Explosion à Paris : un accident, comme AZF ou l’incendie de Notre-Dame ?

Les médias complices des Macronescu ont respecté les consignes. Plaindre les victimes, déplorer les dégâts, encenser les témoins et glorifier les pompiers. Mais surtout attendre deux jours avant de propulser l’unique hypothèse retenue, avant toute enquête sérieuse. C’est le gaz, brave gens. C’est forcément vrai puisque toute la chaîne du pouvoir, du sous-préfet à la Bornée, l’affirme.

On ne trouvera pas trace d’un explosif qu’on ne cherche pas

Un immeuble qui s’effondre par la façade et entraîne dans sa chute les immeubles voisins et fout le feu à tout le quartier, faisant 29 blessés dont 6 graves, ça ressemble à une bombe de forte puissance placée dans les étages inférieurs, ou à un missile qui a frappé la façade de plein fouet.

Je pencherais plutôt pour le missile. Avec le marché noir des Balkans, alimenté maintenant par la coule ukrainienne, il est aussi facile de se procurer un stinger, ou autre missile individuel à courte portée, que d’acheter une kalachnikov. Et de ramener l’engin de mort en France dans le coffre de sa bagnole sans souci, vu la porosité des frontières.

Le missile tactique est facile d’usage, utilisable par le premier crétin venu, alors que la fabrication d’une bombe exige des compétences que tout le monde n’a pas. Même en suivant les modes d’emploi détaillés sur Internet. Les dosages et le mécanisme sont compliqués. Et il ne manque pas d’exemples où des terroristes maladroits se sont fait exploser la gueule.

Un missile ? Il y a des précédents aux effets comparables

L’usine AZF à Toulouse

Le 21 septembre 2001, une usine d’engrais azotés explose en pleine zone urbanisée faisant 31 morts, 2500 blessés et laissant 14.000 personnes traumatisées. Des victimes collatérales toujours sous traitement pour dormir, calmer leurs angoisses ou soigner une dépression, dix huit mois après l’explosion.

La déflagration a été entendue jusqu’à 75 kilomètres. L’équivalent d’un séisme de magnitude 4 sur l’échelle de Richter, creusant un cratère de 40 m de diamètre et de 6 mètres de profondeur. Avec un angle d’attaque d’environ 45 degrés venu du ciel et une dispersion semblable à celle d’une frappe aérienne. La plupart des murs se sont effondrés.

Même le très politiquement correct Douste-Blazy, dit Rouston Blasé, alors maire de Toulouse qui traînait dans le coin et a été passablement secoué, parle de « zone de guerre et d’attentat » avant de se déjuger sous la pression insistante de son ami Chiracula le vampire. Grand admirateur de tout ce qui est islamiste. En particulier les séjours somptueux offerts dans leurs palais des mille et une nuits par les dictateurs orientaux et les émirs du pétrole. Il ne veut fâcher personne.

Un accident ? Mon œil !

Version officielle rabâchée comme un seul homme ou femme par les médias-menteurs : c’est une catastrophe industrielle due à des réactions chimiques qu’on n’a pas su prévoir. Comme il faut une explication plausible, on parle de 400 tonnes de nitrate d’ammonium entreposés sans précautions dans un hangar. Où ils se seraient enflammés tout seuls avant d’exploser.

La justice s’empare du dossier et condamne quelques lampistes en poste au mauvais endroit au mauvais moment. En outre, à la demande d’un comité de mahométans modérés, elle condamne sévèrement deux journalistes honnêtes (une espèce rare) qui avaient osé formuler l’hypothèse d’un attaque islamiste. Dix jours après l’assassinat du commandant Massoud et l’attentat des Twin Towers.

Mais il ne faut pas stigmatiser. Surtout pas d’amalgame ! Un autre mahométan modéré a été suspecté, à tort bien sûr, d’avoir aidé aux repérages et au guidage. Retrouvé mort dans les décombres, il portait six calebards superposés. Pour protéger son service trois pièces. Sinon à quoi ça sert qu’Allah il te refile 80 chaudasses si tu ne peux pas les honorer ?

Détail insignifiant : on a oublié de dire au bon peuple que ces engrais un peu spéciaux n’étaient pas destinés à des fermiers. Ils avaient été vendus à l’US Army qui s’en servait comme explosifs dans ses « daisy cutters» (les faucheuses de marguerites). Les plus fortes bombes conventionnelles à l’époque, utilisées en Afghanistan pour débusquer les djihadistes dans leurs repaires. Le bruit a couru que Ben Laden, déjà ciblé depuis au moins deux ans, en fut tellement secoué que son ouïe et son sommeil en pâtirent.

