La France est surendettée, son potentiel industriel s’effondre de jour en jour, Macron nous endette chaque jour davantage en distribuant les milliards à l’Afrique, à l’immigration, à Mac Kinsey et Pfizer… mais l’agence de cotation S&P Global Ratings (ce sont dorénavant les « agences de cotation » étrangères, américaines de préférence, qui font la loi chez nous, avec Der Leyen. En France, rien de nouveau, sinon que « on » pourra continuer à nous prêter à un taux pas tout à fait usuraire pour nous achever moins vite, parce que Macron a donné des gages, la retraité à 64 ans, et la fin de la baisse des hydrocarbures. Tout un programme…
On ne va pas payer moins cher non, simplement on ne paiera pas aussi cher que l’on aurait pu. Tout ça parce que les Français sont déjà dans la mouise et qu’ils s’enfoncent chaque jour, avec les prix de l’électricité, du gaz, du pain, des légumes et de l’essence… Mais Macron peut se vanter d’avoir échappé à la dégringolade folle l’amenant à la situation de la Grèce il y a quelques années. Sans doute espère-t-il grâce à cela enfumer toujours plus le bon Français moyen.
Espère… Macron. Espère….
La décision était particulièrement attendue par le gouvernement. L’agence de notation S&P Global Ratings a maintenu ce vendredi la note de crédit de la France à « AA/A-1 + ». Elle a néanmoins conservé sa perspective « négative », ce qui signifie que le pays n’est pas à l’abri d’un abaissement.
Ce maintien « est principalement dû à la révision de la stratégie de consolidation budgétaire du gouvernement », écrit l’agence de notation, en citant comme faits positifs, outre la réforme des retraites, la fin programmée des aides énergétiques à la faveur de la baisse des prix des hydrocarbures.
Inflation et conditions d’accès au crédit
Dans son évaluation, S&P Ratings estime que des conditions d’accès au crédit plus restreintes et une inflation toujours élevée pèseront sur l’activité économique de la France en 2023 et 2024. L’agence de notation prévoit que le déficit budgétaire français diminuera à 3,8 % en 2026, contre environ 5 % en 2023, et que la dette restera supérieure à 110 % du produit intérieur brut. Ce, dans la période 2023-2026, « avec un déficit budgétaire persistant, bien qu’en baisse ».
S&P Global avait abaissé en décembre dernier la perspective de la France à « négative » contre « stable » précédemment en raison de risques croissants pour les finances publiques et les conséquences budgétaires pouvant en résulter.
La note AA figure parmi les plus hautes catégories de notation, signifiant une forte capacité à pouvoir rembourser ses dettes. En Europe, l’Allemagne et les Pays-Bas sont parmi les pays les mieux notés, avec le niveau « AAA », que la France a perdu en 2012.
Un endettement qui demeure
Fin avril, Fitch, une des agences concurrentes de S&P, avait abaissé sa note d’un cran à « AA- » en évoquant notamment un contexte politique et social susceptible de compliquer la réduction des dépenses publiques. Cela avait déclenché les protestations du gouvernement qui a fait le voeu de redresser les comptes de la nation.
La dette de la France était à 111,6 % du PIB en 2022, et le gouvernement vise 108 % en 2027. La France détient l’endettement le plus élevé des pays de la catégorie « AA ». Après avoir atteint 4,7 % en 2022, le déficit public français devrait quant à lui légèrement remonter cette année à 4,9 % avant de refluer progressivement à partir de 2024, anticipe le gouvernement dans son programme de stabilité publié ces dernières semaines. Celui-ci table sur un retour dans les clous budgétaires européens, soit sous les 3 %, en 2027.
« Un signal positif » pour Bruno Le Maire
Ce maintien est évidemment une bonne nouvelle pour le gouvernement français. Quelques minutes après l’annonce, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a vanté la gestion budgétaire française.
« Je prends acte de la décision de l’agence Standard & Poor’s de laisser inchangée la notation de la dette française », a-t-il déclaré au journal hebdomadaire « JDD ». « C’est un signal positif. Notre stratégie en matière de finances publiques est claire. Elle est ambitieuse. Et elle est crédible. »
La dette publique préoccupe les Français
Selon un sondage Elabe pour « Les Echos » et l’Institut Montaigne publié ce jeudi, l’alourdissement de la dette préoccupe les Français.
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Il a du promettre d’importer encore plus massivement de nouveaux allocataires racaillisés et d’augmenter les taxes sur carburants pour financer le tout…
2017 marque le retour de la prospérité, le Mozart de la finance, épaulé par le Victor Hugo du roman érotique, a sonné la charge héroïque contre le déclin économique. Attali l’avait prévu, son messie a dépassé toutes ses espérances. Vénérons Macron, glorifions Lemaire. Dette publique française au 1er janvier 2017 = 2218 milliards, dette publique toujours française au 1er janvier 2023 = 2950 milliards. Un remake cinématographique de la série retraçant les aventures de Steve Austin se prépare, dans le rôle principal l’homme ambitieux, l’homme crédible, Bruno Lemaire l’homme qui vaut 732 milliards.
Macronor Flatulator veut la disparation de la France et il met tout en oeuvre avec Bruno Le Renouveau alias Dilaté comme jamais pour finir la déconstruction de la France au point de vue industriel , énergétique et de notre souveraineté militaire pour le plus grand plaisir des Mondialistes . Il envoi tout nos équipements militaires au Cocaïnomane de Kiev Zelenski dans une guerre qui ne nous concerne pas mais il en a rien à ciré des Français !
Ce qu’il a promis? De nous tondre et de nous asservir un peu plus. Le maintien de cette note découle directement de la réforme dite des retraites.
Si le sinistre de l’économie bulot le maire est content avec ça, alors il faut qu’il retourne à l’école. Putain on est entouré de guignols plus mauvais les uns que les autres, mais celui là il décroché le ponpon.
Si le sinistre de l’économie bulot le maire est content avec ça, alors il faut qu’il retourne à l’école
oui ou à s’occuper du renflement de l’anus, comme il décrit dans son bouquin.
Ces agences de notation, c’est de la merde. De quel droit décident-elles de la viabilité d’un pays, et sur quels critères encore ? Et ce soi-disant maintien de la note, ça sent la magouille à plein nez, pour que le connard micronique puisse encore nous la faire à l’envers.