?

    • Bonjour,

      Les Algériens ont toujours eu une haine antisémite particulière.

      Je viens de finir un livre de Soustelle, partisan de l’Algérie française, qui le notait déjà, en 1968.

      • les algériens 😒 , la pire des crevures …ils ne s’aiment pas eux même , alors aimer les autre , pensez donc….Les seules choses que ces chameaux savent faire c’est mentir , voler , détruire , haïr , salir , violer et se plaindre.

  5. Ce que je n’ai jamais compris c’est qu’on lit dans la Bible des interactions entre Jésus et les Juifs, c’est donc qu’à ce temps-là, il n’y avait que les Juifs étaient bien là y compris en Palestine.

    Je suis naïve sans doute là, je sais, mais je n’ai jamais creusé tous ces conflits que je n’ai jamais compris et qui me paraissent bien et trop compliqués.

    • @Amélie

      petite précaution oratoire : depuis des années que je lis vos commentaires, je vous apprécie « personnellement » si on peut dire, et j’apprécie la qualité de vos réactions. Je suis néanmoins, pour ce commentaire-ci, assez étonné de votre dénuement d’éléments sur la question.
      D’abord et avant tout, Jésus est juif, au sens étymologique, c.-à-d. Judéen.
      C’est en tant que Judéen qu’il prétend à la royauté (INRI) à la tête de ce peuple (le messie étant un mot synonyme de roi, puisque l’onction par l’huile (machiah’ en hébreu) constitue la cérémonie d’intronisation du roi d’Israël).
      Il est donc nécessairement judéen parce que les rois d’Israël viennent de la tribu de Judah. S’il en avait été autrement (p.ex. s’il avait été de la tribu de Lévi), il aurait été illégitime dans sa prétention à la royauté.

    • Amélie

      « interactions entre Jésus et les Juifs, »

      mon petit fils qui a trente ans m a dit qu il s ‘agissait de querelles intrafamiliales

      ça m a plu 😊

      • Cher Machinchose,

        Vous m’avez fait rire et en plus, vous avez, via votre petit-fils, bien résumé la situation !

    • [suite]
      De plus, à l’époque, au temps de Jésus, il n’y a pas de Palestine, c’est un pur anachronisme qui équivaut à parler de Vercingétorix en disant qu’il vivait en France.
      Jésus meurt aux environs de l’an 33 (je ne sais pas ce qu’en disent les théologiens chrétiens). La terre de cette époque s’appelle la Judée.
      Le nom Palestine n’entre en vigueur qu’en 135, après la Révolte des Juifs, à la chute de la ville de Beitar.
      Ce n’est pas seulement la Judée qui se voit donc renommée pour faire disparaître le peuple Juif, c’est aussi Jérusalem, qu’Hadrien renomme en Ælia Capitolina

      Parler de « Jésus le Palestinien » comme l’a fait Arafat est un anachronisme tout comme si l’on parlait de Jules César l’Italien ou de Saint-Paul le Turc.

      • @Pikachu

        « Le nom Palestine n’entre en vigueur qu’en 135, après la Révolte des Juifs, à la chute de la ville de Beitar.
        Ce n’est pas seulement la Judée qui se voit donc renommée pour faire disparaître le peuple Juif, c’est aussi Jérusalem, qu’Hadrien renomme en Ælia Capitolina »

        Je ne connaissais pas ce temps de l’Histoire du Peuple Juif, je pensais que le terme Palestine était moins ancien. Il me semble d’ailleurs que ce terme désignait un peuple disparu, et donc, les Palestiniens actuels ne seraient pas les descendants directs.

        • @Amélie Poulain

          effectivement, les Philistins sont un ancien peuple abondamment mentionné dans la Bible, mais au temps de Jésus, ce peuple a déjà disparu de la carte.
          De même Israël aurait dû avoir disparu depuis pas mal de temps, expulsé dans un premier temps par les Assyriens (10 tribus sur 12) puis ce qu’il en restait par Nabuchodonosor.
          Il y eut, après Nabuchodonosor, avec le roi Cyrus, un édit permettant aux Juifs de retourner en Israël, reconstruire leur nation, leur temple.
          C’est donc la résurrection du peuple d’Israël, jusqu’à la destruction par les Romains.
          Dans cette deuxième période, les Philistins ont, me semble-t-il, déjà disparu de la carte.
          Il serait intéressant de préciser à quel moment les Philistins ont disparu. Si quelqu’un a des connaissances (archéologie, histoire) à ce sujet …

          • Le Philistin étaient probablement un peuple grec ou proche installé pour le commerce dans la région de l’actuel Gaza…
            Les citées philistines auraient été détruites par les babyloniens lors de leur conquête d’Israël conduisant à la mise en esclavage des israéliens, pour ceux qui n’avaient pas fui !