Un crime parfait malgré pléthore de témoins

L’usine AZF était située relativement près de l’autoroute d’où on pouvait la voir. Ce jour-là, il y avait de gros embouteillages sur l’autoroute, suite à un accident. En attendant que la voie se dégage, des automobilistes étaient sortis de leurs véhicules pour ne pas y cuire dedans. En septembre, il fait encore chaud à Toulouse.

Et comme à Toulon, des centaines de témoins affirment avoir vu un flash lumineux traverser le ciel, et entendu un sifflement aigu juste avant l’explosion. L’enquête confiée aux RG, puis à la DST (étrange pour un simple « accident ») conclut à un phénomène d’hallucination collective. À l’époque, le mot « complotiste » n’était pas encore à la mode.

En ce temps-là, on n’avait pas des smartphones

Mais des parents ont fait une photo instantanée de leurs gamins assis sur le capot. Au moment critique. D’après ces gens, on voyait clairement sur le cliché en arrière-plan une traînée blanche traversant le ciel, en direction de l’usine AZF. Par civisme, ils ont remis la photo aux flics qui l’ont confisquée puis égarée. Et comme avec les Polaroïd il n’y avait pas de négatif récupérable…

Quant à l’invitation de ces témoins à la télé, elle a été décommandée au dernier moment, et on n’a pas eu l’élégance de leur rembourser les frais de voyage à Paris.

Et avant Toulouse, la maison des têtes à Toulon

Le 15 février 1989, une explosion « d’origine inconnue » détruit entièrement un immeuble de cinq étages, faisant 13 morts et 32 blessés.

Des habitants du quartier et des victimes affirment avoir vu un flash lumineux et entendu un sifflement aigu juste avant l’explosion. Comme à Toulouse. Des prélèvements dans les décombres révèlent des traces de tungstène entrant dans la composition d’explosifs militaires. Mais après 20 ans d’enquêtes, on conclut que c’est la faute au gaz.

Au moment de l’explosion, il se déroulait dans la rade de Marseille, une opération militaire conjointe du nom de Phinia7 associant le destroyer USS Austin à des bâtiments français. Les officiels US le reconnaissent. Les Français font le dos rond et classent tout le dossier «secret défense». On aura le droit de le consulter en 2090. Cent ans après les faits.

Pas question d’admettre qu’un missile fou a échappé aux irresponsables qui s’entraînaient au cœur d’une zone résidentielle densément habitée.

Il ne faut plus laisser nos militaires jouer avec des armes

L’histoire se répète. Comme pour la Caravelle Ajaccio-Nice abattue en plein ciel au large d’Antibes, le 11 septembre 1968, par un missile tiré de la frégate Suffren, pile poil sur zone. Et plus tard comme pour le «massacre d’Ustica » un Douglas DC 9 italien abattu par erreur le 27 juin 1980 par un missile français qui l’aurait confondu avec un Mirage made in France vendu à Kadhafi… Encore une maladresse inexcusable couverte par le secret-défense. Avec comme à Toulon, une responsabilité partagée avec l’OTAN puisqu’il s’agissait de manœuvres communes…

Autres éléments de comparaison : les tirs russes sur l’Ukraine

Lorsque les Russes envoient leurs missiles Kalibr ou Kinjal sur des bâtiments dits « civils », en fait abritant des snipers, des dépôts de munitions ou des artilleurs au milieu des écoles, des magasins, des hôpitaux et des immeubles d’habitation, on observe les mêmes dégâts qu’à Toulon naguère et à présent à Paris. Façades éventrés, écroulement total ou partiel de l’immeuble, dislocation des constructions adjacentes par l’onde de choc, et incendies qui débordent du périmètre de frappe… Parfois il suffit d’un drone bien chargé pour provoquer des effets de démolition similaires.

