Depuis une bonne année les écolos-dingos à la manoeuvre, traduisez aux manettes de la France ont édicté et fait appliquer une règle étrange, choquante, riche en conséquences néfastes : Entretenir les espaces verts autant que nécessaire mais aussi peu que possible
Selon plusieurs témoignages, les médecins voient une augmentation substantielle des cas d’allergie… et serait mise en cause la nouvelle mode, à savoir qu’on ne coupe plus l’herbe même en pleine ville, on ne tond plus les pelouses des ronds-points que quelques fois par an, histoire de préserver la « bio-diversité », les reptiles et autres oiseaux… et de multiplier les pollens dans nos villes !
Et c’est ainsi que partout c’est la jungle, que ce soit sur les bas-côtés des routes de campagne ou sur les espaces verts urbains. Quand on est con, on est con et hop ! des directives, européennes, macroniennes, de source écolo-dingo modifient le paysage, le mode de vie et la santé des Français mais tout le monde s’en tape le coquillart.
Dois-je faire remarquer, à tout hasard, que jamais les Français n’ont mis au pouvoir les écolos-dingos mais que ceux-ci ont obtenu du pouvoir par la grâce des félons socialauds ou macronistes qui leur ont donné portefeuilles et possibilité de légiférer pour nous empoisonner la vie ?
C’est que tous ces tarés ont décidé de se pencher (quelle horreur !) sur le « fauchage raisonné des talus ». On ne fauche plus que le minimum, 2 ou 3 fois par an !!! Non seulement les cons végétalisent les immeubles à Paris (mais la mode se répand à la vitesse de la poudre) mais ils veulent que nous retournions au Moyen Age et que la nature vainque l’homme, vainque la ville !
Résultat des courses : les herbes et pollens se multiplient. Et comme il faut préserver la bio-diversité ils vont bientôt aller mettre des vipères dans les massifs des ronds-points, non ?
Exemple dans la vallée du Doran, mais c’est la même chose partout.
La CCVG, gestionnaire du réseau de voirie intercommunal, assure la campagne annuelle de fauchage des abords des routes sur les 5 communes. Une pratique qui évolue désormais pour faire rimer sécurité des usagers et préservation de la biodiversité.
Aussi, si la sécurité des usagers (automobilistes, cyclistes, piétons…) reste une priorité absolue, les pratiques d’entretien de ces espaces s’attachent désormais à minimiser l’impact écologique sur les milieux tout en réduisant les coûts pour la collectivité qui en a la charge. (tiens, tiens… personne n’en parle naturellement)
Plus proche de la nature et plus respectueuse de l’environnement, la fauchage raisonné tient compte des spécificités de chaque espace pour lui appliquer une gestion adéquate en limitant les interventions.
Pour ce qui concerne les abords des routes et chemins, cela se traduit par une planification des fréquences et périodes de passage et une modification des hauteurs et des largeurs de fauchage selon que l’on se trouve sur l’accotement ou sur le talus.
La fauche de sécurité (avril – mai)
Comme son nom l’indique, cette « fauche » doit permettre d’assurer la sécurité des usagers. Elle vise à :
- délimiter le bord de chaussée pour assurer la lisibilité et la zone de récupération
- dégager la signalisation
- maintenir la visibilité dans les virages et aux carrefours
- permettre l’arrêt urgent des véhicules et la circulation des piétons.
Elle concerne uniquement la « bande de sécurité », c’est à dire la zone (de +/- 1 mètre) qui fait la transition entre le minéral de la chaussée et le naturel du fossé ou du talus.
La bande de sécurité demande une à trois fauches dans l’année.
Cette première passe ou « fauche de sécurité » a lieu entre le 15 avril et le 15 mai.
La fauche se fait à une hauteur minimum de 10 cm de façon à ne pas mettre le sol à nu pour l’imiter l’érosion, éviter l’apparition de plantes invasives (ambroisie…) et la destruction des rosettes (feuilles basses) de certaines plantes.
