Un mahométan assassine ses deux filles : silence des féministes

Les merdias français sont décidément incorrigibles. Islamolâtres jusqu’au trognon. Ou jusqu’aux trogneux, au choix. Osant reprendre à leur compte l’expression frelatée de « crimes d’honneur » au lieu de « crimes d’horreur ». Lorsqu’un certain Yasser Abdel Saïd assassine froidement ses deux filles parce qu’elles voulaient vivre libres.

Pourtant il avait l’air bien intégré !

Yasser est chauffeur de taxi. Il gagne correctement sa vie. Ne s’est jamais signalé par des actes publics de violence. Ni n’a jamais fait de propagande islamique. Encore moins l’apologie de Ben Laden. À vrai dire, sa pratique de la religion se résume au minimum syndical. Une petite bière quand il n’est pas de service ne lui fait pas peur.

Immigré à 27 ans avec un visa d’étudiant un peu tardif, il épouse trois ans plus tard une certaine Patricia alors âgée de 15 ans, enceinte d’Islam Saïd.

De cette union naîtront ensuite deux filles Amina et Sarah. Une petite famille de la classe moyenne qui arrête alors son expansion. Rien à voir avec les portées multipares de ses coreligionnaires. Même s’il a tenu à conserver la nationalité égyptienne dont il est très fier, il est bien intégré. Dans son quartier, les voisins le trouvent sympathique et serviable. Tout comme ses collègues de travail.

Dans son taxi, il écoute les stations de radio occidentales plus souvent que les cassettes de musique arabe que lui envoie sa famille. Et il regarde les films impies à la télé, sans vilipender les mœurs occidentales « indécentes ». C’est un Égyptien. Pas un mollah ni un taliban. Il pratique un « islam modéré ».

Certes il inflige des jeux sexuels non consentis à ses deux filles. Mais sans conséquences, dit-il, car il affirme juste les tripoter un peu et les sodomiser gentiment pour éviter de les engrosser. Et préserver leur virginité que leur futur mari, forcément mahométan, sera en droit d’exiger.

Quelques bémols toutefois dans cette belle intégration

Patricia, son épouse, témoigne : « Au début, il m’aimait. Six ou sept mois plus tard, il a commencé à vouloir avoir un contrôle absolu sur moi, il ne voulait plus que j’aie aucune relation avec ma famille. »

Un jour qu’elle prétend se soustraire aux rapports sexuels, il la poignarde aux cuisses. Un vrai gentleman qui sait parler aux femmes, ce Yasser Abdel Saïd.

Encore petites, les gamines se plaignent auprès de leurs grands-parents de coups sans raison et d’attouchements fréquents de la part de leur père. Mais tous les membres de sa famille font bloc pour protéger Yasser et lui éviter la prison. Les plaintes sont retirées. Les flics, qui préfèrent éviter les embrouilles avec « ces gens-là », n’en demandent pas plus. Aucune enquête ne sera diligentée.

Dès la préadolescence, jaloux de ses filles, il les suit à la trace. Il les surveille d’abord sur le trajet de l’école, puis jusque sur leur lieu de travail, filtre leurs amis et écarte ceux qui ne lui conviennent pas. Des enregistrements vidéo ont été retrouvés prouvant qu’il les filmait souvent à leur insu.

Les femmes doivent être humbles, obéissantes et soumises

Alors qu’elle est âgée de 16 ans, Amina est emmenée de force par son père en Égypte pour lui présenter le futur mari qu’il lui a choisi. Mais celle-ci refuse. On peut supposer que la préméditation des crimes commence à ce moment là, dans le cerveau pervers d’un père abusif qui ne supporte pas de perdre le contrôle.

Certes des tarés de cette espèce, tyrans domestiques possessifs, libidineux et misogynes, il y en a partout. Mais lorsqu’ils sont mahométans, c’est l’école coranique qui les a conditionnés dès leur plus jeune âge à appliquer la prétendue divine parole d’Allah sourate 4 verset 34 :

« Les hommes ont la prééminence et l’autorité sur les femmes à cause des privilèges par lesquels Allah les a favorisés (…) Les femmes vertueuses sont humbles, obéissantes et soumises. Vous réprimanderez celles dont vous aurez à craindre la désobéissance et vous les frapperez. »

L’homme est le seigneur et maître, ça ne se discute pas !