          • @Jean-Paul Saint-Marc

            Merci Jean-Paul, sujet très intéressant et fondamental.
            J’essaierai d’en savoir plus sur le sujet.
            Si vous avez des infos particulières et que vous ayez l’envie d’en faire un article, je le lirai avec avidité !

        • @Amélie Poulain

          ce temps de l’histoire du peuple juif est fondamental, pas seulement parce qu’il va signifier le début de son exil, mais surtout parce qu’il nous éclaire sur la pierre d’achoppement entre Chrétiens et Juifs, à savoir, pourquoi les Juifs n’ont pas reconnu Jésus comme Messie.
          Cette Guerre des Juifs contre Rome fut menée par un « messie », Bar Kokhba, et désigné comme tel par les autorités religieuses de l’époque. Son échec démontra qu’il n’était qu’un faux-messie.
          Néanmoins, très très prosaïquement, cette histoire explique toute l’affaire Jésus : à l’époque, les Juifs n’attendent rien de plus, et rien de moins qu’un roi. Un roi qui redonnera au peuple Juif sa souveraineté sur sa terre. Tout candidat à cette mission, consistant à bouter les romains hors d’Israël est potentiellement le messie et sera suivi dans cette guerre. Et à l’inverse, tout candidat messie qui n’envisage pas ce programme « souverainiste » est disqualifié. L’essence d’un roi, c’est l’indépendance, la souveraineté de son peuple.

          • [suite]
            Et c’est d’ailleurs pour cela que les Romains crucifièrent Jésus !!!
            Tout simplement parce que tout trublion qui oserait ne serait-ce qu’imaginer un soulèvement contre eux, une émancipation de leur tutelle, serait impitoyablement éliminé.
            Le point de vue des Juifs, sur la passion de Jésus, n’est pas du tout mystique ou « religieux » en soi, mais très terre-à-terre, il a été identifié par les Romains comme « indépendantiste », et soumis à un interrogatoire en règle :
            Luc 23, 3
            Pilate demande à Jésus : « Est-ce que tu es le roi des Juifs ? »
            [Jésus comprend très bien que s’il répond oui, il sera mis à mort, pour les raisons évoquées plus haut.]
            Jésus lui répond : « C’est toi qui le dis. »

          • Merci @pikachu d’avoir pris le temps de votre intéressant commentaire. Que Jésus ait dérangé politiquement, je veux bien le croire.

    • [re-suite]
      Jésus est un Juif (= Judéen, en arabe Yahoud, en hébreu Yehoudi, en Allemand Juden) qui vit en Judée, il n’y a alors aucun arabe dans cette terre, et tous ses disciples/apotres sont des Juifs. Aucun élément « étranger » dans cette affaire. Le premier chrétien qui ne soit pas Juif arrive alors plus tard, il s’agit du centurion romain Corneille, il n’a pas connu Jésus.
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Corneille_(centurion)
      https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volte_de_Bar_Kokhba

      • Autrement dit,
        le « christianisme » est à l’époque, une simple secte du judaïsme avec à sa tête un leader/Rabbin charismatique.
        J’ai mis christianisme entre guillemets car il s’agit, là aussi, d’un anachronisme. Du temps de Jésus, le christianisme n’existe pas. Il est l’oeuvre de Saint-Paul et donc postérieur à la vie de Jésus.

        • @Pikachu,

          Merci beaucoup pour vos riches explications, je ne connaissais pas tous ces détails pour ne pas m’être penchée attentivement sur ce pan de l’Histoire de ce conflit mais j’en connais quand même l’essentiel, rassurez-vous (ma phrase aura donc permis de nourrir un peu plus mes connaissances).

          Donc ce que vous avez décrit de Jésus je le savais bien sûr y compris que la Palestine n’existait pas, et ma phrase s’attachait justement à le souligner. Maladroitement sûrement…

          Maintenant, et à juste titre vu ces précisions il me semble, ce que je n’ai jamais compris c’est cet acharnement des Palestiniens à perpétrer un conflit de territoire quand on sait ce que l’on sait de Jésus et de l’inexistence de la Palestine à ce moment-là.

          Il y a des détails qui doivent m’échapper et quand on n’est pas précisément dans le sujet vu la complexité et la durée de cette guerre sans solution apparemment depuis tant de temps, il y a de quoi être un peu perdu.

          J’espère avoir été plus claire cher Pikachu ! Moi aussi j’apprécie de vous lire, vos écrits sont toujours très riches.

    • Du temps de Jésus, la « Palestine » n’existait pas .C’est à la suite de la révolte de Bar Kochba (132-135), que l’empereur romain Hadrien a appelé la région la « Palestine », et ses habitants les « Palestiniens », par dérision car des envahisseurs étaient venus dans cette région: les Philistins, réputés pour leur brutalité imbécile. Il a également rebaptisé Jérusalem « Aelia Capitolina »: Aelia parce que lui-même faisait partie de la « Gens Aelia » et « Capitolina » en hommage à Jupiter Capitolin. L’adjectif « philistin  » désigne encore, en français, un crétin inculte, une brute épaisse .En anglais, « philistine » a la même signification, mais je crois qu’il est employé plus couramment qu’en français.

