L’article auquel j’ai emprunté le titre et l’illustration du présent article est long comme un jour sans pain, je vous y renvoie, suivez le lien ci-dessous pour le lire in extenso. Je me contenterai de le résumer car il rappelle des éléments historiques à ne pas oublier sur le rôle ô combien délétère des USA et dont nous sommes victimes nous aussi.
Benjamin Schwarz a été rédacteur national et littéraire de The Atlantic et rédacteur en chef du World Policy Journal.
Christopher Layne est professeur émérite d’affaires internationales de l’Université du Texas et de la Chaire Robert N. Gates sur la Sécurité nationale.
Cette longue analyse (10 000 mots) est parue dans l’édition du mois de juin du magazine américain Harper’s. Traduction et intertitres sont de l’aut’journal.
De Mourmansk dans l’Arctique à Varna sur la mer Noire, les camps armés de l’OTAN et de la Fédération de Russie se menacent l’un l’autre à travers un nouveau rideau de fer. Contrairement à la longue lutte crépusculaire qui a caractérisé la Guerre froide, la confrontation actuelle est résolument chaude. Comme l’ont reconnu en termes approbateurs l’ancienne secrétaire d’État Condoleezza Rice et l’ancien secrétaire à la Défense Robert Gates, les États-Unis mènent une guerre par procuration contre la Russie.
2023/05/31 | Par Benjamin Schwarz et Christopher Layne
https://lautjournal.info/20230531/pourquoi-sommes-nous-en-ukraine
Oui il faut retenir cette idée limpide et évidente, les USA mènent une lutte par procuration contre la Russie.
Grâce aux efforts de Washington pour armer et entraîner l’armée ukrainienne et l’intégrer aux systèmes de l’OTAN, nous assistons aujourd’hui à l’intrication militaire la plus intense et la plus durable dans l’histoire de la compétition mondiale entre les États-Unis et la Russie, vieille de près de quatre-vingts ans. Les lance-roquettes, les systèmes de missiles et les drones de Washington détruisent les forces de la Russie sur le terrain.
Indirectement ou non, Washington et l’OTAN sont probablement responsables de la majorité des victimes russes en Ukraine. Les États-Unis auraient fourni à Kiev des renseignements en temps réel sur le champ de bataille, permettant à l’Ukraine de couler un croiseur russe, de tirer sur les soldats dans leurs casernes et de tuer jusqu’à une douzaine de généraux de Moscou. Les États-Unis ont peut-être déjà commis des actes secrets de guerre contre la Russie, mais même si le rapport qui attribue le sabotage des pipelines Nord Stream à une opération navale américaine autorisée par l’administration Biden est erroné, Washington frôle le conflit direct avec Moscou. Assurément, les forces nucléaires des États-Unis et de la Russie, toujours prêtes, sont dans un état de vigilance accrue. Si ce n’est la crise des missiles de Cuba, le risque d’une escalade rapide et catastrophique de la confrontation nucléaire entre ces superpuissances est plus grand qu’à tout autre moment de l’histoire.
Naturellement USA de Biden, UE de Der Leyen et les medias subventionnés (tous ceux qui ont pignon sur rue) s’évertuent à taper sur Poutine (il leur résiste, ça les rend fous) qui serait selon ces manipulateurs le grand Satan, le grand responsable de tout ce qui ne tourne pas rond dans notre monde.
C’est celui qui le dit qui y est, disent les enfants… parce que :
-ce sont bien les politiques de l’Amérique envers l’OTAN et la Russie qui ont inexorablement conduit à la guerre.