La fauche d’été juillet / août (selon la météo)
Cette fauche est adaptée à la lutte contre la prolifération de l’ambroisie, dans les mêmes conditions que la fauche de sécurité de printemps.
La fauche tardive (fin septembre – fin novembre)
Elle concerne les fossés et talus.
Les fossés ne sont fauchés que par nécessité de sécurité (visibilité) et de prévention des inondations.
Pour les fossés, l’entretien consiste à éviter l’accumulation des feuilles morts, branches ou déchets susceptibles d’empêcher le bon écoulement de l’eau.
La présence d’herbe dans le fossé n’a pas d’action négative sur le passage de l’eau, au contraire. L’herbe favorise l’infiltration de l’eau dans le sol. Ses racines jouent également un rôle positif dans la filtration des eaux de ruissellement.
Une seule intervention dans l’année est suffisante.
Cette fauche tardive a lieu dans le respect des cycles biologiques des espèces, végétales ou animales, qui trouvent refuge dans ces espaces.
La hauteur de coupe minimum est de 15 cm.
Les produits de fauchage sont, dans l’idéal, évacués afin de ne pas favoriser le développement d’espèces envahissantes (chardons, orties, gaillets gatteron…).
Préservation des haies
La CCVG, via sa politique agricole, s’engage à ne pas tailler les haies du 1er avril au 31 juillet sauf en cas de problème de sécurité impérieux, conformément à l’arrêté du 24 avril 2015 relatif aux règles de bonnes conditions agricoles et environnementales – BCAE (Article 4 – III. – En application du dernier alinéa de l’article D. 615-50-1 du code rural et de la pêche maritime, pour la métropole, il est interdit de tailler les haies et les arbres entre le 1er avril et le 31 juillet.)
Dans le cadre des Mesures Agro-Environnementales et Climatiques (MAEC), certaines haies d’exploitations agricoles ne doivent pas être taillées durant plusieurs années.
Un plan dédié à la protection des haies est transmis à cet effet en début de chaque saison pour les identifier. Pour ces haies spécifiques, il s’agira uniquement de faire la taille les ronces à 10 cm minimum de la haie.
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Certaines mesures écologiques prises dans l’intérêt de chacun, sont utiles contre lé sécheresse et pour aider à emplir les nappes phréatiques.
Mais , comme pour la consommation d’alcool, en toute chose appliquons la modération.
Plutôt que de laisser pousser n’importe comment, n’importe où, cherchons l’origine de la disparition des insectes.
Seulement cela implique d’affronter le puissant lobby de l’agrochimie.
Vous préférez sans doute l’utilisation du Rondstop – je veux parler du produit cancérigène qui a été interdit… Ces produits phytosanitaires qui » tuent les mauvaises herbes » en même temps que nos insectes si utiles, ont une persistance inattendue dans les sols. Fongicides et herbicides contaminent les sols mais comme leurs nuisances ne sont pas directement perçues, personne ne songe à leur attribuer tous les maux dont souffre la population, des allergies aux maladies neuro-dégénératives les plus graves… Enfin, je me permets de rappeler que les allergies proviennent non pas de l’herbe au sol mais des pollens, donc des arbres, comme les cyprès, platanes, etc… Alors, faut-il couper tous les arbres pour protéger ceux qui souffrent d’allergie ? Tuer toute la nature pour sauver l’humain, voilà la bonne idée ! du moins en apparence…
Je suis adepte de la permaculture et fier d’aider nos abeille à continuer à faire du miel pour nous, cet aliment digne de l’ambroisie. La tonte doit être raisonnée. Les décapiteurs fous des fleurs sauvages sont des timbrés. La vraie question, c’est de savoir pourquoi tant de gens sont devenus allergiques au pollen…
Bonne question, il n’y en avait pas avant.
Avant quoi ? La prolifération des vaccins ?
L’arrivée de nouvelles molécules dans les pesticides ?
Pourtant on nous dit que nous avons une première ministre qui broute la pelouse. Faudrait savoir eh oh!