Ce père indigne abuse de ses filles, mais il n’admet pas qu’elles quittent le domicile familial et encore moins que Amina, l’aînée, ait un copain non musulman, un certain Joseph Moreno.

Celui-ci témoigne : « Je voulais l’éloigner de tout ça. Elle ne méritait pas de vivre cet enfer. Elle ne voulait jamais écrire des messages trop intimes parce qu’elle avait peur que son père s’empare de son téléphone. »

Le père finit cependant par découvrir qu’Amina sort avec Joseph. Il la tabasse et la menace de mort, lui interdisant d’adresser la parole à son amoureux.

« Elle devenait impie, comme les femmes occidentales, et entraînait sa sœur dans cette voie », donnera-t-il pour explication, suffisante à ses yeux, pour justifier le fait de les avoir assassinées toutes les deux. Son honneur de mâle mahométan pourtant bien intégré était bafoué. Il ne pouvait tolérer ça !

Alors qu’il s’enferrait dans ses projets à vouloir les marier à des «croyants » sans leur demander leur avis, en décembre 2007, Amina et Sarah fuient en compagnie de Joseph, avec leur mère Patricia.

Yasser lance alors une véritable « chasse à l’homme » (aux femmes qui sont sa propriété serait plus approprié) en mobilisant une partie de la communauté musulmane. D’une mosquée à l’autre, le téléphone arabe fonctionne très bien.

Harcelées jour et nuit, de guerre lasse Patricia et Sarah acceptent de rentrer à la maison. Amina refuse mais continue à voir sa mère. Il la retrouvera par ce biais.

Puisqu’elles désobéissent, elles ne méritent pas de vivre !

Le 1er janvier 2008 (pour fêter le nouvel an chrétien ?) Yasser attire Amina et Sarah dans la compagnie de taxi où il travaille. Pour se réconcilier. Il embrasse ses filles et leur propose de les emmener déjeuner dans un restaurant.

Patricia voudrait les accompagner, mais Yasser lui dit qu’il veut parler aux filles en tête à tête. Fourbe et cruel, il les emmène ensuite faire une promenade dont on ne revient pas. Façon exécution sommaire par les sicaires de la mafia.

Parce qu’il est bien intégré, il ne les égorge pas comme des brebis, mais les flingue proprement à l’arrière du taxi. Amina, 18 ans, meurt sur le coup. Sarah, 17 ans, grièvement blessée, a le temps d’appeler le 911 avant de mourir. Sur son appel enregistré, on l’entend crier : « Au secours, mon père m’a tiré dessus ! Je meurs ! »

Le taxi de Yasser est rapidement retrouvé par un de ses collègues sur le parking d’un hôtel, mais le tueur a disparu.

Traqué pendant plus de 12 ans, ses proches l’aident à échapper à la police

Du premier janvier 2008 au 26 août 2020, il vit tranquille, plutôt bien, sans travailler vraiment, sous une fausse identité. Quelques témoins plutôt imprécis disent l’avoir reconnu au volant d’un taxi Mercedes dans diverses villes, ou près des aéroports. Mais rien de probant.

Il réside tout simplement au milieu des siens dans le complexe immobilier exploité par son fils, Islam Saïd, petit capitaliste bien intégré comme son papa.

Le 14 août 2020, un employé déclare avoir vu un homme correspondant à la description de l’assassin dans l’appartement de son patron. À l’arrivée des flics, les lieux sont vides mais on relève des traces d’ADN correspondant à celui du double tueur. Quelques jours plus tard, une filature aboutit à son arrestation.

Finalement condamné, mais toujours sûr de son bon droit

Une cour criminelle a condamné Yasser Abdel Saïd à la réclusion criminelle à perpétuité sans possibilité de remise de peine. Il a déjà tenté une évasion en clamant haut et fort que la condamnation était injuste car il n’avait fait que «défendre son honneur ».

Comme ça s’est passé aux USA, on ne le relâchera pas dans 5 ou 6 ans comme c’est trop souvent le cas en France.

Par ailleurs, son frère et son fils, accusés d’avoir aidé l’assassin placé sur la liste des 10 fugitifs les plus recherchés par le FBI depuis 2014, ont été condamnés à 10 ans et 12 ans de prison pour avoir fourni une aide de longue durée à un fugitif.