-quand l’URSS quitte l’Europe de l’Est et l’Europe centrale, les Américains de faire croire qu’ils pourraient dissoudre l’OTAN en même temps que disparaissait le Pacte de Varsovie… chacun a pu voir qu’en fait c’est le contraire qui s’est produit puisque les USA n’ont eu de cesse de développer l’OTAN notamment pour encercler la Russie ! Pourtant Gorbatchev les avait prévenus : hors de question que l’OTAN ait le premier rôle pour la construction de la nouvelle Europe, Mitterrand et l’Allemand Genscher tenaient aux aussi à construire une Europe avec son propre système de sécurité. Ce dont évidemment les USA ne voulaient pas qui ont ajouté, année après année de nouveaux pays au bloc de l’Ouest : En 1999, l’Alliance a ajouté trois anciens pays du Pacte de Varsovie ; en 2004, trois autres, en plus de trois anciennes républiques soviétiques et de la Slovénie. Depuis lors, cinq autres pays (le dernier en date étant la Finlande, qui a rejoint l’OTAN alors que la publication de cet article était en cours de préparation) ont été placés sous le parapluie militaire, politique et nucléaire de l’OTAN.
L’expansion de l’OTAN, commencée avec Clinton, s’est poursuivie inexorablement quel que soit le président des USA, restaurant, forcément, l’atmosphère de la guerre froide face à une Russie refusant de tomber dans le « nouvel ordre mondial » aux conditions des USA. C’est pourquoi la Russie parle depuis des années à propos de l’expansion de l’OTAN d’encerclement dangereux et provocateur. Et là-dessus Gorbatchev et Poutine ont toujours tenu le même discours.
Et tout cela a abouti à la proposition de l’OTAN en 2008 à Bucarest de faire adhérer Ukraine et Georgie… sous prétexte, naturellement de veiller à ce qu’il n’y ait plus de guerre et à défendre la liberté. En oubliant de préciser que c’était une « certaine idée de la liberté », très pervertie par le dirigisme austère protestant. Cf Bush : « la survie de la liberté dans notre pays dépend de plus en plus du succès de la liberté dans d’autres pays ».
Vu comme ça tout est ouvert et possible et les innombrables guerres menées par les USA depuis des décennies en montrent bien les limites et, surtout, les faux prétextes. Cf Madeleine Albright : les USA sont « une nation indispensable » (poursuivant sur toute la planète « leur » conception de l’universalisme à grands coups d’interventionnisme).
Les USA de l’après guerre froide sont donc devenus une force interventionniste dans la politique mondiale, se mêlant de tout.
Cela a un nom : ingérence américaine dans les affaires intérieures d’autres pays.
Et c’est là que nous retrouvons notre sujet : l’ingérence de Washington dans les affaires de la Russie à partir des années 1990. 1,8 milliard de dollars envoyés à des mouvements politiques, des individus et autres organisations considérés comme compatibles avec les intérêts américains. C’est ainsi que l’élection de Eltsine en 1996, soutenue par Clinton (et l’argent américain), par Juppé, Kohl et autres responsables européens a vraisemblablement été bidouillée par des forces extérieures. Sans oublier la générosité du FMI et de la Banque mondiale.
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lection_pr%C3%A9sidentielle_russe_de_1996
Le premier signe clair de superpuissance auto-proclamée des USA a été l’invasion du Panama en 1989 qui ne menaçait personne et surtout pas l’Amérique. Mais c’était un acte symbolique pour annoncer à la terre entière que les USA seraient les gendarmes du monde et déposeraient les gouvernements qu’ils jugeraient non recommandables.
Ont suivi l’Irak, la Yougoslavie, la Libye…
Derrière l’alibi de la défense des droits de l’homme, partout il n’a été question que de montrer la capacité et la volonté de l’OTAN de régner librement partout. Ils ont osé exiger que Belgrade renonce à sa souveraineté sur le Kosovo. Quel pays peut accepter un tel ultimatum ? La guerre était assurée et c’est ce que les USA voulaient comme un responsable américain l’a reconnu.
Alors, la Russie a bien compris et dénoncé les manipulations : les USA bombardent Belgrade au nom de principes humanitaires universels tout en permettant à la Croatie et à la Turquie crimes de guerre, violations des droits de l’homme et déplacements forcés des populations civiles. En vain.
Pareil pour la Libye où le but était le renversement du régime de Kadhafi et a abouti à faire de la Libye un refuge pour les djihadistes.
Autre problème, la fin de l’équilibre nucléaire qui, pendant la guerre froide, permettait la paix, chacun des 2 protagonistes sachant qu’il serait pulvérisé s’il lançait le premier missile.