      • Merci pour vos précisions qui donnent une image pas très glorieuse de ce terme Palestine qui soulève pourtant tant de passions tristement meurtrières.

      • Parfaitement exact ! on pourrait ajouter que le mot « Palestine » est une manière pour les Romains de signifier que la Judée n’est plus juive et d’humilier les Juifs. En effet, ce terme latinisé provient d’une racine hébraïque qui signifie « envahisseurs, occupants, intrus », qualificatif péjoratif par lequel les Hébreux nommaient les « peuples de la mer », les fameux Philistins de la Bible, installés dans ce qui est aujourd’hui plus ou moins la bande de Gaza. Progressivement, ce terme avait pris la signification d’ennemi symbolique des Juifs. En renommant la Judée « Palestine », les Romains en font donc symboliquement le pays de l’ennemi symbolique ! Vengeance et humiliation…

    • @Amélie, je pense que vous voulez parler des pharisiens, ces prêtres israélites que Jésus combattait.
      Les juifs n’ont pas accepté Jésus comme étant le Messie annoncé par les prophètes.
      Les juifs attendent toujours leur Messie, du moins ceux qui sont restés fidèles à la religion juive.
      Puisque beaucoup de juifs ont choisi de suivre Jésus et son nouveau message, et de là est né le christianisme.

  6. Je pense que cette affirmation est juste et pourtant c’est l’Union soviétique qui en 1948 a été la première à reconnaître l’existence de l’État juif quel paradoxe!
    Mais voilà la guerre froide et les grandes manipulations de l’histoire on fait le reste.
    Une solution entre deux états était encore possible mais il est clair qu’il y a une telle haine du côté des Arabes musulmans de ce territoire qui sera elle ne pourra s’en sortir qu’en isolant totalement d’eux, et s’il le faut avec un mur semblable à celui qui existe entre les deux Corée.
    C’est triste mais je ne vois pas d’autre solution.

  7. C’est pourquoi Poutine a exhorté il y a deux ou trois jours, la création d’un État palestinien. Personnellement, je ne souscris pas à ce souhait qui ne me paraît que tactique par rapport aux USA comme l’a voulu les Soviets (KGB) et non par intérêt humanitaire. Ceci dit, s’il y a création effective d’un état palestinien, il y a de fortes chances que ceux qui en bénéficieront ne vont pas en rester là et continueront à revendiquer par les violences contre Israël les territoires qui ne leur appartiennent pas.

    • Même un État palestinien ne les calmera pas mais je pense qu’il n’y a pas d’autres solutions qu’un mur armé gigantesque ça à fou mais un mur, comme dans le film « Priest » ou dans « World War Z ».Un ouvrage similaire au 38 ème parallèle entre les deux Corées.
      La Chine se protégeait bien derrière une grande muraille des invasions Mongoles.

      • Ils ne sont que deux millions, et le territoire est minuscule.
        La meilleure solution est de les envoyer ailleurs, ils n’ont aucune légitimité sur cette bande.
        Leur seule préoccupation est de nuire et de détruire Israël.

  8. Bravo, et merci :vous ne dites pas « quelque chose d’original », vous exposez la vérité avec une clarté remarquable, à l’aide de vos connaissances historiques.Vous mettez de l’ordre là où l’esprit des gens est embrouillé par la propagande. Je n’ai pas osé m’y risquer car je n’avais pas, comme vous l’avez, la vision nette du déroulement des événements. Il me semble avoir lu que le départ des Arabes leur avait été recommandé par les dirigeants arabes, afin de permettre l’éradication des juifs, avec promesse de retourner dans leurs foyers après le « nettoyage ». Il sont allés en Jordanie et au Liban, je crois ? C’est ça, leur « exil » ? Grâce à vous, on va pouvoir renseigner tous ceux qui nos disent : »Je n’y comprends rien ».

  9. Voilà une révélation qui va refroidir les fans du Palestichien notamment les Islamo Gauchistes d’extrême gauche de LFI avec Rachid Mélenchon l’enfariner, Louis Bobard, la Grosse Poularde Mathilde Panot, Manuel Bompard alias Hakim Ibn Saied, Satanas Kazib, Siham Assbague, Sophia Chikirou alias Kikirou et Tutti Quanti. Le peuple Palestichien a été une invention du KGB maintenant appelé Le FSB les services secrets Soviétique dans un contexte de Guerre Froide mais fait très mal aux Gauchiasses du monde Politico Médiatique, politique et culturel au sujet de cette histoire !

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