Il est permis de se demander si la prime de 100.000 dollars offerte pour sa capture n’a pas un peu aidé à délier les langues ? La religion et la solidarité islamiques, ça va un moment. Mais les dollars, c’est plus intéressant !

Et la suite ?

Patricia Owens a repris son nom d’avant mariage. Mais inconsciente, ou stupide, elle s’était réfugiée chez le frère de Yasser qui l’hébergeait. « Un brave homme honnête et sérieux » (sic) d’ après les témoins de moralité venus à son procès. Lequel lui aurait froidement déclaré en privé :

« Yasser ne voulait pas élever ses filles comme des putes. Elles ont eu de la chance qu’il ait laissé les corps pour qu’elles puissent être enterrées. Si ça avait été moi, je les aurais fait disparaître. »

RMC propose un docufiction relatant ce double crime abominable. Affichant le titre le plus inapproprié que puissent imaginer des bobos : Le prix de l’honneur. Commercial mais édifiant.

Même si, dans un an, tout ça sera oublié, comme les humiliations, les brimades et la séquestration subies par Betty Mahmoody née Lower dans le Michigan, racontées dans son livre de 1987 et le film de 1991 : Jamais sans ma fille. 

Difficile de contrer le fantasme du séduisant prince d’Arabie qui va emmener les bécasses dans son palais des mille et une nuits sur un tapis volant, pour les couvrir de perles et d’émeraudes.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/un-mahometan-assassine-ses-deux-filles-silence-des-feministes.html

 1,536 total views,  1 views today

image_pdf

7 Commentaires

  1. Et ça, c’est quand ils sont « modérés », bien « intégrés », « occidentalisés » .Et puis , tellement sympas, gentils, serviables… Docteur Jekyll et mister Hyde. L’islam, c’est l’invention de psychopathes à l’usage de psychopathes.

  2. Voilà encore une preuve que l’islam même modéré reste quelque chose d’incompatible avec la République, c’est dans la tête, ils sont façonnés comme ça et même s’ils paraissent bien intégrés ils restent dangereux et imprévisibles. Résistons le plus possible à l’islamisation qui semble s’installer en France en évitant déjà le plus possible de les côtoyer, les côtoyer c’est déjà trahir sa civilisation.

  3. Où sont les féministes fanatiques hystériques d’extrême gauche Amerloques ? Elles ne sont pas là pour aider ces deux jeunes femmes à échapper à la tyrannie de leur père suite au fait que ce crime est perpétré aux Etats Unis. Si en France un tel Crime est commis par un Magometan là les Gauchos des médias dominants préfèrent mettre sous le tapis dans leur logique Islamo Gauchiste du pas d’amalgame Idem pour les féministes fanatiques hystériques d’extrême gauche française qui elles ne vont pas lever le petit doigt pour aider ces jeunes femmes victimes de la tyrannie Mahométane de leur proche à s’en sortir et survivre. Ce crime est abjecte !

  4. la premiére fautive c est la mère, Patricia Elle est sortie avec un musulman puis l a épousé Tout le reste suit…Dans mon quartier, c est pareil, mêmes causes, mêmes conséquences …Déjà convertie ou apres mariage ? Ignorance ? imbecillité ? influencée par L éducation nationale pro islam et migrants ? ( elle a 15 ans) Ou étaient ses parents ? il existe un livre, quasi obligatoire, à l intention de toutes les « bonnes  » futures épouses musulmanes données aux petites filles pour leur éducation dans toutes les « bonnes » librairies Pourquoi n en existe t il pas un à l inverse pour prévenir …les autres, non musulmans

  5. Un muzz bien intégré et bien comme il faut, comme il y en a tant. Rien à voir avec la culture et les mœurs des français, mais nos zélites prêchent le vivre ensemble et le multiculturalisme et ils se gargarisent sur les plateaux télé que l’intégration est une réussite pour la majorité des envahisseurs. La preuve, encore un qui a dérapé. Et qu’on ne vienne pas me dire qu’il n’avait pas les codes.

  6. Un digne adepte de Mahomet pédophile notoire. Yasser en plus est un père incestueux. Remarquez que parmi les islamophiles de notre pays, certains ont mis en pratique les préceptes de l’islam : pédophilie, violences sur leurs conjoints, incestes, etc.

Les commentaires sont fermés.