Or, les USA n’ont eu de cesse d’imposer leur suprématie nucléaire qu’ils développent de façon inquiétante depuis 30 ans. Certains observateurs affirment que ce serait pour obliger les Russes à adhérer à l’ordre mondial dirigé par les USA. Depuis, la Russie a renforcé sa force de dissuasion nucléaire et ses capacités de riposte mais c’est l’escalade… les USA tenant à être les plus forts, quoi qu’il arrive.
Alors, dans ce rapport de forces entre 2 géants, l’Ukraine est un enjeu stratégique, puisque des bruits de guerre courent entre les 2 super puissances, avec les exercices militaires massifs de l’OTAN en Lituanie et en Pologne, en Lettonie et Estonie. Dès 2015 les bruits courent que le Pentagone examinait et mettait à jour un plan d’urgence pour un conflit armé avec la Russie… et les USA proposent de stationner des équipements militaires sur les territoires alliés de l’OTAN en Europe de l’est.
Le représentant permanent des États-Unis auprès de l’OTAN a explicitement désigné « la Russie et les activités malveillantes de la Russie » comme la « principale » cible de l’OTAN. Les États-Unis ont justifié ces mesures comme étant des réponses nécessaires aux hostilités russes en Ukraine et à la nécessité, comme l’a déclaré le comité de rédaction du New York Times dans un renouveau de la rhétorique de la Guerre froide en 2018, de « contenir » la « menace russe
Evidemment l’Ukraine, enjeu majeur pour les deux parties :
Alors que les Russes de toutes tendances politiques ont jugé que l’enrôlement de Washington d’anciens alliés du Pacte de Varsovie de la Russie et de ses anciennes républiques soviétiques baltes dans l’OTAN était une menace, ils ont considéré la perspective de l’expansion de l’alliance en Ukraine comme fondamentalement apocalyptique. En effet, dès le début, Washington ayant défini l’expansion de l’OTAN comme un processus illimité et sans limite, la crainte générale de la Russie concernant les poussées de l’OTAN vers l’est était inextricablement liée à sa crainte spécifique que l’Ukraine ne soit finalement entraînée dans l’alliance.
Ce point de vue reflétait certainement les liens culturels, religieux, économiques, historiques et linguistiques intenses et tendus des Russes avec l’Ukraine. Mais les préoccupations stratégiques étaient primordiales. La Crimée (dont la majorité des habitants sont linguistiquement et culturellement russes, et ont constamment démontré leur souhait de rejoindre la Russie) abrite depuis 1783 la flotte russe de la mer Noire, basée à Sébastopol. Depuis lors, la péninsule a été la fenêtre de la Russie sur la Méditerranée et le Moyen-Orient et la clé de sa défense méridionale. Peu après l’éclatement de l’Union soviétique, la Russie a conclu un accord avec l’Ukraine pour louer la base de Sébastopol. Jusqu’à son annexion de la Crimée en 2014, la Russie craignait que si l’Ukraine rejoignait l’OTAN, Moscou ne doive non seulement céder sa plus grande base navale, mais que cette base soit par la suite incorporée dans un pacte militaire hostile, qui se trouve être l’entité militaire la plus puissante du monde. La mer Noire serait devenue le lac de l’OTAN.
Les experts occidentaux ont depuis longtemps reconnu l’unanimité et l’intensité de la crainte russe d’une adhésion ukrainienne à l’OTAN.
