L’Ukraine, qui a remporté la guerre mondiale du bortsch, une simple soupe désormais inscrite au patrimoine culturel immatériel mondial de l’UNESCO, vient de récidiver en y inscrivant aussi le caca du président Zelenski.
Les déjections du président ukrainien font désormais partie du patrimoine de l’humanité. Elles sont dorénavant protégées par les lois internationales. Nul ne peut y toucher.
La guerre du bortsch a été remportée par l’Ukraine après un long duel d’artillerie d’obus gastronomiques avec la Russie. Cette guerre avait commencé bien avant l’actuelle confrontation.
Elle s’est achevée donc au profit de l’Ukraine. Le monde doit désormais prendre en considération le fait que cette soupe est ukrainienne, pas russe. Autrement, ce serait un délit de négationnisme puni par la loi.
Justifiant sa décision, l’UNESCO indique que « le conflit armé a menacé la viabilité de l’élément ». « Le déplacement des populations et des détenteurs menace l’élément, car les gens sont incapables non seulement de cuisiner ou de cultiver les légumes locaux pour le bortsch, mais aussi de se réunir pour pratiquer l’élément, ce qui compromet le bien-être social et culturel des communautés », souligne l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture.
(Désolé de reproduire stricto sensu un texte aussi stupide provenant de l’UNESCO…)
Face au dépit et à la grogne de la Russie, l’UNESCO a voulu « enfoncer le clou » en proclamant le caca du président ukrainien également patrimoine culturel de l’humanité.
Cette décision a été ainsi justifiée :
« Les fréquents déplacements de Zelensky et le peu de temps qu’il consacre à ses besoins risquent de priver l’humanité d’un élément important de son patrimoine culturel. Aussi, il a été décidé de garder un échantillon de la merde du président Zelensky et de l’inscrire sur la Liste du patrimoine immatériel mondial. »
(Le terme « merde » est celui choisi par l’UNESCO pour qualifier les besoins du président Zelensky)
L’échantillon avait été examiné et approuvé par le G7 lors de son dernier sommet en Bavière.
Le bortsch était au menu du déjeuner des sept géants qui contrôlent le monde.
Des traces de bortsch y avaient été détectées, ce qui a poussé les membres du G7 à le soumettre à l’UNESCO.
Il avait été transmis à l’UESCO par Ursula Von der Leyen.
Ursula est étroitement liée à la merde de Zelensky.
Messin’Issa
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Glorifier une bite ou glorifier une merde , quoi de plus naturel actuellement dans un monde devenu cinglé au plus haut niveau.
Je confirme !
Excellent !
Il y a 40 ans, dès qu’une décision absurde apparaissait, les gens s’en offusquaient et elle était supprimée.
Depuis 40 ans, il y a tant d’absurdités, de science-fiction pure et dure devenue réalité, d’idéologies nouvelles, de domination mondiale, d’aveuglements et monstruosités, que je ne m’étonne de plus rien du tout.
Bien sûr cette histoire de « merde » n’est pas réelle. Mais il y a tellement de choses qui apparaissaient comme littéralement impossibles et ne relevant que de la science-fiction depuis quatre décennies, et qui sont devenues des réalités bien concrètes, qu’il ne faut plus jamais dire dans ce monde, et surtout en Europe, que quelque chose n’est que de la science-fiction. Un jour cela deviendra réalité. C’est une certitude.
Sérieux, c’est pas un gag ?
S’il voulaient une merde, ils ont le zelenski, le macron, la hyène, le vieux sénile et beaucoup d’autres du même acabit, y a le choix, la merde est partout…
Tant de sacrifices à subir pour des gens dont on n’a rien à foutre effectivement…