La balistique et la connaissance des effets des explosifs sont aujourd’hui des sciences relativement exactes. La police scientifique serait à même de déterminer la nature de l’explosif et la charge en fonction des dégâts sur les structures. Ainsi que le dispositif de mise à feu et le vecteur de frappe d’après les débris ramassés dans les décombres. Mais soit on ne sollicite pas leur expertise, soit ils doivent signer des conclusions rédigées d’avance. Le gaz protège la paix civile, et la quiétude des décideurs, aussi bien que le mégot magique de Notre-Dame.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/explosion-a-paris-un-accident-comme-azf-ou-lincendie-de-notre-dame.html

 

 1,419 total views,  2 views today

image_pdf

13 Commentaires

  1. c’est certainement un coup des extras terrestres à moins que ça viennent du cosmos…

  2. La cause est établie : c’est un mégot de cigarette mal éteint qui a provoqué l’explosion de l’immeuble de la rue Saint Jacques !
    Et de la même marque que celui qui a causé l’incendie de Notre Dame.
    Dormez en paix !

  3. D’après les témoins, l’explosion a précédé la fuite de gaz.
    Reste à savoir quel type d’explosion.
    Il s’agissait d’une école, donc n’importe qui pouvait y entrer sans se faire remarquer.
    L’explosion a fait éclater les conduites de gaz et les flammes ont pris le relais.

  4. Je penche plutôt pour la seconde hypothèse c’est à dire un incendie comme celui de Notre Dame en 2019 mais une autre probabilité montre que c’est aussi une attaque terroriste mais tout est possible avec ce qui s’était passé à Paris dans le 5e arrondissement de la capitale !

  5. Ce sont des questions effectivement que je me suis posées, merci, je ne suis pas la seule.

  6. Manipulation, corruptions et mensonges, comme d’hab en macroni. Surtout, surtout n’allez pas dire que c’est un acte terroriste contre notre pays par un muzz djihadistes. C’est pas possible les muzzs sont nos amis, ils nous le prouvent tous les jours par des vols, des viols, des injures, des attaques aux couteaux etc… non on vous dit que c’est li gaz. A mé.

  7. Tout n’est qu’accident dans la Macronie : Notre-Dame, explosion d’un immeuble; même les victimes d’agressions au couteau sont venues bêtement s’empaler sur un innocent adepte de Mahomet qui se curait les ongles avec son canif. Et même l’élection de Macron est un accident…de parcours. Élu par des abrutis, réélu par ces mêmes abrutis, eux-mêmes victimes d’un accident cérébral dû à la lobotimisation de la partie de leur cerveau dédiée à la réflexion, lobotimisation entreprise depuis des années par la presse collaborative, la télévision hypnotique et l’Education nationale.

  8. Mais voyons ! L’explication est simple :c’est à cause du réchauffement climatique !!!

  9. Je ne sais plus sur quel site j’ai lu (sur mon smarphone) qu’il n’y avait pas de gaz dans cet immeuble. Tout était électrique.
    •••
    Pour AZF, je suis passé sur l’autoroute le surlendemain. J’ai vu l’horreur, pire qu’une scène de guerre. Je n’avais jamais vu la « guerre » ailleurs qu’au cinéma et à la télé. Ça foutait la trouille et j’ai et j’aurai toujours en tête cette image.

  10. Bravo pour cet article et merci.

    C’est une offensive que je prévoyais. Et attendons-nous à la guerre des drones de « poche » que tous les pékins fraîchement frencés auront par cinq ou dix dans leurs sacoches. Et là, ça ne va pas être jojo.

    N’oublions pas non plus l’apparition des drones minuscules, certains comme des insectes. Si pour la majorité de la population Française, l’idée même d’en posséder ne fleure pas l’esprit ; celle de comment s’en procurer est encore plus éloignée.

    Par contre, la nouvelle population frencèse, elle, sait parfaitement comment s’approvisionner et même comment les fabriquer.

    Ça nous promet de beaux jours.

    Pour en revenir au marché noir de l’armement ; oui ! Beaucoup de l’armement envoyé à l’Ukraine est écoulé dans ce marché. Il y a à peine quelques jours j’ai vu passer des infos chiffrées. Des américains, entre autres qui demandent des comptes, tant les stocks d’engins et munitions envoyés à l’Ukraine sont importants et que même si beaucoup sont détruits par l’armée russe, il y a des incompréhensions et d’inquiétudes puisque l’on retrouve de ces armes en quantité ailleurs qu’en Ukraine.

    • Le bruit déjà courait depuis longtemps e la fuite des armes et munitions envoyées en Ukraine.
      Là une info se précise :
      ■ Les armes fournies à l’Ukraine apparaissent déjà aux frontières d’Israël | 23/06/2024
      ○ STRATPOL.com : https://tinyurl.com/yc6e9k49

      • Certaines caves de nos cités sont pleines d’armes provenant de la guerre en Yougoslavie.
        Les affaires continuent….

Les commentaires sont fermés.