Deux événements majeurs ont précipité la guerre de la Russie en Ukraine. Tout d’abord, lors du sommet de l’OTAN à Bucarest en avril 2008, la délégation américaine, dirigée par le président Bush, a exhorté l’alliance à mettre l’Ukraine et la Géorgie sur la voie immédiate de l’adhésion à l’OTAN. La chancelière allemande Angela Merkel a compris les implications de la proposition de Washington : « J’étais très sûre (…) que Poutine ne laisserait pas cela se produire », se souvient-elle en 2022. « De son point de vue, ce serait une déclaration de guerre. » L’ambassadeur des États-Unis à Moscou, William J. Burns, a fait écho à la position de Merkel. Burns avait déjà mis en garde la secrétaire d’État Condoleezza Rice dans un courriel confidentiel :
« L’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN constitue la plus brillante des lignes rouges pour l’élite russe (et pas seulement pour Poutine). En plus de deux ans et demi de conversations avec les principaux acteurs russes, des va-t-en-guerre dans les sombres recoins du Kremlin aux critiques les plus acerbes de Poutine, je n’ai encore trouvé personne d’autre qui considère l’Ukraine dans l’OTAN que comme une contestation directe des intérêts russes. »
L’OTAN serait perçue comme un « lanceur de défi stratégique », a conclu Burns. « La Russie d’aujourd’hui réagira. »
Choqués par la proposition de Washington, Merkel et le président français Nicolas Sarkozy ont réussi à la faire échouer. Mais le compromis de l’alliance, «quand, pas si», qui promettait que l’Ukraine et la Géorgie « deviendraient membres de l’OTAN », était suffisamment provocateur. Alors qu’il assistait aux négociations vers la fin du sommet sur la coopération dans le transport des fournitures aux forces de l’OTAN en Afghanistan, Poutine a averti publiquement que la Russie considérerait tout effort pour pousser l’OTAN à ses frontières «comme une menace directe».
En privé, il aurait informé Bush que « si l’Ukraine rejoint l’OTAN, elle le fera sans la Crimée et les régions de l’Est. Il va tout simplement s’effondrer ». Quatre mois plus tard, comme Burns l’avait prévu, Moscou, ayant conclu que l’incorporation de l’Ukraine par l’OTAN était inévitable, a répondu par le lancement d’une guerre de cinq jours avec la Géorgie. L’accent mis par Moscou sur la sécurisation des régions séparatistes d’Abkhazie et d’Ossétie du Sud, au lieu de se lancer dans une guerre plus large de conquêtes, était cohérent avec les déclarations précédentes de Poutine sur ce qui se passerait si l’OTAN menaçait de s’étendre plus à l’Est.
Le deuxième événement qui a précipité la situation est survenu lorsque l’Ukraine a commencé à parler de la formation d’un « accord d’association » avec l’Union européenne en septembre 2008 et, en octobre, a demandé un prêt au Fonds Monétaire International pour stabiliser son économie après l’effondrement financier mondial.
La suite, chacun, à RR, la connaît…
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Comment détourner de l’argent en faisant croire que vous aidez un pays en guerre, personne ne vous contredira et vous volez les impôts des citoyens et ni vu ni connu.
■ L’armée ukrainienne empêche l’évacuation des civils en pilonnant l’autoroute
► Depuis plusieurs jours, la ville russe de Chebekino, à quelques kilomètres de la frontière entre la Russie et l’Ukraine, essuie des frappes ininterrompues de l’artillerie ennemie. Un correspondant de guerre de la chaîne RT a aidé des civils à évacuer la ville et a filmé des bâtiments touchés par des obus ukrainiens. Sur la deuxième vidéo, l’un d’eux a complètement brûlé.
Selon le gouverneur de la région de Belgorod, Viatcheslav Gladkov, près de 850 obus ont été tirés contre la ville et des zones adjacentes depuis le 1er juin. Au moins 16 personnes ont été blessées.
○ TELEGRAMME (Canal Chroniques des conflits) : https://tinyurl.com/3kjr28cu
La France éjectée d’un peu partout.
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Peskov a exclu la France du nombre de pays capables de devenir médiateur dans le conflit ukrainien | 3 juin 17:56
► La France peut difficilement être attribuée au nombre de pays capables de jouer le rôle de modérateur du conflit ukrainien, a déclaré l’attaché de presse du président de la Fédération de Russie Dmitri Peskov, commentant les rapports du sommet de Paris sur l’Ukraine
○ SVPRESSA.ru : https://tinyurl.com/5den4882
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■ « La question ukrainienne aurait dû être résolue en 2014-2015 », a déclaré le président de biélorusse, Loukachenko
🔹 »La seule erreur que nous ayons probablement commise a été de ne pas résoudre cette question en 2014-2015, lorsque l’Ukraine n’avait pas d’armée, n’était pas prête… Tout le monde voulait la régler pacifiquement d’une manière ou d’une autre. Et pendant ce temps, ils construisaient une armée prête au combat.
