Réunion CPAC à Dallas. L’auditoire se lève pour applaudir le premier ministre hongrois qui s’est déclaré contre l’immigration et la théorie du genre
« Les mondialistes peuvent aller au diable » a tonné le Premier ministre hongrois Viktor Orban. « Je suis venu au Texas » (Source : msn.com).
Viktor Orban avait été invité à prononcer le discours d’ouverture de la Conférence d’action politique conservatrice (CPAC « Conservative Political Action Conference ») de quatre jours à Dallas, Texas, jeudi dernier ; CPAC est l’organisation prééminente du mouvement républicain qui se déroule actuellement.
Dans ses remarques, Viktor Orban a présenté la plate-forme la plus claire à ce jour pour ce que certains analystes ont surnommé « l’international d’extrême droite », une alliance théorique entre des partis d’extrême droite et ultranationalistes des deux côtés de l’Atlantique.
La conférence que Viktor Orban a aidé à lancer se terminera le 7 août en partie par un discours du président Trump. Et le message envoyé par le dirigeant hongrois en était un qui associait la colère républicaine face à « l’hégémonie libérale » qui a fait prononcer par Viktor Orban :
Ses positions dures contre l’immigration,
Son nationalisme chrétien convaincu,
Son opposition à « la théorie du genre » et
Son indifférence envers ceux qui considèrent son régime quasi-autocratique comme une menace pour la démocratie au cœur de l’Europe.
N’est-ce pas une initiative « Hongrie d’abord », un peu comme l’initiative « Amérique d’abord » de Trump ? Viktor Orban n’a pas caché son mépris pour les démocrates américains et les médias libéraux. Voici ce qu’il a dit des démocrates à la conférence CPAC : « Ils me détestent et nous calomnient moi et mon pays comme ils vous détestent et vous calomnient. Nous devrions unir nos forces ».
Pensant aux prochaines élections américaines de mi-mandat et présidentielles et ainsi qu’aux élections parlementaires européennes en 2024. Victor Orban a ajouté : « Nous devons reprendre les institutions à Washington et à Bruxelles… nous devons coordonner les mouvements de nos troupes car nous sommes confrontés aux mêmes défis. Ces deux institutions sont les deux fronts dans la bataille menée pour la civilisation occidentale. Aujourd’hui, nous ne tenons ni l’un ni l’autre. Pourtant, nous avons besoin des deux ».
Viktor Orban a choisi de passer sous silence le tollé qui a suivi un discours important qu’il a prononcé le mois dernier, juste de l’autre côté de la frontière, dans la Roumanie voisine, dans une ville pittoresque, qui abrite une population ethnique hongroise considérable où il prononçait un discours annuel, il a averti, entre autres, que les Européens ne devaient pas « devenir des peuples métis ». Beaucoup ont qualifié ses propos de nazis et de haineux. Cependant, les partisans de Viktor Orban disent qu’il parlait principalement de limiter simplement la migration et de préserver la civilisation européenne. Quoi qu’il en soit, la rhétorique du premier ministre hongrois est désormais le signe d’un idéologue qui se fait de plus en plus sentir sur la scène mondiale.
Peu importe la faiblesse géopolitique de la Hongrie en soi, Viktor Orban et ses alliés se considèrent comme les porte-drapeaux d’un avenir conservateur.
Miklos Szantho, directeur du Centre pour les droits fondamentaux, un groupe de réflexion hongrois qui serait financé par le gouvernement Orban, a déclaré lors d’un rassemblement du CPAC organisé à Budapest en mai : « Nous espérons que vous pourrez apprendre de nous l’état d’esprit politique pour réussir en tant que conservateurs, comme nous l’avons également appris de vous et de Ronald Reagan. Comme il l’a dit il y a tant d’années, « Nous gagnons, ils perdent ». C’est ce qu’a fait la droite hongroise ».
À l’ouverture de la conférence CPAC, jeudi dernier, Viktor Orban a dit à la foule lui faisant face : « Pour gagner, il ne suffit pas de savoir pourquoi on se bat. Vous devez également savoir comment vous battre : ma réponse est de jouer selon vos propres règles ».
C’est là un message que les républicains ont grandement besoin d’entendre.
Malgré la mauvaise publicité des médias de propagande de masse qui sont totalement de connivence avec les démocrates-communistes, l’Amérique et la civilisation occidentale ne seront sauvées de la prise de pouvoir mondialiste que par un conservatisme convaincu qui ripostera sur tous les fronts.
Traduit par Jack pour Résistance républicaine
1,051 total views, 1 views today
Merci@Jack pour cette traduction.
Orban va échanger ses idées en Amérique républicaine, de la sorte, il s’aperçoit qu’il n’est pas isolé, des millions d’Occidentaux pensent comme lui.
Comme d’habitude, les cocos n’ont qu’un mot à la bouche : insulte et calomnie nazies.
On a UN « Orban » mais y a que 7 % de Français qui le savent…
vite un ORBAN en france et à la place de l’allemande de l’UE, qui puisse balayer cette chienlit mondialiste dégénérée qui nous pourrit la vie
C’est Orban qu’il faut à la tête de l’europe et non c’est bon à rien comme la van der la hyène.
Purée ! quand on voit qu’il existe de vrais chefs d’état, et que l’on regarde ce que nous avons, un machin indéfinissable sur lequel je préfère ne pas me prononcer je deviendrais vulgaire
Franchement à ce point là c’est grave
Il faut dire que nous avons un panier de politiques bons à balancer à la mer, en eau très profonde et bon débarras
Même Zemmour est nul, il a refusé l’aide de Charles Gave il ne voulait que des jeunes dans son bureau politique, vous avez vu le résultat, il pensait que les gens allaient voter pour un parti composé de gamins sortis tout droit de maternelle ?
Bon !, on va kidnapper Orban le mettre de force à l’Elysée après en avoir viré tous les nullards qui s’y trouvent
Voilà !
Cette théorie du genre, une folie qui a germé dans des cerveaux malades, est une catastrophe pour la jeunesse et donc pour l’avenir de l’humanité.
Les Américains ont Trump, les Hongrois ont Orban et nous qui est-ce qu’on a ? PERSONNE !
Assez des déclarations façon cours d’histoire en fac, assez des demi-nuances de « drauche » mollassonne.
Orban le dit combattez sans relâche et avec vos règles pas avec les leurs.
Marine, Eric, Marion REVEILLEZ VOUS !!!
Entièrement d’accord avec Orban. Nous sommes dans un moment de notre histoire où notre propre fin a été programmée par ceux-là même qui devraient protéger notre civilisation. Nous devrons leur présenter l’addition le moment venu et le leur faire payer.
Bonjour Argo , exactement et même leur faire payer au centuple .