C’est grâce à ces imbéciles nuisibles d’écolos qui ont empêché d’entretenir les sous-bois en Gironde que l’on doit la catastrophe aussi bien économique qu’écologique due aux incendies de l’année dernière. Quand va-t-ton mettre un terme définitif à la folie furieuse de ces abrutis lobotomisés qui font chier tout le monde alors qu’ils ne sont qu’une minorité de connards!!
Ces écolos sont de véritables tarés qui comme le locataire de l’Élisée font régner la terreur sur la population, mais pire il mettent notre mode de vie en danger, entre autre éoliennes et conneries du genre, start and stop sur nos voitures entre autre autre…. Interdiction des moteurs thermiques…. Il faut tous les euthanasier ils sont dangereux pour tout le monde. Ce sont des Khmers verts….
Bien d’accord avec vous, lisez mon commentaire SVP….
ces cinglés nous rendent la vie impossible : de partout l’herbe folle au bord des routes, gêne la conduite et fait ressembler l’environnement à un vaste chantier abandonné – ils ont aussi exigé l’interdiction de brûler les déchets organiques qui pourtant doivent l’être impérativement pour une question d’hygiène élémentaire : le compost, leur invention démente, avec les déchets alimentaires attirant prolifération d’insectes divers et de rongeurs induiront la propagation de germes néfastes à la santé – comment l’Etat peut t’il suivre la folie de ces pseuods écolos, parti d’extrême gauche déguisé en vert – luttons contre ces malades mentaux –
Je hais les escrolos. Ils sont complètement dingues.
Non, ils ne sont pas dingues, CE SONT DES BOLCHEVIQUES, les héritiers de Marx, Staline!vu les horreurs du communisme, ils ont pris une nouvelle étiquette, écolos, mais ça reste des putains de bolcheviques !!!!
Pres de chez moi dans la cité pareil des herbes hautes de 60 Cms environ (avant c’était gazon et haies bien taillées dans les parties communes) , près du terrain de jeux ou des enfants jouent au risque d’allergies, de bestioles ,rats ,tiques ,araignées,abeilles ,guêpes,et peut-être même vipères et autres bestioles en tout genre ,j’ai fait un mail aux responsables.inadmissible
À la maison, c’est le colza qui nous a causé quelques problèmes. C’est la seule plante à laquelle nous sommes allergiques. Pas de colza cultivé pendant vingt ans dans notre coin. Cette année, du jaune partout. Nez qui coule, éternuements en salves, palais et langue irritée. Je pense même que c’est le produit que les agriculteurs pulvérisent qui aggrave nos symptômes. Nous pensons à nous installer dans le désert de Gobi… Pour les allergiques, un petit truc , si vous ne supportez pas les médocs, infusez une cuillerée à café de feuilles d’ortie plus la la même quantité de menthe poivrée quinze minutes dans de l’eau bouillante. Deux tasses par jour.
Merci Argo pour la recette !
Les Dépressifs Soja sont de retour avec une nouvelle dinguerie interdire le fauchage des mauvaises herbes afin de préserver la prétendue bio diversité qui est une arnaque bien huilée par ces Écolo Nazis qui souhaitent un nombre considérable de Français allergique aux pollens, pour eux c’est normal que les citoyens français fassent atchoum avec les pollens puisqu’ils ont rien à foutre de la santé des Français mais tout ce qui compte pour eux c’est de casser les couilles de tous le monde avec leur folie Apocalyptique au nom de Gaïa la planète terre. Vivement qu’on coupe les mauvaises herbes et que ces dépressifs Soja disparaissent de notre vue.
par contre pour y faire installer des hectares de panneaux solaires, cela ne les dérangent pas d’abattre des arbres ou autres végétations,n idem pour leurs éoliennes également nuisibles à l’entourage et aux paysages.
Sous le terme « écolo » c’est un moyen d’exister et de vivre sur le dos des autres
La brousse nous guette. Sauf pour les amateurs des pelouses de golf. Révolution !!