🔹 Loukachenko a déclaré qu’il était d’accord avec Poutine quand « il a dit que nous n’avons pas commencé cette guerre », « elle a commencé bien avant 2014 ».
○ InfoDenseFrance : https://t.me/infodefFRANCE/4393
Les Amerloques sont prêts à tout pour anéantir la Russie selon la logique Belliciste de Zbigniew Brzezinski l’auteur du Grand Échiquier en utilisant le narratif guerrier Anti Russe du gentil Ukrainien et du méchant Russe alors que dans cette guerre Russo Ukrainienne les UkroNazis commettent des massacres contre la population du Donbass avec la bénédiction des Amerloques fouteurs de Guerre Professionnels qui ont fait le coup d’État de 2014 provoquant l’intervention des Russes pour mettre fin à ce bordel parce que les Occidentaux pro Ukraine ont violer systématiquement leur promesse de ne pas étendre les bases de l’OTAN mais ils ne sont pas écouter par ces gens qui prétendent défendre la démocratie mais qu’ils défendent un régime Ukrainien Ultra corrompu qui mène une guerre d’épuration ethnique dans le Donbass mais la réalité montre que les Amerloques n’arrivent pas à détruire la Russie à travers les Ukrainiens qui sont les dindons de la farce dans cette histoire et ces Amerloques ne sont pas capables de régler leurs propres problèmes tout simplement !
Les guerres ont toujours été le moyen le plus rapide de détourner de l’argent en restant croire que ce pognon de dingue sert à la paix.
Très bonne question !!! avec beaucoup de réponses et d’arguments à charges !!! Creuser dans la source de l’histoire ,sur la 2nd guerre mondial et la guerre froide, qui a suivie ,d’un point de vu de cette période ,L’ Uncle Sam a toujours eu des velléités, mais devait s’allier, pour terminer la guerre ,cependant ils n’ont jamais cachés leurs hostilités envers eux ,car refusant le dogme de l’impérialisme occidental sous l’air soviétique et sous la fédération de Russie ,on pourrait considérer que tout avait été élaboré de très longue date porté sur les enjeux, géostratégiques ,géoéconomique et géopolitique
Ne pas oublier que les états unis ne sont pas une vraie nation, ce pays s’est fait dans une violence inouïe, avec, à la clef, un des plus grand génocide non reconnu. Ne pas oublier également que leur « unité » ne tient qu’à un fil, et que la guerre de sécession est toujours présente aujourd’hui, sous une autre forme. Enfin, le peuple américain ne consentira pas à des sacrifices énormes de pertes humaines comme les russes en cas de conflit direct, c’est pourquoi les ricains agissent par personnes interposées avec échanges d’armes contre matériel humain.
Résistance Républicaine, c’est vraiment quelque chose. Une mine de renseignements vérifiables sur la situation, proche ou lointaine, autour de nous. Bravo et merci.
Les USA, gendarmes du monde ou boutefeu international ? Ce sont surtout leurs propres intérêts qui dictent leur conduite. Et les autres de suivre…
honte aux politiques des USA qui ont toujours provoqué des guerres et continuent à en provoquer, ils veulent être les maîtres du monde, il voudrait un jour qu’ils soient touchés sur leur propre terrain, les autres populations sont toujours sous les feux mais jamais eux alors qu’il en sont les responsables principaux
Ca finira par arriver, peut-être volontairement de leur part s’ils estiment que le chaos est le seul à pouvoir sortir leur élite malfaisante d’affaire. Ils n’hésiteront pas à sacrifier la population américaine qu’ils ne sont pas : ils sont l’élite dirigeante. Mais contrairement à la période de la Guerre dite Froide, la supériorité scientifique, technologique et militaire est à l’Est. Et le pouvoir pourrait changer de mains aux Etats-Unis. Le jeu mondial est plus intriqué que jamais.