La Gauche israélienne est prête à miser toute sa fortune, tous ses acquis, sur la démolition de l’État d’Israël. Et elle ne va pas de main morte ! Elle a créé des manifestations qu’elle entend perpétuer jusqu’à la capitulation du nouveau gouvernement, légitimement élu, majoritairement issu de la droite et Extrême-droite.
Et pour comble, ces nouveaux élus ne répondent pas aux critères d’une élite gauchiste gâtée, arrogante et corrompue, qui refuse d’accepter sa défaite et exige réparation. Il ne s’agit guère d’une réforme judiciaire… C’est la tête de Netanyahu, qu’ils veulent. C’est celle des députés fraîchement désignés qu’ils cherchent à jeter en pâture.
La Gauche se sert de son contingent militaire, financier, administratif, médiatique, ingénieux, laïque… et a trouvé sa finance auprès d’éléments étrangers qui aspirent à l’anéantissement total de l’État juif. Pour aller où ? Aller chez l’ennemi, celui qui a de tout temps honni les juifs ? Il n’y a vraiment pas d’alternative impressionnante au sein des pays démocratiques, qui eux aussi souffrent d’une inflation ravageuse en top d’une recrudescence d’antisémitisme et une invasion islamique.
Il faut noter que la gauche a atteint un degré indécent de manque de scrupules, de conscience, de responsabilité, de patriotisme, alors qu’elle souffre d’une absence abyssale de perspective judicieuse. Le « tout sauf Bibi » revient au galop, et apparemment n’a jamais disparu.
Qu’adviendra-t-il d’Israël, si tous ces éléments montent sur le créneau et imposent des grèves dans tous les domaines ? Ce qui déjà a été largement effectué.
Une chose est devenue certaine : La Gauche qui se dit juive, vient de nous révéler qu’elle ne l’est réellement pas, du moins en profondeur, puisque pour s’emparer du pouvoir, elle est prête à bousiller tout l’État. Prête à voir des têtes d’innocents citoyens joncher le sol sur la voie qu’elle s’est donné pour objectif.
Démocratie ? Voilà un gros mot qui n’a plus de sens ! C’est la tyrannie qui fonctionne en plein, le chantage, le mensonge et la haine de l’autre. Ça hurle, ça bave, ça écume une répugnance aux racines tenaces.
Mais finalement la gauche a oublié qu’Israël s’est créé à partir d’un rien, d’un idéal, d’un rêve, d’une fantaisie, d’une force, de sa résilience, de sa volonté de vivre, de sa foi et de son génie.
La gauche ne pourra jamais détruire qui a été accompli en dépit d’une carence totale de préparation, d’armée et de soldats. C’est le courage, la bravoure, la foi et le sacrifice pour la réalisation d’un rêve né d’une histoire multimillénaire.
En outre, détruire Israël c’est se détruire, c’est reprendre le balluchon du juif errant, ou alors, la conversion, l’assimilation, l’antisémitisme, et le déni de ses sources. Pour la gauche, ce n’est guère une perte, puisque la réhabilitation de l’État d’Israël ne lui a servi que de tremplin pour concrétiser une ambition.
On oublie vite les raisons et les causes de cette réhabilitation. Néanmoins, le monde juif, celui qui se trouve en dehors des frontières d’Israël, n’acceptera jamais l’anéantissement de l’unique foyer juif sur ses terres ancestrales, et luttera contre tous ceux qui œuvrent dans cette direction.
Piètre victoire (à la Pyrrhus), qui n’aura jamais lieu… puisque l’État d’Israël a connu bien des défaites, des dispersions, mais n’a jamais oublié ses racines et ses lois juives qu’il perpétue sous tous les cieux et sa foi, si malmenée soit-elle, l’a aidé à survivre à tous les empires, à toutes les nations…
Le peuple juif a toujours été séduit par le monde des goyim. Il les calque, les suit, les imite – Moïse a combattu Dothan qui voulait que les juifs demeurent en Égypte et adoptent l’idolâtrie…
L’histoire se répète avec de nouveaux noms, de nouveaux mauvais prophètes… la malédiction ne nous quitte pas, c’est à nous de relever le défi perpétuel qu’elle représente.
Thérèse Zrihen-Dvir
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Les Israéliens ne peuvent pas ignorer ce que les musulmans ont fait du paradis libanais. Ils ne peuvent pas ignorer non plus qu’Israël subira le même sort puisque les mêmes causes produisent les mêmes effets. Ils voient bien ce qu’est devenue la FRANCE sous la domination socialiste. Ils devraient se méfier, les effets secondaires du socialisme sont presque irréversibles à moins d’un remède de cheval…
Je ne vois pas en quoi le peuple juif aurait toujours été séduit par le monde des goyim.
Il a juste été obligé de s’adapter aux circonstances.
Maintenant que ce peuple a ENFIN retrouvé ses racines et dispose d’un pays bien à lui, pour lequel il a dû combattre et réaliser des prouesses, il serait dommage, qu’une partie de ce peuple, rangé sous la bannière étasunienne gauchiste mondialiste, vienne tout détruire.
C’est cette division intérieure qui fait la force des Palestiniens ennemis.
Le Talmud dit que la cause de la destruction du deuxième Temple est la sinath hinam, la haine des Juifs les uns envers les autres.
Tout à fait exact; merci.
« En outre, détruire Israël c’est se détruire, c’est reprendre le balluchon du juif errant, ou alors, la conversion, l’assimilation, l’antisémitisme, et le déni de ses sources. »
Vous avez malheureusement raison, chère Thérèse. Après tant de souffrances puis de luttes, de travail acharné, quand le but est quasiment atteint, cette Gauche décérébrée,que je vois comme une sorte de monstre sans tête, arrive pour tout détruire. C’est le mythe de Sisyphe à l’œuvre dans toute sa désespérante et stupide nullité.
A propos de la Gauche que j’ai comparée par dérision à un monstre sans tête (acéphale), je viens de découvrir ceci dans Wikipedia, trop drôle expliquant qu’il s’agit de créatures mythologiques : « Les acéphales sont belliqueux, ils peuvent former un corps de bataille ennemi, représentant l’alliance des démons ou créatures sataniques avec l’armée adverse ou païenne » Je trouve que cela correspond tout à fait à la Gauche en général..
qu’Israël se rassure, tout le monde se tire une balle dans le pied!
Bonjour,
Merci pour cet article.
Je ne dirais pas qu’ « Israel a été séduit par les goyims »..
Israël a adopté la culture de l’Europe au premier siècle, et même déjà avant : Philon en est un bel exemple.
L’Europe a adopté la métaphysique d’Israël à la même époque.
On ne réflechit pas assez sur le fait extraordinaire que le paysan du fin fond de la France, des premiers siécles, avait des connaissances sur Abraham, Moïse ou Jérémie.
Ce n’est pas une « séduction », c’est une symbiose.