Posez une simple question aux gens, du plombier au chercheur président d’université: qu’est ce que la science ? 99% des gens, même les plus diplômés répondront: la recherche de la Vérité. Cette réponse est en soi le signe du déclin intellectuel majeur de l’Occident…
La recherche de la Vérité, c’est la Religion ! La Science, c’est la remise en cause perpétuelle de la Vérité ! C’est l’inverse, c’est Copernic, Darwin, Galilée…Giordano Bruno…Descartes et le doute méthodique etc et non pas Lissenko !
Partant de là, quand une société se construit sur un contre sens de cette ampleur, il n’est pas étonnant que politiques et scientifiques se comportent comme des religieux, c’est à dire nous impose l’Inquisition… C’est dans la nature de leur croyance de ce qu’est la Science…
Une seule solution, simple, enseigner dans les écoles la bonne définition de la science… Mais aucun enseignant ne le fera, eux qui se croient encore Missionnaires évangélisateurs, prêtres parmi les prêtres…
Juvénal de Lyon
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Pour conclure, ceux qui ont cru au faux vaccin à ARN, sans qu’aucune vérification n’ait été faite, ni aucune preuve de non transmission du virus apportée, sont tombés dans le domaine de la religion, càd de la croyance.
Et le pire dans tout ça, c’est qu’ils ont fait appel de la science pour justifier leurs croyances.
** Quelle hérésie !!!!
La science procède par un esprit analytique, et synthétique, des déductions logiques.
La religion est du domaine de la croyance.
La science est un long cheminement de découvertes, d’inventions, d’aller-retours, de remises en question, de recherches plus ou moins infructueuses, de bons en avant inattendus, dus au hasard ou à la chance.
La religion est figée définitivement sur des bases immuables.
La science ce sont des questions organisées en questionnements à travers des protocoles élaborés.
Bon, c’est un mot qui a été galvaudé voire instrumentalisé actuellement…
Sandrine Rousseau: « Je préfère une femme jeteuse de sorts à un ingénieur ». Tout est dit même venant d’une imbécile.
L’emploi des termes mêmes de « parole d’Evangile » pour signifier La Vérité en dit long, en effet, sur la perception de l’institution religieuse. Le pompom revient aux musulmans qui prétendent que tout est écrit dans le coran et qu’il faut s’y référer pour trouver les solutions à tous les problèmes se posant aux humains.
La science c’est la logique, l’intelligence, l’interrogation sur les phénomènes naturels et faire de la contradiction sur un sujet scientifique qui pose les bases d’un débat contradictoire mais malheureusement la science est victime de l’idéologie LGBTQ+ TXE avec l’histoire de la théorie du genre, la folie écologique où plutôt ecologauchiste qui s’appuie sur des mensonges scientifique avec le sujet du prétendu Réchauffement climatique qui est selon ces mêmes Ecologauchistes du monde Politico Médiatique et scientifique se base sur les allégations du GIEC qui je rappelle est un organe de propagande écologique soutenu par les Cinglés du climat. La science c’est l’instruction et le développement de l’intelligence sur comment le monde fonctionne et les progrès qui vont avec.
La religion, recherche de la vérité ? Bel oxymore. La religion ou plutôt les religions ne sont qu’un ensemble d’explications plus ou moins fantaisistes de la création. La science, c’est une tentative cohérente de l’explication du réel, sans cesse remise en question à mesure des nouvelles découvertes. On ne pense plus en 2023 comme on le faisait en 1950 ou au dix-neuvième siècle. L’homme en est-il plus heureux pour autant? La science apporte-t-elle le bonheur?
Argo Blaise Pascal, au 17 eme siecle, disait qu il n y avait pas de réelle découverte scientifique individuelle car chaque savant mettait les pas dans les précédents, autrement dit la Verité scientifique n existe pas, elle évolue
Bonjour Argo, vous avez raison.
https://philosciences.com/philosophie-et-psychopathologie/145-galilee-proces
Le procès de Galilée et ses enjeux idéologiques. L’image ci-dessous montre Galilée (de son nom Galiléo, fils de Galiléi) se rétractant lors de son procès. Il est placé au centre, entre l’homme-d’arme et l’homme-d’église, entre la violence et l’autorité religieuse. C’est une figure allégorique peinte par Joseph-Nicolas Robert-Fleury (XIXe siècle) représentant le procès qui a eu lieu en 1633. Si il ne c’était pas rétracté, lui le scientifique devant le religieux, il aurait tout simplement été brûlé.